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Depuis quelques mois, plusieurs squats fleurissent à divers endroits de la commune dans des habitations individuelles en attente d’être vendues ou rénovées.
Les squatteurs profitent d’une porte laissée ouverte ou, dans certains cas, fracturent une voie d’accès pour pénétrer dans le bâtiment.
Ces occupations illicites peuvent entrainer des retards lors de travaux de rénovation, induire un sentiment d’insécurité ainsi que des nuisances pour le voisinage.
Même occupé illégalement, l’état de salubrité du bâtiment pourrait engager la responsabilité des propriétaires ou des collectivités publiques en cas d’accident.
Face à cette situation, chaque propriétaire réagit différemment: certains n’ayant pas de projet immédiat pour leur bien signent un contrat de confiance à durée déterminée avec les squatteurs.
D’autres au contraire déposent une plainte pénale pour violation de domicile et saisissent le Tribunal d’arrondissement pour obtenir l’évacuation forcée des squatteurs au terme d’une procédure plus ou moins longue.
De provenance du sud de l’Europe, les squatteurs sont particulièrement bien renseignés quant aux habitations laissées momentanément vacantes et se montrent peu collaborants avec les autorités.
http://www.le-courrier.ch/wp-content/uploads/2023/03/20221027-C_ORON-001-016.pdf
Lorsque la ”j”ustice est du côté des squatters, il ne reste pas beaucoup de solutions de la part des propriétaires lésés pour recouvrer leurs biens …