Carla Montet: Georgia Meloni a été attaquée, traitée de populiste, de xénophobe, accusée d'incitation à la haine, pour avoir posté une vidéo floutée du viol d’une pauvre Ukrainienne. (Nous en avons déjà parlé brièvement ici: Le Monde ne veut pas informer sur le viol des femmes par des immigrés.)
Les médias continuent à défendre les criminels et à camoufler le problème de la criminalité amenée par l'immigration. En Suisse romande, la RTS et la presse ne parlent de Georgia Meloni que pour dire qu'elle est de l'extrême droite, voire de l'extrême droite fasciste.
Tout se résume à cela, les problèmes réels sont niés.
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Il se pourrait bien que, dans un mois tout juste, l’Italie ait élu une femme à sa tête. C’est Giorgia Meloni, une Romaine de 45 ans que les sondages donnent gagnante. Elle est à la tête de Fratelli d’Italia, la coalition de droite qui rassemble également la Ligue de Matteo Salvini et les partisans de Silvio Berlusconi de Forza Italia.
Nos médias bien pensants détestent Giorgia Meloni et son slogan aux accents trumpiens : « Relever l’Italie. » Ils la décrivent en épouvantail d’extrême droite, « cheffe de file du parti post-fasciste » (sic), comme l’écrit Le Monde chaque fois qu’il la cite. Car ils en sont tous sûrs, la formation que dirige Giorgia Meloni est la « lointaine héritière du parti néofasciste ».
La preuve par l’info qui révulse aujourd’hui notre grande presse : « La candidate d’extrême droite Giorgia Meloni lance sa campagne des législatives sur un fait divers sordide. »Précisément : « La cheffe de file du parti postfasciste Fratelli d’Italia, favorite dans les sondages, a diffusé la vidéo d’un viol pour exploiter le thème de la sécurité », titre Le Monde. Le HuffPosts’indigne lui aussi : « En Italie, une campagne marquée par l’instrumentalisation d’une agression sexuelle. »
On pense à Papy Voise, le pauvre vieux dont le tabassage par des crapules, à la veille du second tour des présidentielles de 2002, est réputé avoir signé la perte de Lionel Jospin et la victoire de Jean-Marie Le Pen… Cette fois, le crime est affreux et la presse n’a pas assez de mots pour en qualifier l’horreur. Attention, on ne parle pas ici du viol d’une Ukrainienne de 55 ans par un Guinéen de 27 ans. Non, on parle de l’odieuse « instrumentalisation » qu’en a faite Giorgia Meloni alors que, écrit Le Monde (24/8/2022), « cet horrible fait divers aurait pu en rester là et faire l’objet de quelques lignes dans la presse » (sic). Ben oui. Quelques lignes ou même rien du tout. « Mais la scène, insoutenable, a été filmée par un témoin et publiée sur les réseaux sociaux. Une vidéo sitôt reprise par plusieurs quotidiens de la Péninsule, mais aussi, et surtout, par l’équipe de campagne de Giorgia Meloni […] qui y a vu un moyen d’exploiter son thème favori, "rétablir la sécurité dans nos villes". »
Voilà qui constitue, nous dit-on, « un manquement à la dignité de la victime évoquant une séquence "indécente et sans pudeur"». Comment dire… Vous connaissez des viols décents et pudiques, vous ? Moi pas.
La classe politique italienne et même européenne est indignée. Moins par le viol, répétons-le, que par son exploitation : « Il n’est pas possible que la campagne électorale d’une grande démocratie, d’un des pays les plus importants du monde, arrive si bas. On ne se laissera pas emporter », dit le leader du Parti démocrate. Le responsable des Verts italiens renchérit : « Tout cela est inouï et honteux. Il n’y a aucun respect pour la douleur d’une femme qui a subi les pires violences, qui sont utilisées pour la propagande électorale. »
On apprend que la police a ouvert une enquête pour « diffusion illicite de vidéo », la victime ayant confié dans la presse « sa détresse après avoir été reconnue par des proches » (sic). D’où ce commentaire de la présidente de la commission d’enquête sur les féminicides au Sénat : Giorgia Meloni a rendu cette femme « victime une deuxième fois ».
Je résume :
1) Le désespoir de cette femme tiendrait au fait que son entourage a maintenant connaissance de ce qu’elle a subi et non au viol lui-même !
2) Le fait qu’un demandeur d’asile viole une femme en pleine rue apparaît ici parfaitement secondaire et aurait dû, au mieux, ne faire que quelques lignes dans la presse.
