Le samedi 16 juillet, Lisa Mazzone était invitée pour la deuxième fois dans l'émission Forum, pour débattre de l'éternelle préoccupation des gauchistes, l'abstentionnisme, en particulier celui des jeunes. Lisa Mazzone a resservi le projet de son camp pour engranger plus de votes de gauche, c'est-à-dire abaisser l'âge du droit de vote à 16 ans, et autoriser le vote online.
Les marxistes et nos médias progressistes et gauchistes, en diffusant en boucle leurs préoccupations suivies de leurs propositions, poussent vers eux la fenêtre d'Overton pour chaque sujet sociétal. Ils savent d'expérience qu'à l'usure, à force de répéter leurs mantras, la population captive finit par accepter ce qui lui semblait farfelu à la base.
Quatre jours auparavant, Lisa Mazzone figurait déjà parmi les invités de Forum pour porter la cause chérie des Roses-Verts, c'est-à- dire l'immigration illimitée. Tout le monde sait que l'immigration excessive détruit la Suisse, mais pour les progressistes, les immigrés représentent un électorat, et les deux se rejoignent dans une communauté d'intérêts, les seconds vivant agréablement de l'argent des contribuables que les premiers leur garantissent à vie en récompense de leur vote.
Accessoirement, les migrants sont une minorité utile pour la lutte idéologique, car la Gauche se sert d'eux pour se positionner comme des défenseurs humanistes et les désigne par principe comme les victimes qu'ils défendent.
Image: Voici deux des victimes suisses selon la Gauche. Et nous, nous sommes des racistes parce que nous n'en voulons plus.
Par définition, ils sont dans le camp du bien, et tout doit servir au camp du bien: le climat, les genres, les migrants, les inégalités, ou des slogans, comme "la dictature du peuple par le peuple" - qui n'est en réalité que la dictature sur les peuples. La lutte finale marxiste vise le pouvoir mondial absolu, qui n'est autre en réalité que la destruction finale.
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RTS, Forum du mardi 12 juillet: - Y a-t-il encore trop d’immigration en Suisse ?
lien vers l'audio de 22 minutes: https://www.rts.ch/audio-podcast/2022/audio/le-grand-debat-y-a-t-il-encore-trop-d-immigration-en-suisse-25838299.html
Participants au débat: Lisa Mazzone, Verte/GE, Jean-Luc Addor, UDC/VS, Fabio Regazzi, Le Centre/TI et président de l’Union suisse des arts et métiers, Pietro Bugnon, journaliste RTS
(commentaires en italiques: Carla Montet)
Pietro Bugnon, RTS : La Suisse attend pour cette année 200'000 réfugiés, en majorité ukrainiens. Le chiffre fait bondir bien sûr l'UDC, qui menace déjà de lancer une nouvelle initiative. Les milieux économiques et la Gauche rétorquent que cette immigration est vitale pour la Suisse qui connaît une pénurie de main-d'œuvre. Le SECO a également signalé ce manque. Ces trois camps politiques sont sur le plateau pour ce débat.
Pietro Bugnon à Jean-Luc Addor: 200'000 immigrés pour 2022, c'est trop ?
Jean-Luc Addor: Oui, je pense que c'est trop: petit pays, peu d'espace, sollicitation des infrastructures, qualité de vie, perspective de problèmes d'énergie. Ça va contribuer à faire monter le prix du logement, il va falloir construire plus d'infrastructures. Qu'est-ce qui va rester comme qualité de vie, comme perspective à long terme, pas seulement pour les Suisses, mais aussi pour les étrangers et qui vivent chez nous et dont les places de travail sont parfois menacées? Et malgré la pénurie de main-d'œuvre, nous avons des chômeurs qui ne retrouvent pas de travail. Qu'est-ce qu'on va faire pour ces gens lorsqu'on parle d'accueillir "seulement" 200'000 d'étrangers de plus?
Pietro Bugnon à Mazzone: Le 9 février 2014, le peuple suisse a dit oui au frein à l'immigration. Depuis 8 ans la volonté populaire ne semble pas être respectée, non?
Mazzone parle sur un ton enjoué, accompagné de petits rires moqueurs, répond à côté chaque fois que ça l'arrange et poursuit son programme préétabli, qui est d’égrener en boucle son chapelet: "l’immigration est une richesse, nous en avons besoin".
