Aucune des grandes villes françaises encore présentes dans le classement n’est épargnée. La France fait, de plus, pâle figure face aux autres villes européennes.
À l’image de la hausse des violences dans les transports en commun, le sentiment d’insécurité des Français ne cesse de progresser au fil des ans. Les touristes qui nous rendent visite partagent malheureusement de plus en plus ce sentiment et dressent un implacable bilan de leur séjour dans nos villes. C’est ce qui ressort du dernier classement mondial réalisé par Numbeo basé sur le sentiment de sécurité des visiteurs. Et le moins qu’on puisse dire c’est que le classement des villes françaises n’est pas très flatteur.
Sur les 12 villes françaises présentes dans le classement, une seule (Strasbourg) figure parmi les 200 premières sur un total de 453. Pour les 11 autres, c’est la douche froide. Bordeaux et Toulouse se retrouvent respectivement 272e et 282e et surnagent avec un indice de sécurité positif tout juste supérieur à 50%. On retrouve Paris à la très peu prestigieuse 350e place et un peu plus bas encore Marseille à la 388e.
Méthodologie
L’indice de sécurité se base sur le seul ressenti des voyageurs. Une méthodologie simple et pragmatique qui a le mérite de donner une vision uniforme sans avoir recours à une périlleuse harmonisation des statistiques officielles émanant de chaque pays.
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Extrait de: Source et auteur
c’est pas difficile , je connaissais Genève dans les années 80 c’était la vraie suisse , idem pour lyon , depuis les étrangers sont venus et les problèmes on commencé , si la peine de mort serait toujours la ça aurait énormement réguler , j’ai demander a sarkozy , a valls a macron , En Fance qui tue qui et qui viole qui ? jamais eu une réponse , et le comble c’est qu on interdit aux femmes les bombes lacrymogène , donc porte ouverte aux viols , la France est classée a la 23 place mondiale sur la corruption
C’est bien connu, l’insécurité n’est qu’un sentiment, un ressenti, une sorte de mirage qui n’a rien de réel. Cette méthodologie de base arrange bien évidemment les affaires des socialo-traîtres qui prétendent nous gouverner. Cependant, cette galère parlementariste fait eau de toutes parts. Ce ne sont plus des brèches qu’il faut colmater, mais des pans entiers de l’édifice qui s’effondrent.