Les garde-côtes italiens ont annoncé ce vendredi avoir arrêté deux bateaux de sauvetage de migrants, exploités par les ONG allemandes Sea Eye et Mare Go, pour avoir enfreint la législation sur le sauvetage maritime approuvée par le gouvernement d’extrême droite Giorgia Meloni.”Les deux navires de guerre Sea Eye 4 et Mare Go, qui ont effectué des travaux de secours en mer ces derniers jours, et sont actuellement amarrés respectivement dans les ports d’Ortona et de Lampedusa, ont fait l’objet d’une grève administrative”, a informé la côte italienne Garde dans un communiqué.Les garde-côtes ont précisé que le navire Sea Eye 4, après avoir effectué une première intervention de secours sur un navire avec 17 migrants à bord dans les eaux libyennes, s’est rendu à un autre sauvetage d’un navire avec 32 personnes à bord dans les eaux italiennes malgré l’ordre indiquant qu’il se rende au port d’Ortona “le plus tôt possible”.
De son côté, le navire Mare Go a refusé de se rendre au port assigné par les autorités italiennes à Trapani, dans l’ouest de la Sicile, car il était à 32 heures de route, décidant ainsi d’accoster à Lampedusa et de s’occuper de 36 migrants “en danger”.
“Après le débarquement des personnes secourues, nous avons été immédiatement informés que Mare Go avait été détenue pendant 20 jours et nous pensons que nous encourrons une amende parce que nous avons enfreint un décret italien publié le 2 janvier 2023 par le gouvernement néo-fasciste de Meloni”, a-t-il déclaré dans un communiqué de l’ONG allemande.Le gouvernement Meloni a été critiqué pour l’approbation récente d’une loi sur le sauvetage maritime qui prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 50 000 euros pour ceux qui fournissent une aide humanitaire et que les Nations Unies ont qualifiée d'”inquiétante”.La nouvelle loi rend difficile le travail des organisations humanitaires qui opèrent en Méditerranée, entre autres, car elle stipule que les navires doivent se rendre au port immédiatement après avoir effectué un sauvetage, les obligeant à ignorer les urgences qui peuvent survenir de manière inattendue.
Extrait de: Source et auteur
Très bien , de toute façon les ports les plus proches sont en Libye et non les cotes italienne.
Les pseudo “ONG” ne sont en fin de compte que des trafiquants d’êtres humains qui détourne le droit maritime sur le sauvetage en mer.
Il était temps de mettre de l’ordre dans ces organisations maffieuses des ONG-taxi !
” le navire Sea Eye 4, après avoir effectué une première intervention de secours sur un navire avec 17 migrants à bord dans les eaux libyennes …”
Il faudra bientôt prendre en charge les migrants directement sur les plages … !!
Il y a bien longtemps que ces bateaux auraient dû être coulés, pour servir de refuge aux poissons. Ce qui obligerait la mafia Soros a racheter plusieurs entreprises de constructions navales pour avoir un prix… Et comme ce sont justement ces mafias qui ne savent plus où planquer l’argent gagné par leurs méfaits et qui choisissent cette échappatoire aux règles trop strictes qui s’imposent en réalité comme par hasard surtout à nos banques suisses, tout comme les contraintes écologiques, on a là une cause de l’auto-destruction des entreprises gérées par des mafieux et donc une accélération du chômage.
C’est clair que les mafieux ne savent pas gérer quoique ce soit, leur culture reposant sur les violences elles ne sont à l’aise que dans un environnement bochévo-nazi propice à l’esclavagisme. Et c’est justement ce qui se dessine pour notre avenir avec les soutiens aux Ukrainiens. Si Zelensky montrait sa bite lors des ses spectacles comiques (son ex-profession) c’est bien là une caractéristique de la culture des gauches que l’on peut tester tous les jours dans nos médias déjà salement noyautés par ce système totalitaire qui se profile largement dans l’UE rss qu’on veut nous imposer à tout prix, même et surtout pour notre perte d’indépendance et de neutralité. Donc laissons faire les cornichons du C.F. tels Berset et le Cassis filer le grand amour avec Zelensky, pour être certains que cette calamité va nous être imposées.