Le basculement de démondialisation est en marche et le résultat de votations partisanes n’y changera plus rien.
Les thèmes des votations du 25 septembre le démontrent amplement. Les options décisionnelles n’appartiennent plus à la cuisine partisane des partis politiques. Imaginer un seul instant qu’un Non à la réforme de l’AVS qui veut prolonger d’une année l’âge de la retraite pour les femmes et en augmentant la TVA de 0,4% débouchera sur une plus grande justice sociale est un leurre. L’AVS était un compromis politique forgé dans une société qui a évolué sur le plan démographique et l’espérance de vie. Il n’y a plus assez, malgré une immigration de peuplement massive, d’actifs pour supporter de plus en plus de retraités qui vivent plus longtemps, et coûtent un bras en soins et en placements institutionnels, allant jusqu’à faire disparaître leurs économies et leur biens immobiliers. La réforme proposée permet de gagner du temps, en remettant à plus tard une refonte complète du modèle, plus proche du réel. Il faut qu’il y ait assez de cotisants pour permettre aux retraités d’avoir un socle de moyens suffisants pour vivre bien. On s’en éloigne progressivement mais inéluctablement et les assurances sont sous l’influence de plus en plus déterminante des variations de la bourse. Il faut donc s’adapter, compenser, permettre des lissages des rentes (anticipées ou insuffisantes en fonction de ce qui a été cotisé, en temps et en quantité). Le modèle proposé est technique et ne vise qu’à gagner quelques années. Politiser là-dessus au nom de l’égalité virtuelle est vain en laissant penser qu’il y a de l’argent et que les riches doivent et peuvent payer. Une réforme vraie pour être acceptable pour tous doit tenir compte du réel de la démographie, de l’économie financiarisée et mondialisée, de la déconstruction des solidarités familiales, générationnelles, de l’inflation et du poison du surendettement. Le OUI est un compromis médiocre mais réaliste techniquement. Ne jouons pas avec les risques et le feu pour faire progresser de quelques sièges seulement la gauche rose/verte aux prochaines élections.
Même problème avec l’initiative sur l’élevage intensif. Il est évident que l’image d’écuries et de poulaillers surpeuplés, d’animaux immobilisés et agressifs les uns envers les autres, sous antibiotiques de manière systématique fait horreur. Mais en fait c’est l’image de l’évolution de notre société, en croissance, surpeuplée, concentrée, vaccinée massivement et préventivement, empoisonnée par des hormones présentes dans l’eau et le sol, la pollution, la raréfaction des ressources. S’en prendre à l’agriculture qui seule empoisonnerait et polluerait n’est pas correct puisque presque tout dorénavant sera industriel et massif (la médecine, l’industrie, le tourisme, l’agriculture). C’est tout le fonctionnement de la société, sa croissance qu’il faudra revoir, en démondialisant, en relocalisant, en organisant des solidarités locales, le bon sens commun, la démocratie de proximité, à dimension humaine. Consommer moins de viande est un choix individuel, l’Etat ne doit pas permettre des changements autoritaires « religieux » sur ce sujet. L’idéal d’une agriculture décroissante est certes émotionnellement attractif. Mis la réalité sera la dépendance extérieure, l’augmentation du coût des produits agricoles, le risque de voir les agriculteurs petits et moyens disparaître au détriment des grandes surfaces et des compagnies multinationales. Les pratiques changent, donnons-nous du temps, reportons les exigences extrémistes idéalistes et faisons confiance au bon sens commun, à l’intérêt général.
Dominique Baettig 2800 Delémont
Bravo pour l’optimisme! Les problèmes de l’AVS, ne peuvent effectivement pas être solutionnés par l’immigration massive, puisque ce sont les envahisseurs colonialistes dont des majorités totalitaires islamiques qui dictent toutes leurs conditions aux Etats devant subir ces assauts, grâce à la connivence des ennemis intérieurs déjà largement issus de ces impostures du droit d’asile bafoué. Nos libertés sont bouffées rondelles par rondelles.
La Tour de Babel est leur modèle de fantaisies idéologiques adaptées à toutes les sauces, avec les conséquences néfastes, économiques et politiques, qui accompagnent de telles fadaises. C’est du reste significatif et biblique que le mot existe dans tant de langues dont des forces scélérates et des sectes qui soutiennent aujourd’hui tous le abus du droit d’asile pour en faire commerce sur notre dos comme dans l’exemple significatif suivant, choisi arbitrairement. On sait que 90% des Éthiopiens, Érythréens, Abyssins sont de véritables parasites réfractaires à l’emploi et ce, même après 10 ans de tentatives échouées d’intégrations illusionnistes, alors on comprend maintenant un peu tardivement pourquoi les Israéliens qui ont subi les mêmes nuisances ont recherché d’autres pays pour s’en débarrasser. Sans compter les escroqueries des regroupements familiaux avec toute la smala des ancêtres qui débarquent à charge de l’AVS et des assurances maladie, sans avoir versé un centime.