Mazzone: Il y a un manque de main-d'œuvre criant, c'est cela qui menace notre économie. La migration, elle fait partie des solutions, c'est une ressource. À l'échelle européenne, si on l'observe, il y a un manque de main d'œuvre lié au vieillissement de la population. Il y a une concurrence en Europe pour attirer cette main-d'œuvre. Nous avons une situation de guerre d'agression absolument intolérable de la Russie sur l'Ukraine, qui amène un devoir de solidarité.
Et ce devoir de solidarité était porté par la population, on a vu le nombre des personnes qui ont accueilli des Ukrainiens chez eux.
Et il faut qu'on en fasse une richesse de ce devoir de solidarité. Parce que, comme je l'ai dit, on ne peut plus se permettre d'avoir ce débat d'arrière-garde sur la migration parce qu'on a un tel besoin de main d'œuvre. Si on ne prend que la transition énergétique - peut-être que Monsieur Addor est inquiet pour la qualité de vie - si on veut y arriver et devenir souverain en Suisse, en termes d'énergie, on a un besoin de main-d'œuvre incroyable, et on doit lancer une offensive de formation. On doit permettre à ces Ukrainiens et ces Ukrainiennes de trouver des débouchés dans le secteur, ce qui profite à la fois à eux-mêmes, à la Suisse et potentiellement à l'Ukraine s'il devait y avoir un retour.
Bugnon à Regazzi: En 2014, la population a dit Oui au Tessin.
Aujourd'hui, vous, les milieux économiques, vous réclamez encore plus d'immigration, il y a pénurie, il faut débloquer des contingents. On oublie la votation de 2014 ?
Regazzi: Depuis 2014 la situation a changé. Le Tessin a besoin de ses frontaliers pour faire fonctionner ses hôpitaux, ses EMS ne peuvent pas fonctionner sans eux, l'économie suisse en a besoin, sinon notre économie et notre système sanitaire vont se retrouver dans une situation difficile.
Pietro Bugnon à Addor: L'économie en a besoin, ça a été dit dans la Matinale, et vous voulez restreindre cette immigration ?
Addor: Il y a un nombre record d’immigrés. Lors du scrutin contre l'immigration de masse, la Suisse a voté Oui, notamment le Tessin, et pourtant le nombre des frontaliers n'a pas cessé d'augmenter depuis.
Tenir compte des besoins de l'économie, oui, mais aussi de la préférence nationale, occuper les gens sur place d'abord. Entasser toujours plus de personnes n'est pas la meilleure manière de respecter notre environnement. Par contre, oui à la formation pour réduire les besoins de l'économie. Addor parle du dumping qui tire les salaires vers le bas. Besoins de l'économie oui, mais avec la préférence nationale, les Suisses d'abord.
Mazzone susurre toujours sur un ton intimiste: Il y a deux choses. Je viens aussi d'un canton frontalier, Genève. Vous prenez la pandémie. Si on avait complètement fermé la possibilité aux frontaliers de venir travailler à Genève, on aurait eu un réel problème… qui nous aurait coûté cher en termes de santé et de qualité humaine. Donc, ça, il faut en être conscient. D'autre part, il ne faut pas être naïf. Quand on dit qu'on ne veut plus d’immigration (rire), on ne fait pas disparaître la migration. La réalité, c'est que les gens, vous pouvez dresser des murs toujours plus hauts, les gens continuent de venir…
Addor l'interrompt: Madame Mazzone, on ne dit pas qu'on n'en veut pas, on dit qu'on veut limiter...
Mazzone, sur son ton arrogant, enjoué: Si vous me permettez… Et Mazzone continue sur sa lancée.
On crée un monstre bureaucratique et aussi un sous-prolétariat, des personnes qui travaillent au noir, qui sont exploitées. On a vu à Genève la situation des sans-papiers. Voilà le potentiel intérieur à exploiter. Là, Mazzone précise qu'elle rejoint Addor ! En somme, Mazzone fait dire à Addor que le salaire minimum et le permis pour TOUS serait le projet de l'UDC.
Nous savons déjà que depuis l'arrivée des Ukrainiens, c'est env. 1% des réfugiés qui ont fait une demande pour prise d'emploi, sans précision disponible si ces réfugiés travaillent réellement dans la durée, ni si ces Ukrainiens ne travaillent surtout dans le domaine de l'asile, par exemple pour s'occuper des enfants ukrainiens ou comme traducteurs; emplois qui ne font qu'alourdir la facture de l'asile business, charger nos infrastructures, nos primes maladie et nos impôts...