3) À l’évidence, pour les médias et la classe politique, il est donc infiniment plus grave de dénoncer les faits que de les commettre. CQFD.
On verra, le 25 septembre, ce qu’en pense le peuple italien.
Source et auteur: Boulevard Voltaire
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La vidéo controversée (6 secondes) a été retrouvée et publiée par Bare Naked Islam, qui rappelle aussi qu'en Italie, 42% des viols sont commis par des migrants, alors qu'ils ne représentent que 8% de la population.
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A propos du viol de Piacenza, Georgie Meloni :
"Je n'ai pas à m'excuser, j'ai partagé la vidéo pour exprimer ma solidarité"
24 août 2022 (vidéo 3:33, sous-titre automatiques disponibles)
En marge du meeting d'ouverture de la campagne électorale à Ancône, la présidente de Fratelli d'Italia Giorgia Meloni revient sur la polémique suscitée par le fait d'avoir partagé sur ses canaux sociaux la vidéo du viol d'une femme à Piacenza. La femme victime de l'épisode a fait savoir qu'elle était "désespérée" d'avoir été reconnue grâce à cette séquence.
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Giorgia Meloni, la postfasciste aux portes du pouvoir
Passée en quelques années de 3 à 20% des intentions de vote, la patronne du parti d’extrême droite Fratelli d’Italia ne cache plus son ambition de gouverner l’Italie.
24 heures 11.06.2021 / Dominique Dunglas, Rome
«Je suis Giorgia. Je suis une femme et une mère, je suis Italienne et chrétienne.» Ce manifeste qui rappelle les devises fascistes des années 30 – «Dieu, famille et patrie» – avait été hurlé à Rome par Giorgia Meloni au cours d’un meeting. Il avait suscité de nombreux sarcasmes et sa mise en musique par un rappeur avait déchaîné les réseaux sociaux avec 11 millions de vues, mais il annonce peut-être la future Italie. […]
Fratelli d’Italia (FI), la formation de Giorgia Meloni, n’est en effet dans les sondages qu’à un point derrière la Ligue de Salvini, le premier parti italien. […]
«Sereine avec le fascisme»
Giorgia s’inscrit à 15 ans à la section de son quartier du MSI, le parti fondé après la guerre par les nostalgiques de Mussolini. Pourquoi un tel choix dans l’environnement de gauche de la Garbatella? La dirigeante évoque les sympathies de droite de sa mère, alors qu’elle surnommait son père «le communiste», et surtout l’assassinat en 1992 du magistrat Paolo Borsellino, un homme de droite, par la mafia.
Giorgia brandit sa date de naissance, 1977, pour couper tout soupçon de liens avec l’héritage du «Duce». Pourtant, elle se déclare «sereine avec le fascisme». […]
Et jamais elle n’a prononcé les paroles d’abjuration, «le fascisme est le mal absolu», de Gianfranco Fini, son prédécesseur à la tête de l’extrême droite. […]
3,6% en 2014, 20% aujourd’hui. Avec un programme politique à droite toute: blocus naval devant la Lybie pour arrêter l’immigration, non à l’Europe, «qui viole les identités nationales», non à la PMA, à la pilule du lendemain, aux mariages gays, aux législations destinées à lutter contre l’homophobie, dénonciation d’un «complot gender», soutien aux gouvernements hongrois et polonais. […]
La fin de la législature est prévue en mai 2023. Mais la fragilité de la coalition qui soutient Mario Draghi peut provoquer la chute anticipée de l’Exécutif. Giorgia Meloni pourrait battre Marine Le Pen sur le poteau et devenir la première femme d’extrême droite à guider un grand pays occidental.
La TSR c`est quoi ? C`est qui ?
LE Monde (l’Immonde) et son décodex veut nous faire croire à un monde qui n’existe pas ou plus …
Les règles de bases du décodex sont forcément liées au journal qui les soutient !
Ne PAS oubliée que le Monde a été condamné pour diffamation.
https://www.lemonde.fr/culture/article/2007/12/26/le-monde-condamne-pour-diffamation_993551_3246.html
https://www.liberation.fr/checknews/2018/02/07/ou-en-est-l-affaire-opposant-les-decodeurs-du-monde-au-blog-les-crises_1628161/
Georgia Meloni a repris une vidéo publiée d’abord par les médias. Elle l’a fait flouter pour rendre la victime méconnaissable et l’a publiée à son tour dénonçant la violence faite aux femmes par les migrants. Les gauchistes de tout bord et les médias de grand chemin hurlent au fascisme. C’est malheureusement l’idéologie affichée par l’Union européenne et les sociaux traîtres qui la composent.