À Toulouse, des migrants recrutés par les réseaux de trafiquants : “des bandes de jeunes venus de Mostaganem (Algérie) prennent le contrôle de la délinquance aussi bien dans la rue que dans les prisons” (MàJ)

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27/02/23

Toulouse : des étrangers en situation irrégulière recrutés par les réseaux de trafiquants

(…) La Dépêche


05/03/22

“Des bandes de jeunes venus de Mostaganem (Algérie) prennent le contrôle de la délinquance toulousaine aussi bien dans la rue que dans les prisons. En 2021, plus de 1.000 clandestins venant de cette ville ont été arrêtés pour des vols ou agressions”

« Ils n’ont rien à perdre et sont capables de tout. Il m’arrive d’avoir peur d’être poignardé lorsqu’il s’agit de les interpeller », témoigne un policier municipal. Les forces de l’ordre luttent au jour le jour contre une délinquance portée par certains ressortissants algériens originaires de la ville de Mostaganem. Les pouvoirs publics s’en alarment. Un rapport vient d’être transmis à tous les policiers nationaux du département.

Beaucoup sont visés par des obligations de quitter le territoire mais les relations entre l’Algérie et la France sont actuellement très tendues. « Je pense au cas Fettah Malki, le délinquant qui a armé Merah. L’Algérie refuse de l’accueillir. Et ce n’est pas un cas isolé », explique un avocat. Depuis le début de la crise sanitaire, elle n’a fait exception que pour un seul ressortissant.

La délinquance en matière de stupéfiants, impliquant des Mostaganémois, a explosé en 2021. Elle a plus que doublé en un an. Les atteintes aux personnes prêtées à certains membres de cette population épousent la même tendance depuis plusieurs années. C’est aussi le cas du nombre de procédures judiciaires concernant des personnes originaires de Mostaganem. Il y en avait près de 400 en 2016 pour 800 en 2021.

L’an dernier, plus d’un millier de clandestins de cette ville portuaire d’Algérie ont été arrêtés soit pour vol, agression ou vente de drogue.

(…) Cette domination sur les autres groupes de délinquants se prolonge jusqu’en prison, où ces ados sans papiers s’organisent et forment un véritable gang.

« Lorsque nous les appréhendons, ils nous donnent toujours des fausses identités. Ces migrants sont des fantômes qui voient Toulouse comme un Eldorado », confirme un des policiers.

(…) Une fois installés dans la Ville rose, les plus fortunés ont recours à des mariages gris. « Ils se lient avec des Françaises et ne peuvent donc plus être visés par une interdiction de territoire », assure un expert.

(…) La Dépêche

(Merci à Adri)

 

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