L'histoire de l'humanité prouve qu'il n'est pas possible de mélanger et de faire cohabiter plusieurs civilisations sur un territoire aussi restreint que la Suisse. Il en résultera fatalement que plus personne ne sera chez lui et les conflits seront sans fin pour tous.
Personne non plus pour dire dans ce débat (ni nulle part dans nos médias), que les besoins de l'économie concernent des secteurs spécifiques, et non des emplois où une formation élémentaire peut faire l'affaire.
Si les cantons coupaient dans les prestations sociales actuelles - ce qui est impensable, nous allons plutôt vers une adaptation à l'inflation - aussi bien sûr la durée de l'assistance que sur les critères du minimum vital, il y aurait tout d'un coup plus de personnes disponibles pour se retrousser les manches et accepter les emplois disponibles.
Mais comme l'assistance est devenue un dû, et la plupart du temps non remboursable, c'est cette vie de rêve du tout gratuit, faite de droits sans obligations, qui attire fatalement des migrants du monde entier.
La pression mentale des médias sur la population est telle que nous avons accepté de mettre en pratique un projet dévastateur.
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S'ajoute à cette charge l'accumulation des faux réfugiés, des demandeurs d'asile déboutés, des "non-entrée en matière", et la masse des réfugiés statutaires.
Même parmi ces derniers, les vrais réfugiés sont en nombre limité, car les réfugiés viennent tous de loin, en passant par des pays où ils étaient déjà en sécurité. Une fois chez nous, ils seront tous des victimes, et les accueillants tous coupables. Ceci les exempte de tout remord envers les autochtones qui les entretiennent, dont ils profitent de la générosité sans aucune reconnaissance ni devoir de contrepartie.
Nos migrants ont pu débarquer en Suisse sans problèmes, et y rester, par la faute de notre politique d'asile, qui ne sera jamais assez laxiste pour la Gauche.
Notons également que les lois qui régissent l'asile n'ont pas été adoptées à la réalité depuis la Deuxième guerre mondiale et les médias ont conditionné émotionnellement la population suisse pour qu'elle ne puisse pas s'opposer à ce désastre.
La majorité des migrants extra-européens sont totalement inadaptés aux besoins de notre économie, beaucoup sont analphabètes, sans formation, et non seulement ils sont un fardeau à vie pour la collectivité, mais ils détruisent tout ce que nos anciens ont bâti depuis des siècles.
Les emplois basiques où il y a un réel manque et qui leur seraient accessibles ne les inspirent pas, car la vie d’assisté est plus agréable que la vie de salarié.
Il ne faut pas oublier que même un "réfugié" qui se présente comme ingénieur ou spécialiste sera souvent incapable, une fois en poste, de remplir les standards suisses.
Tout ce genre de population tourne entre le chômage, l'aide sociale et un emploi bancal, présageant des trous immenses dans leurs cotisations de vieillesse, elle ruine tout le système social bâti en 76 ans, détruit la classe moyenne.
Nous savons qu'il y a des réfugiés statutaires ou considérés "inexpulsables," venus de la Corne de l'Afrique, ou d'Afrique subsaharienne, d'Afghanistan, du Pakistan, Palestine..., qui ont obtenu sans aucune raison valable l'asile en Suisse, assorti du droit au regroupement familial, et qui vivent aux crochets de la collectivité depuis des décennies. Aucune information sur ce scandale ne transpire pour en informer la population, les journalistes d'investigation et les statistiques d’État n'en pipent pas un mot.
Retour au débat - Mazzone: Au Parlement, c'est les attaques, notamment des milieux proches de M. Regazzi, contre les salaires minimaux, des salaires minimaux cantonaux qui ont été votés pourtant par la population, il faut ça. Mais il ne faut pas être naïf et au contraire, il faut faire de la migration ce qu'elle est, c'est-à-dire une richesse et une ressource dans un cadre où on peut aussi protéger les droits, parce que ce n'est pas tout de faire venir des gens dans une situation de crise, il faut aussi que s'ils devaient perdre leur emploi, ils aient aussi une certaine sécurité. En termes de formation (des sans-papiers), en terme de crèches, et aussi exploiter le potentiel des femmes, qui sont souvent écartées du marché du travail par les conditions cadre, n'ont pas de places de crèche, pas de congé parental, etc.
Donc les trois protagonistes débattent du fait qu'il y aura 200'000 immigrés de plus en Suisse dans six mois et que ceci ne correspond pas à l'initiative de limitation de 2014, mais Mazzone tourne le non-respect de la votation populaire en un problème de salaire minimal.
