Tabassé dans le métro, un journaliste du Figaro raconte [18:37]

post_thumb_default

Judikael Hirel, journaliste au Figaro gravement blessé pour avoir défendu une femme dans le métro, s’interroge sur le traitement des victimes d’agression en France. Les agressions physiques et verbales sont une réalité quotidienne en France.

Que ces agressions adviennent dans une rue déserte ou les couloirs d’un métro bondé, les réactions sont au rendez-vous. Mais l’indignation et l’effet de sidération passés, qu’advient-il des victimes?

Le journaliste Judikael Hirel est de ceux qui ont traversé cette épreuve, un soir de novembre 2017. Quatorze fractures au visage, plusieurs opérations de reconstruction et une longue procédure judiciaire plus tard, la colère est toujours aussi vive. Il publie Concorde rouge. Dans la peau d’une victime d’agression (Le Cherche midi).

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.