La CEDH affirme qu’un papa est un père et qu’une maman est une mère

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Le 4 avril, la CEDH a rendu deux arrêts similaires, A.H. et autres c. Allemagne et O.H. et G.H. c. Allemagne, estimant que le refus d’inscrire en tant que mère une femme transgenre, ou celui d’enregistrer comme père un homme transgenre qui a accouché, ne violait pas le droit à la vie privée. […]

 

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4 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Un papa est un père et une maman une mère. Donc les trans n’ont pas droit au chapitre contrairement à ce que voudraient nombre d’activistes bornés. C’est pourtant simple même si l’apparence semble ambiguë. L’avocat n’est pas libre de faire n’importe quoi. Il se devait de trouver une violation de loi quand l’administration refusait d’inscrire ces trans sous l’étiquette de leur choix et non leur réalité d’origine. Il lui fallait une loi et il n’avait à sa disposition que le droit à la vie privée. Il n’a donc pas eu d’autre choix. C’est pourquoi il a plaidé pour une violation de la vie privée. Et la Cour l’a tout simplement désavoué, considérant que cette action de l’administration n’était pas un violation de la vie privée vraisemblablement parce que la loi et/où les jurisprudences étaient suffisamment détaillées et claires, pour qu’on ne puisse pas l’interprété de manière biaisée pour finir par violer la loi et que le jugement soit cassé en appel, si cette possibilité existe.

    A la limite les juges auraient pu retourner l’affaire et affirmer que c’était eux les demandeurs qui voulaient violer le droit à la vie privée, en ayant ainsi créer leur propre dommage qui n’était pas admissible par les textes. Parce qu’il y a des limites et que la stabilité du droit rend nécessaire qu’il s’écarte des effets de mode. Avec toutes les conneries Woke, il se pourrait qu’un jour des zoophiles émettent les mêmes genres de prétentions parce que des pseudos scientifiques et pseudo médecins auraient trouvé un business lucratif en proposant la transition vers le changement de sexe, additionnée avec un mixage entre l’espèce humaine et une vache.

    Ce qui pourrait être facilité pour des bêtes comme celle-là. https://guardianlv.com/wp-content/uploads/2013/08/Kim-Kardashian-Pregnant-Stylish.jpg Étant donné qu’on leur coupe les cornes, il ne manquerait que l’anneau dans le nez, les pis tout comme le fessier sont déjà très bien adaptés. Il ne manque donc que la tenue à quatre pattes pour faire fureur au Salon de l’agriculture. Et je vois déjà bien des politiciens connaisseurs, se prenant pour Zeus et voulant volontiers lui tâter la croupe. Finalement les Woke vont nous faire tourner en bourrique et retourner entre 4000 ou 3000 ans en arrière, à l’époque de la mythologie grecque avec “IO” https://aestunevache.com/?p=87 Pas de doutes qu’avec la sauvagerie actuelle des grandes invasions migratoires, on va y arriver plus vite que l’on croit.

  2. Posté par miranda le

    .UN SCENARIO BURLESQUE ….. et triste à la fois
    On ne saisit pas bien si le premier cas (XY) f a été considéré comme ce qu’il souhaitait être, c’est à dire UNE MERE.
    Et dans le second cas, (XX) s’il a été considéré comme ce qu’il souhaitait être , c’est à dire UN PERE.

    iL est fort possible que les juges de la CEDH n’oseraient pas s’opposer au diktat de Bruxelles où règnent de nombreux adeptes du Wookisme .Mais, en tout cas l’article nous semble très ambigu et les textes présentés (associés au juridique) sont tout aussi ambigus. Les textes juridiques ont toujours été conçus pour être rendus inaccessible au commun des mortels.

    RAPPEL DU TEXTE :
    Le 4 avril, la CEDH a rendu deux arrêts similaires, A.H. et autres c. Allemagne et O.H. et G.H. c. Allemagne, estimant que le refus d’inscrire en tant que mère une femme transgenre, ou celui d’enregistrer comme père un homme transgenre qui a accouché, ne violait pas le droit à la vie privée.
    DANS LA PREMIERE AFFAIRE, une femme transgenre souhaitait être reconnue comme mère alors que ses gamètes mâles avaient été utilisés pour concevoir l’enfant. Une demande rejetée par l’officier d’état civil le 15 juillet 2015, puis en première instance le 11 janvier 2016, par la Cour fédérale de justice ensuite le 29 novembre 2017, et enfin par la Cour constitutionnelle fédérale le 9 août 2019.
    DANS LA SECONDE AFFAIRE , la CEDH se fonde sur la même loi allemande. Dans cette affaire, il s’agit d’un homme transgenre qui souhaite être inscrit comme père de l’enfant, après lui avoir donné naissance en 2013. Il avait changé de genre en 2011.

    Dans les deux arrêts, le lien de filiation n’ayant pas été mis en cause, la Cour conclut que l’article 8 de la Convention sur le droit à la vie privée n’a pas été violé.

    AVEC NOS MAÎTRES du monde, on sent toujours qu’une action en cache toujours une autre ou même plusieurs autres.
    Le wokisme outil de déstabilisation s’avance lentement mais sûrement. Parce que déjà dans les hautes sphères politiques, le changement de genre est très apprécié et pratiqué.
    Mais est-ce que tout ça ne cache pas ( entre autres) une grande responsabilité des grandes firmes chimiques qui ont fait déverser sur cette terre des millions de tonnes de pertubateurs endocriniens qui agissent évidement sur le développement hormonal de tout individu.
    Pourquoi les générations qui nous ont précédées n’ont elles pas eu ce conflit personnel d’identité? Très rares étaient les hommes efféminés et très rares étaient les femmes masculinisées. C’était comme chercher une aiguille dans une botte de foin.

    Le commentaire qui suit l’article du journal mérite d’être lu.
    LE COMMENTAIRE
    Biem 7 avril 2023, 8 h 33 min
    Il faudrait être clair sur la manière de nommer ces “transgenres”, qui restent XX ou XY quoi qu’ils fassent.
    Si l’individu de la première affaire a des gamètes mâles, c’est que c’est un homme. Le castrer par la suite ou lui charcuter une fausse poitrine ne change rien à la réalité.
    Si l’individu de la seconde décision “a donné naissance”, c’est que c’est une femme. Qu’elle ait changé par la suite son opinion d’elle-même ne change rien à la réalité.

    Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde. Céder au terrorisme intellectuel en acceptant de se plier aux dictats de ces déséquilibrés est inacceptable. La rédaction de l’article est donc inacceptable puisque mensongère.

    Le jour où un frappadingue se prendra pour un poisson rouge, il faut le laisser se noyer la tête dans son bocal? Ce sera une non-assistance à personne en danger, ou la reconnaissance d’une identité assumée différente de la race assignée à la naissance?
    Le jour où un fêlé se prendra pour un lapin, il faut que la société le traite comme tel? Chiche, les lapins sont comestibles – on fait comment?

  3. Posté par Anthony le

    L’homme transgenre qui a accouché !?!? Une femme donc. Appelons un chat, un chat. Ce sera plus clair pour tout le monde.

  4. Posté par Anthony le

    Enfin un peu de bon sens! Tout n’est peut être pas perdu.

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