La RTS a créé Mazzone de toutes pièces. Cette femme inexpérimentée et privilégiée de naissance, qui a surtout fait de sa vie que du militantisme d'extrême gauche, ne serait rien sans les médias du service public, qui lui donne la parole à tort et à travers sur n'importe quel sujet, pour en faire une personnalité politique qui compte, en lui laissant passer ses stratagèmes, ses réponses à côté, ses contradictions sans jamais la confronter. Malgré ses paroles maniérées, sa stupidité dogmatique, la RTS en a fait l'experte à consulter à tout va pour imposer son ascension de politicienne. Nous avons même vu ses défauts tournés en qualité (inexpérimentée, saluée comme la plus jeune parlementaire).
Les esbroufes de Mazzone et ses semblables, avec la transition énergétique 100% renouvelables et d'autres fadaises néo-marxistes sont en train de nous détruire.
Mazzone a choisi de s'occuper du bien-être de la planète, d'inviter des réfugiés du monde entier, et elle continue encore, alors que l'invasion migratoire aggrave les problèmes d'approvisionnement énergétique, de sécurité, et d'autonomie alimentaire. Son commerce de mirages verts a mobilisé toute la jeunesse, et la foule manipulée réclame encore plus de taxes, de restrictions, le démantèlement de notre niveau de vie, en prônant de ne pas faire d'enfants pou avoir un bon bilan Co2, sans tenir compte du bilan de l'immigration de masses qui se déroule sous nos yeux.
Mazzone continue de réclamer l'augmentation du nombre des étrangers, alors que les loger, les soigner, leur offrir nos infrastructures nous ruine. La Vert.e occulte le fait que la déforestation, le bétonnage, les bouchons sur les routes, le dumping démographique nous amène plus de pollution, de Co2, de dettes, une baisse de qualité de vie, sans parler de la cohésion sociale qui se délite.
Tout incite à conclure que Mazzone hait la Suisse et qu'elle est prête à tout pour défendre sa petite personne, et se moque de nous, en imposant les impostures qu'elle porte.
Ses études en Lettres l'ont rendue omnisciente, spécialiste du climat, de la production agricole, experte en approvisionnement énergétique, en questions économiques, militaires, armement, et bien sûr spécialiste du droit des migrants tel que l'ONU a décrété...
Bugnon à Regazzi: On répète depuis des années qu'on devrait mobiliser les seniors et la main-d'œuvre sur place, est-ce que ce n'est pas une solution de facilité de les chercher à l'étranger?
Regazzi répond assez à côté du problème, comme si c'étaient les crèches qui posaient le réel problème, ou le salaire minimal, alors que le sujet du débat est que la Suisse va se retrouver en une année avec 200'000 réfugiés en pleine crise économique majeure et dans un contexte de guerre.
Bugnon à Addor: L'urgence, c’est de trouver de la main-d'œuvre pour que des entreprises ne délocalisent pas et restent en Suisse. Il y a une solution d'urgence à trouver avec une augmentation des contingents de main-d'œuvre étrangère de professions qualifiées en attendant de résoudre l'éternelle question de la main d'œuvre indigène.
Addor: Depuis 2014, depuis 8 ans, il n'y a pas eu l'offensive de formation souhaitée, et la solution de facilité continue. L'hôtellerie-restauration est en manque. Mais sur la durée, qui va apporter des solutions en termes d'infrastructures, d'assurances sociales? Il faut une préférence nationale ou indigène, y compris pour la formation, mais l'UDC est la seule à la réclamer, c'est-à dire que notre parti est le seul vrai défenseur des travailleurs.... L'écologie est dans l'air du temps mais la vraie écologie va dans le sens de la qualité de la vie, des places de travail pour les gens qui n'en ont pas, qui vivent ici et qui voient qu’on réclame encore plus d'immigration.
Bugnon à Mazzone: Le centriste et l’UDC en face de vous qui réclament la formation, de donner du travail, ça vous rassure en quelque sorte? Mazzone répond que c'est la position de Regazzi qui la rassure.
Puis après cette phrase stratégique pour isoler Addor, la Verte enchaîne, pour bien montrer que le rapport de force est de son côté, avec ses points-balises qu'elle a décidé d'aborder dans l'émission, quelle que soit la tournure du débat. C'est une des méthodes de propagande que Mazzone applique à la lettre.
