Un agent du FBI plaide coupable d’avoir détruit des preuves disculpant un allié de Trump faussement emprisonné.
Publié le 20.8.2022
Un agent du FBI a plaidé coupable d’avoir détruit des preuves disculpatoires qui auraient disculpé un allié de Trump et un prisonnier politique.
L’ancien sénateur d’État de l’Arkansas, Jon Woods, était un allié et un partisan convaincu du président Trump. Il a même été le premier élu de l’Arkansas à soutenir Trump en 2016.
Deux ans plus tard, il a été condamné à 18 ans de prison fédérale pour avoir obtenu des fonds à donner à une école chrétienne de son État natal, ce qui, selon le gouvernement, a été fait « frauduleusement » sous de faux prétextes.
Cependant, il y avait des preuves disculpatoires qui auraient disculpé Woods. Et cette preuve a été détruite par un agent du FBI – et le tribunal, même la cour d’appel, était au courant.
L’ancien agent du FBI Robert Cessario, l’agent principal dans l’affaire Woods, vient de plaider coupable à l’accusation de « destruction corrompue d’enregistrement dans une procédure officielle », c’est-à-dire qu’il a admis avoir payé une entreprise pour effacer un disque dur afin de ne pas permettre l’examen médico-légal d’un ordinateur.
Dans l’accord de plaidoyer, Cessario a déclaré : « J’ai effacé le contenu du disque dur de l’ordinateur en sachant que le tribunal a ordonné que l’ordinateur soit soumis à un examen médico-légal. Je l’ai fait avec l’intention de rendre le contenu du disque dur de l’ordinateur indisponible pour un examen médico-légal. À l’époque, je savais que le contenu du disque dur était pertinent pour une procédure officielle, à savoir la cause n° 5:17-CR-50010, United States v. Woods et al. J’ai corrompu et fait corrompre les effacements dans l’intention de porter atteinte à l’intégrité et à la disponibilité du disque dur de l’ordinateur et de son contenu pour une utilisation dans cette procédure officielle. »
Les tribunaux étaient au courant de ces faits, mais ont tout de même rejeté l’appel de Woods en 2020.
Woods est toujours en prison à ce jour, avec une date de libération fixée en 2034. Selon certaines informations, Woods est souvent harcelé et maltraité par le personnel de la prison et a été mis à l’isolement pendant 8 mois sans aucune raison.
Jeremy Hutchinson, fils du gouverneur RINO Asa Hutchinson et sénateur d’État aux côtés de Woods, est également impliqué dans cette affaire.
Une source a dit, à propos des Hutchinson,
« Asa lèche les bottes du DOJ et du FBI parce que son fils a des problèmes, c’est pour ça qu’il fait l’éloge du FBI et s’en prend à Trump ». Le fils de Hutchinson était un pro-lifer chrétien qui a coopéré avec le DOJ corrompu et il a été révélé plus tard qu’il a utilisé des fonds qui lui ont été versés en tant qu’informateur du FBI pour financer l’avortement de sa petite amie strip-teaseuse. »
La corruption du camp « never-Trump », incluant notamment le DOJ et le FBI, est apparue pleinement au grand jour récemment. Le cas de Jon Woods n’est qu’un exemple parmi d’autres de la guerre contre le patriotisme.
Extrait de: Source et auteur
ET APRÈS CES DESTRUCTIONS DE PREUVES, IL Y A ENCORE TROP DE ZOMBI(E)S IDIOT(E)S UTILES, QUI NE CROIRONT PAS AUX TRICHERIES INFORMATIQUES ORGANISÉES CONTRE L’ÉLECTION DE TRUMP.
Ceci démontre bien comment et jusqu’où s’exercent les fourberies des bolchévo-nazis cachés dans différents partis, mais plus spécifiquement chez les pseudo “Democrate” de la Triade criminelle Clinton-Obama-Biden, véritables SELISBOLFA (Socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) ces conspirateurs de chez nous https://is.gd/8pHeTA, tout en ayant prêté allégeance aux mêmes sectes, telles les mormons, scientologues etc.. Mais en apparence ce pas avec les camilliani qui sont une spécificité italienne; une mafia exploitant le médical miraculeux et ayant vraisemblablement migré jusqu’au Conseil fédéral, avec leur “sainte” Germana Sommaruga. https://is.gd/9lhpyC Même l’imposteur BERGOLIO n’a pas crû à cette fable, ce qui vu ses délires démontre qu’il n’est pas dupe de toutes les arnaques et qu’il sent le danger. Cette “sainte” est censurée par google depuis la Suisse, lorsqu’on tape Sommaruga secte etc..
