Qui, en Suisse romande, connaît One Young World? Cette organisation non gouvernementale est pourtant présente sur tous les continents et son deuxième sommet mondial s’était déroulé à Zurich en 2011.

La liste des sponsors – des multinationales et de grandes entreprises suisses – montre que l’organisation rayonne davantage dans le monde des affaires internationales qu’auprès du grand public. Son antenne helvétique s’est réunie en conférence cette semaine au SwissTech Convention Center, sur le site de l’EPFL. Pendant deux jours, l’événement a réuni plus de 150 jeunes leaders de tout le pays. [...] suite réservé aux abonnés: https://www.24heures.ch/le-davos-des-jeunes-en-marche-pour-un-monde-meilleur-544811382616

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Carla Montet: L'histoire nous a montré que lorsqu'un groupe de personnes veut créer un avenir meilleur, axé sur des "valeurs durables et de l'humanité", cela aboutit immanquablement à une catastrophe.

One Young World, est une ONG fondée à Londres, comme d'autres "bénédictions", comme XR, ou l'escalade militaire de la guerre en Ukraine qui nous mène tout droit vers la 3e guerre mondiale.

La cofondatrice Kate Robertson: "Je suis originaire d'Afrique du Sud et l'histoire y a montré qu'il suffit parfois d'un seul leader pour changer les choses. Le journaliste de 24heures précise: elle fait référence à Nelson Mandela.

Nous apprenons aussi de sa plume que les ateliers philosophiques sont offerts aux jeunes espoirs du "Davos des jeunes": "Est-il possible d'avoir un impact positif sur la planète en travaillant en entreprise, ou est-ce que l'on y vend son âme?"

Pour ne pas voir que cette question, orientée au possible, est sans rapport avec le monde entrepreneuriale réel, il faut être une, un jeune bardé de diplômes et "possédé" par l'idéologie à la mode du moment.
Dostoevsky a écrit "Les possédés" à ce sujet alors que la mode était le totalitarisme de gauche, communisme etc.
L'avenir a dramatiquement montré quelles horreurs peuvent être générées par de tels idéologues persuadés de détenir LA VÉRITÉ alors que tous les autres – forcément dans l'ignorance et l'erreur – doivent être amenés, de gré ou de force, à les soutenir dans leurs délires de détenir toute la science pour "sauver la planète", le monde et l'humanité.

Dans le monde "mondialisé" actuel, bien plus de trois quarts des habitants de la planète ont un mépris profond pour de tels bobos décalés et loufoques.