Or que peut-on faire avec une AVS bouche-trou des problèmes de la planète de ces conspirateurs idiots utiles ? Car derrière les actions politiques liées à l’AVS, il y a cette autre imposture fatale des investissements à l’étranger. Avec la crise mondiale organisée, on n’est pas prêt de s’en sortir. Augmenter la TVA pour l’AVS n’est qu’un oreiller de paresse pour les politiciens gauchisants qui rêvent d’une TVA à 27% comme en Hongrie pour continuer l’endettement et les cadeaux démagogiques. Déjà cette subite explosion de fric à disposition va immédiatement attirer des requins et faire encore monter le prix de carburants et des autres énergies associées devenues pourtant impératives à la survie de la Suisse et de ses entreprises.
Alors quelles solutions ? Pourquoi la picoleuse Leuthard, admiratrice des sectes lucifériennes a-t-elle intégré le groupe Coop ? Tout simplement pour que Coop ait un pied de facilités à comprendre les rouages de l’administration fédérale afin de savoir comment pouvoir agir plus ou moins légalement pour se soustraire aux pouvoirs des fonctionnaires, donc finalement à ceux délégués du Peuple à travers les actions des parlementaires, déjà salement au service des lobbys plus que du Peuple. Voilà pourquoi toutes les coopératives beaucoup trop milliardaires devraient être ponctionnées par une réforme fiscale intelligente, qui mette un frein aux abus d’investissements visant essentiellement à ce qu’elles se soustraient aux impôts au profit par la même occasion des S.A d’adoption dirigées, par leurs copains et des dynasties familiales déjà à la tête de ces trop beaux fleurons, comme avec le Très.Cher.Système qui pique dans nos poches des favoriser exclusivement les deux roues qu’ils vendent tout en complotant avec les gauches .
Car à l’évidence ces milliards sont sources d’inégalités fiscales. Il suffit de voir à quel point ces sociétés coopératives sont toujours friquées, mais inefficaces en abandonnant certains secteurs, et trop grasses au point qu’aucune concurrence sans un tel statut fiscal n’ait pu les évincer ou même chatouiller leurs dictature, bientôt beaucoup trop soviétiques pour ne pas aussi mettre en péril la démocratie. Elles abandonnent certains secteurs tout en rachetant des entreprises n’ayant pas comme par hasard le statut de coopératives, étranglées par des problèmes de trésoreries, mais susceptibles d’être “sauvées” parce que pleines d’espérances futures.
Et là on tourne en rond, puisque C’EST LA PRESSE PRAVDA TOTALITAIRE et à la botte des gauches, toujours si UNANIMISTES ET DONC LYSSENKISTES PAR ESSENCE, qui leur indique et oriente leurs choix, en désignant les entreprises du futurs telles celle du tout électrique, sans centrales nucléaire, avec les éoliennes, les panneaux solaire, les vélos et voiture électriques etc. des choix dérisoires et sans avenirs possibles, parce que totalement lyssenkistes. Donc sans contradicteurs autorisés à faire valoir leurs preuves et pouvoir dénouer ces nœuds mensongers, alors qu’ils omettant évidemment d’avouer qu’il s’agit là d’un avenir totalitaire et soviétique.
Donc avec des files d’attentes partout et dans des magasins sans viandes et mais pourvu d’insectes, juste pour vous foutre le cafard. Un délire impossible mais s’imposant par la force de la corruption et des pots de vins partout. Et pour compléter et protéger ces abus, une police et une justice à la botte avec l’aide de la psychiatrie instrumentalisée pour combattre les récalcitrants. Et cette terrifiante perspective est déjà croissante et en cours. C’est là le monde proposé par la peste crypto-communiste et antifa Greta, la malade mentale et toute les conspirations des SELISBOLFA (Socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) qui y sont associées. https://is.gd/8pHeTA
Voilà pourquoi Genève a donné le droit de vote et d’éligibilité aux malades mentaux, preuve qu’ils sont déjà dans la place avec les milliards de dettes sur nos têtes et nos libertés.