Donc vous tapez Sommaruga camiliani c’est ok, encore faut-il savoir ce que sont les camiliani lorsqu’on cherche Sommaruga. Donc en Suisse les trucages avec l’Ukraine doivent aussi passer par là, et les raclures criminelles musulmanes et africaines, mais avec des papiers ukrainiens, des faux de complaisance idéologique, donc reconnu comme tels, ce qui explique le pourquoi exceptionnel à l’origine des permis S. sans aucun contrôle des criminels, pas plus que de savoir s’ils sont vaccinés. Vous voyez là jusqu’où mènent ces conspirations secrètes. A la ruine généralisée à long terme et à l’esclavagisme fiscal.
CETTE AFFAIRE DU FBI EST AUSSI INTÉRESSANTE POUR RAPPELER QU’EN SUISSE IL Y A AUSSI QUELQUES ANALOGIES PLUS OU MOINS VALABLES DONT L’AFFAIRE GIROUD, où on étouffe sous l’avalanche de désinformations dans le but de rendre la vérité inaudible. https://is.gd/cF9Hto C’est un classique dans les affaires juridiques: l’empilage des classeurs vient à bout des meilleures intentions. Et on croirait réentendre les truanderies présumées des soubrettes du ministère public genevois, suspectées à tort … https://is.gd/Dthk5a Mais comme d’habitude la TdG censure ces contenus d’importance publique générale, toujours avec des contraintes d’inscriptions, qui s’apparentent à UN CHANTAGE A L’OBLIGATION D’ÊTRE ESPIONNE CONTRE LE DROIT DE NE PAS ÊTRE CENSURÉ.
Or non seulement les vérités juridiques appartiennent aux Peuples et j’insiste, ne devraient faire l’objet d’aucun commerce (nul n’étant censé ignorer la loi…), mais dans un pays présumé démocratique, elles ne devraient pas être censurées de quelques manières que ce soit, puisque que ces sales manières placent encore cette presse scélérate dans une posture monopolistique lui permettant non seulement déjà de fausser l’esprit de certains jugements dans un premier temps, mais en plus de réécrire a posteriori sur des jugements selon ses propres critères idéologiques unilatéraux en ayant encore ainsi la certitude que les espionnés se tiendront à carreau, parce que se sachant surveillés directement par le personnel informatique du journal, en plus des États-Unis avec les explorateurs des GAFAM et de Swisscom qui a supprimé les possibilités de ne pas être tracés avec le reboot du modem qui changeait l’adresse IP. Tout en sachant aussi qu’ils ont engagé plusieurs programmeurs ukrainiens il y a déjà plusieurs années, ce qui expliquerait bien des piratages actuels.
Ne pas être espionné est un droit fondamental dans une démocratie, mais à l’évidence les ministères publics s’approprient le droit de choisir les critères selon lesquels l’espionnage est validé ou pas. Toute cette fourberie est naturellement conçue pour limiter les droits démocratiques à la justice pour tous les habitants et favoriser une justice de classe grâce aux dégâts financiers découlant du droit d’actionner des recours, alors que les jurisprudences appartiennent et doivent bénéficier aux justiciables.
Ces surcoûts sont tout simplement ceux liés à une pléthore d’agents juridiques bien trop nombreux et pas toujours très compétents, mais revendiquant quand même de pouvoir manger au gâteau de la course aux mandats qui se raréfie ainsi artificiellement. Voilà aussi le pourquoi des officines millionnaires qui exploitent l’immigration de masse demandant peu de travail réel, puisque tout est déjà codifié d’avance et qu’il suffit de copier les précédentes requêtes. De vraies mentalités de fonctionnaires, exactement comme avec le droit immobilier et plus spécifiquement celui des locataires ! Là aussi on finit par mieux comprendre l’influence souterraine et scélérate des Selisbolfa.