« La façon dont sont traités les Comoriens sans papiers est indigne d’un pays comme la France », a fustigé Marie-Christine Vergiat, vice-présidente de la Ligue des droits de l’homme et ancienne eurodéputée (Front de gauche).
À Strasbourg, les manifestants étaient environ 110, réunis derrière deux banderoles « Ni frontière, ni nation, Liberté de circulation » et « Contre le racisme, contre le fascisme, régularisation de tous les sans-papiers ». Parmi eux, Sandra Regol, députée EELV/Nupes, a dénoncé un gouvernement qui « déroule un tapis rouge au rassemblement national » et qui « fait des choix dangereux pour la démocratie et pour la France ».
La loi Darmanin « rentre en résonance avec l’opération déplorable, insupportable à Mayotte qui bafoue les droits fondamentaux des gens sur place », a également dénoncé le député marseillais de La France Insoumise Manuel Bompard.
Le projet de loi immigration, que le gouvernement vient de reporter à l’automne, « est une loi raciste, qui a pour objectif de criminaliser les étrangers » et d’aboutir à « plus d’expulsions », a dénoncé Aboubacar, 31 ans, un sans-papiers malien, salarié d’un sous-traitant de la Poste à Alfortville (Val-de-Marne), qui se bat depuis 17 mois pour obtenir sa régularisation.
[…] Le Journal de Saône-et-Loire
Plus d’un millier de personnes se sont réunies ce samedi 29 avril au matin à Mamoudzou pour renouveler leur soutien à l’opération sécuritaire Wuambushu menée par les autorités sur l’île de Mayotte et exiger un coup d’arrêt à la délinquance et à l’immigration illégale.
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Le refus des frontières est propre à l’intelligentsia de gauche, chrétienne ou non, à tous ceux qui souhaitent l’extinction de la civilisation européenne.
Amarrer l’ile de Mayotte au vaisseau français a été une erreur politique mais c’est fait. Nos compatriotes mahorais vivent ce que nous vivrons si nous ne fermons pas nos frontières et ne supprimons pas le droit du sol.
Pour le retour des illégaux comoriens dans leurs iles, li n’y a qu’une solution: la force. Cela peut se concrétiser pat l’envoi sur zone d’un navire de guerre accompagné d’un transport de troupes, de combattants et de moyens adaptés pour tenir un port comorien et ses abords le temps d’y débarquer les immigrants illégaux retournant dans leur pays.