Ministre de la condition féminine défend hommes trans et annonce dépenses 0,8 million $. Et « vos yeules ! »

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Mme Martine Biron, députée des Chutes-de-la-Chaudière, et ministre des Relations internationales et de la Francophonie et responsable de la Condition féminine s’est portée à la défense des hommes transgenres.

On ne voit pas très bien le rapport avec la condition féminine… Ou Mme Biron pense-t-elle que les hommes déguisés en femmes sont des femmes ?

On n’entend guère Mme Biron sur la francophonie internationale. Quelle action précise a-t-elle engagée d’ailleurs dans ce domaine et avec quels moyens ?

Mais dans le domaine des trans, l’argent ne semble pas manquer. Mme Biron annonce la dépense de près d’un million de dollars pour favoriser l’acceptation des trans et des LGBTQ+.

De quelle actualité Mme Biron veut-elle parler ? La tuerie dans une école de Nashville par un transgenre il y a quelques semaines ?

Les actions de propagande de cet « investissement » comprennent :   

  • le renforcement du milieu communautaire engagé dans la lutte contre l’homophobie et la transphobie en région ;
  • les initiatives qui ciblent la sensibilisation à la diversité sexuelle et de genre dans les milieux jeunesse ;
  • démystifier les réalités propres aux diverses identités de genre et orientations sexuelles et favoriser la reconnaissance de ces réalités.

Il semble que cette annonce de dépenses suit la protestation de parents par rapport à la mode occidentale récente qui voit des travelos lire des contes aux jeunes enfants. (Le Québec suit simplement les États-Unis, les progressistes québécois sont des « suiveux » de la gauche américaine après tout…)

Si ces actions de propagande (pardon de sensibilisation et de démystification) ne suffisent pas, si des parents continuent de s’étonner de cette volonté de déconstruction des rôles sexuels auprès de jeunes enfants, si certains persistent à voir dans ces spectacles de drag queens une caricature outrancière et avilissante des femmes, d’appropriation (pour parler comme les wokes) des attributs vestimentaires et sexuels des femmes par des hommes (un peu comme ces black faces où des blancs se déguisent en noirs). Dans ce cas-là, le gouvernement du Québec a un argument massue : « Vos yeules ! », comme l’a asséné Régine Laurent avec tant de verve et d’aplomb :

C’est évidemment un peu court comme « argumentation ». Un peu vulgaire. 

Régine Laurent apparaissait là sur TVA. Elle a été nommée en 2021 sur le conseil d’administration du Groupe TVA. Elle ne risquait donc pas d’être contredite. 

Née le 9 octobre 1957 à Port-au-Prince, Régine Laurent a été nommée en 2019 par le Premier ministre, François Legault,  présidente de la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse. Protectrice de la jeunesse, vraiment ?

 

Extrait de: Source et auteur

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