Selon la CIA, Zelensky et ses généraux ont détourné 400 millions de dollars

Selon la CIA, Zelensky et ses généraux ont détourné 400 millions de dollars l’an dernier. Mais c’est l’omerta la plus totale.

Cette guerre n’est que mensonges et turpitudes en tous genres. Une poignée de prédateurs profite de ce juteux conflit pendant que le peuple ukrainien est saigné jusqu’au dernier soldat. Et c’est encore Seymour Hersh qui met les pieds dans le plat, après avoir accusé Biden d’avoir ordonné la destruction de NordStream2. Le nouveau rapport de Hersh dévoile ce que beaucoup soupçonnent mais que Biden veut taire.

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400 000 soldats ukrainiens sacrifiés en pure perte, pendant que Zelensky et ses généraux détournent allègrement les aides de l’Otan, telle est la vérité soigneusement occultée pour que les opinions occidentales continuent de pleurer sur le sort de l’Ukraine et de financer la corruption généralisée à Kiev. Pourvu que la guerre s’éternise…

Le Churchill ukrainien, l’idole des médias occidentaux, le héros ovationné dans toutes les capitales et instances politiques d’Europe et d’Amérique, engrange les millions en se posant en grand défenseur de son peuple et en martyr de l’Ours russe. Et ça marche. Il faut dire qu’en Occident, il n’y a plus aucune morale politique, plus aucun sens de l’État, plus aucune intégrité chez les politiciens, véreux pour la plupart. Être un repris de justice n’interdit d’ailleurs aucunement de faire une brillante carrière aux frais du contribuable.

Dans le monde politique, on ne fait plus aucune différence entre porter la Légion d’honneur ou porter un bracelet électronique. De nos jours, un casier judiciaire un peu chargé n’a plus rien d’un handicap, surtout en politique.

Cité par les Panama Papers pour avoir détourné des millions avant la guerre, Zelensky est donc devenu le modèle du camp du Bien, lequel n’a rien trouvé de mieux que de faire de ce saltimbanque une figure héroïque de l’histoire, l’égal des plus grands, symbole du courage. C’est dire où en est cet Occident décadent, qui finira par disparaître, victime de la corruption et de ses turpitudes innombrables.

Mais à Kiev les rapaces se battent pour leur part de butin. La CIA dénombre 35 généraux et hauts fonctionnaires convaincus de corruption et de détournement de l’aide occidentale. Le patron de la CIA William Burns a d’ailleurs évoqué le problème avec Zelensky.

Selon le journaliste d’investigation Seymour Hersh, « Les généraux de haut rang et les représentants du gouvernement à Kiev étaient en colère contre ce qu’ils considéraient comme la cupidité de Zelensky, a dit Burns au président ukrainien, parce qu’il prenait une plus grande part de l’argent que celle qui allait aux généraux ».

Zelensky se taillerait la part du lion ? Comme c’est bizarre !

Une dizaine de fonctionnaires ont été remerciés par notre joueur de guitare à poil, mais visiblement la corruption généralisée qui sévit à Kiev n’est pas une priorité de Washington.

Il est clair que Biden et son entourage gardent le cap et soutiennent Kiev quelle que soit l’ampleur des détournements observés. Apparemment, les services de renseignement américains ne sont plus sur la même longueur d’onde que la Maison Blanche. Mais pas question de diffuser tout ce qui pourrait lézarder la fragile cohésion otanienne. Le discours mensonger reste d’actualité :

Poutine est l’agresseur et l’Ukraine est un pays martyr. C’est un postulat incontournable.

Jusqu’à quand l’Europe va-t-elle suivre aveuglément la politique délirante de Washington, qui détruit l’économie de l’UE tout en renforçant celle de la Russie ?

Jusqu’à quand allons-nous financer la mafia kiévienne, alors que chaque Français, bébés compris, a déjà 45 000 euros de dettes sur le dos ?

Jusqu’à quand allons-nous désosser notre armée déjà paupérisée comme jamais, pour que des généraux ukrainiens corrompus revendent les matériels de l’Otan à travers des sociétés écran qui alimentent le darknet ?

Cette guerre doit cesser car elle engraisse quelques prédateurs en saignant le peuple ukrainien.

Elle doit cesser car elle repose sur un chapelet de mensonges d’État, remontant à 1990, faisant croire que c’est Poutine l’agresseur alors que sa réaction est légitime face aux trahisons et tromperies de l’Occident.

Tout le monde sait que Kiev ne gagnera jamais cette guerre, tout le monde sait que Poutine ne lâchera jamais la Crimée ni le Donbass.

La récente frappe sur le centre de commandement de l’Otan, qui a fait 300 morts, dont beaucoup de généraux et officiers de l’Otan, compromet la future contre-offensive ukrainienne. Plus personne ne croit aux capacités de l’armée ukrainienne de mener une offensive victorieuse face à la puissante armée russe.

N’est-il pas temps d’accepter la défaite et de négocier ?

Depuis un an, Poutine a conservé toutes ses positions, mais l’armée ukrainienne a perdu 400 000 soldats, tués, blessés ou disparus. Stop ou encore ?

Jacques Guillemain

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