“Nous [les Hongrois] ne sommes pas métissés, et nous ne voulons pas devenir métissés” – c’est ce qu’a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orbán lors de son discours à Tusnádfürdő, en Roumanie centrale.
Auparavant, il avait critiqué les pays et les hommes politiques d’Europe de l’Ouest pour avoir encouragé l’immigration et mélangé leur population avec d’autres peuples. Il a déclaré que les villes d’Europe occidentale étaient perdues au profit des populations non-européennes.
M. Orbán a fait valoir que l’Occident s’est déplacé vers l’Europe centrale, suggérant que cette région serait l’avenir de l’Europe (…) Il a déclaré que ce serait la tâche de “nos enfants” d’accueillir les chrétiens d’Europe occidentale.
S’adressant à l’Université d’été de Bálványos à Baile Tusnad (Tusnádfürdő), en Roumanie, samedi, M. Orbán a déclaré que l’Occident et les “troupes” du financier George Soros se battaient contre l’Europe centrale pour “nous imposer les migrants”.
“Les migrations ont divisé l’Europe”, a-t-il ajouté. “L’Occident est coupé en deux”, avec une moitié composée de pays où cohabitent des peuples européens et non-européens. “Ces pays ne sont plus des nations”, a-t-il dit. “Dans un sens spirituel, l’Occident s’est déplacé vers l’Europe centrale”, a-t-il dit. Les deux moitiés de l’Europe sont engagées dans une bataille, a-t-il dit.
L’Occident a rejeté le désir de l’Europe centrale de permettre à chaque nation de vivre comme elle l’entend, “et ils continuent à se battre contre l’Europe centrale pour nous changer afin que nous soyons comme eux”, a-t-il déclaré.
Extrait de: Source et auteur
Et bientôt il va nous ressortir les origines aryennes des hongrois ? Ce type est dangereux !
Le métissage est la seule chance pour instaurer l’idéologie gauchiste.
Un des derniers dirigeants de cette Europe dévoyée qui a gardé la tête sur les épaules ,et ne s’est pas laissé soudoyer par Soros Gates et autres milliardaires haineux et immigrationnistes qui servent leurs intérêts, en entrainant la ruine des états européens qui sont faibles et influençables dont leur peuple ne reconnaissent plus leur pays (la France)