« Hijab de natation » : Adidas caresse l’islamisme dans le sens du voile

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Adidas vient de lancer une collection de burkini. Le blogueur et essayiste Naëm Bestandji explique en quoi la marque cautionne le sexisme islamiste.

« Couvre-toi et profite de l’eau à la plage ou à la piscine »… Telle est l’injonction formulée aux femmes sur un site Internet. Nous pourrions imaginer naviguer sur un site salafiste ou Frère musulman pour qui l’obsession sexuelle du corps des femmes est maladive et le patriarcat seul moyen, à leurs yeux, d’apaiser leur libido par l’occultation de l’objet de tentation. Pas du tout. Nous sommes sur le site de vente en ligne d’Adidas. C’est sa phrase d’accroche pour proposer sa collection sexiste de burkinis qu’il nomme « hijab de natation ».

[…]

Tribune à lire sur Marianne

 

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2 commentaires

  1. Posté par Sergio le

    Il y a tout de même une immense majorité de femmes qui n’ont pas besoin d’un burkini pour aller nager. Comme il y a une majorité de citoyens qui ne sente pas obligés de faire du lèche-babouches. J’appelle à boycotter les profiteurs de guerre comme Adidas, qui par opportunisme, veut flatter l’ego d’idéologues assassins.

  2. Posté par baechler le

    Nul doute qu’il faut transmettre le message ci-dessous à la Société qui fabrique ces tenues aquatiques très légères pour s’immerger dans l’eau – afin d’éviter une méprise et un mauvais exemple auprès des enfants qui vont s’imaginer que se baigner habillé ne comporte aucun détournement du Principe d’Archimède (cette Société d’habillement ne précise pas si les chaussures sont intégrées à leurs nouveaux modèles de baignade)… :
    “Il est d’abord question d’hygiène. Plus la tenue vestimentaire est couvrante, plus elle transporte de matière organique polluant l’eau et créant ainsi des chloramines, puis, par dégazage, des trichloramines dans l’air. Les chloramines nuisent à la santé, non seulement des baigneurs, mais aussi des maîtres-nageurs sauveteurs. Et nous souhaitons, de fait, protéger le plus possible les usagers des piscines”, explique la municipalité de Toulouse.
    Avant de préciser : “Une personne portant une tenue couvrante sera plus difficilement réanimable qu’une personne en maillot de bain simple. Il faudra, en plus du temps nécessaire pour aller la chercher au fond de l’eau, découper ou arracher ses vêtements qui seront alors une entrave pour un sauvetage optimal”.
    https://www.ladepeche.fr/2022/06/23/info-la-depeche-a-toulouse-des-dizaines-de-femmes-se-baignent-en-burkini-dans-une-piscine-municipale-10391660.php

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