Mazzone: Il faut permettre aux demandeurs d'asile déboutés, mais impossibles à renvoyer, d'entrer dans le marché du travail. Et c'est le signal et la manière constructive de travailler sur les questions de migrations et de changer de discours. Parce que ce discours stigmatisant, qui fait de l'étranger, l'étrangère, le responsable, la responsable de tous les maux, on ne peut juste plus se le permettre. Enfin, au-delà du fond, sur nos valeurs, on ne peut plus se le permettre parce que le vieillissement de la population fait qu'on a de toute façon un besoin. Et ce besoin, il est là ! Ensuite, il est là en Europe. Donc il y a un vrai enjeu autour de ça. Et il y a un vrai enjeu autour des conditions de travail. Mazzone dit qu'elle prend évidemment la porte ouverte sur la formation, "parce que là encore, on le voit dans le domaine de la transition énergétique, c'est ça qui nous bloque en partie pour développer le solaire massivement, comme on en a besoin.
Mazzone vient de caser dans ce débat sur les 200'000 migrants attendus pour 2022, la transition énergétique, et le solaire. Il fallait le faire...
Mazzone dit qu'il faut concrétiser ces projets et en finir au Parlement avec les offensives anti-salaire minimum. Le salaire minimum (un projet communiste, destructeur de l'économie) permet selon Mazzone de protéger toutes les salariées, tous les salariés, suisses, étrangères et étrangers. Il faut aussi que le Parlement voie aussi en quoi la migration est une richesse, en quoi par exemple, elle nous permet de payer nos retraites, on en a besoin.
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Voici nos richesses, certains déboutés de l'asile, les sans-papiers de Mazzone, en plein travail.
Mazzone affirme qu'ils seraient un grand potentiel à exploiter, et qu'en plus, ils nous permettront d'honorer notre devoir d'accueil. Mazzone réclame de leur offrir des permis, avec le salaire minimum, ça va de soi, afin qu'ils puissent payer les retraites de notre population vieillissante.
La civilisation moderne est bâtie sur la technologie et l'énergie. Sans ces deux éléments, tout s'effondre, la production industrielle, le système hospitalier, les transports, l'approvisionnent en nourriture, etc. C'est cet ordre qui porte cette élite, tous ces nababs sont assis sur le dos des gueux qu'ils ont asservis avec leurs mensonges. Ces politicards refusent de juger leurs dogmes à l'aune de cette réalité. Par des jeux de vocabulaire, comme "décroissance", ils minimisent les conséquences de leurs mensonges, qui vont amener un grave appauvrissement, la ruine économique. En prétextant une nécessité de transition énergétique au nom de la planète, le passage aux énergies renouvelables qui est censé apporter un bilan carbone neutre nous transportera directement dans l'âge des ténèbres. Ces chimères sont tragi-comique mais ces professionnels du hors-sol n'ont qu'une obsession:
"pourvu que je plaise à la doxa dominante pour que je sois réélu, même si la Suisse en crève".
lien vers l'audio de 22 min.: https://www.rts.ch/audio-podcast/2022/audio/le-grand-debat-y-a-t-il-encore-trop-d-immigration-en-suisse-25838299.html
Mais comment peut-on voter des secundos aussi crétins que cela. Sont-ils à ce point incapables de réfléchir ou le but n’est que de détruire La Suisse ?
Si la stupidité est un nouveau genre, alors ce transgenrisme aussi plaira à la doxa dominante…
Elle en a pris combien chez elle la Madame ?
Ukraine: la barre des 60’000 demandes de statut S franchie en Suisse
Berne (awp/ats) – Depuis le début de la guerre en Ukraine, 60’084 demandes pour obtenir un statut de protection S ont été enregistrées en Suisse, a indiqué mercredi le Secrétariat d’État aux migrations (SEM). Quelque 58’095 personnes ont obtenu ce titre.
Par rapport à la veille, 178 personnes supplémentaires ont déposé une demande, a précisé le SEM sur son compte Twitter. Et dans le même temps, 182 personnes de plus ont obtenu le statut de protection.
Si le SEM dispose du nombre de demandes enregistrées et du nombre de statuts octroyés, il ignore le nombre total des réfugiés ukrainiens actuellement en Suisse. Ceux-ci peuvent entrer et se déplacer librement dans l’espace Schengen avec un passeport biométrique sans avoir besoin de visa.
Au total, près de 9,2 millions de personnes ont fui l’Ukraine depuis le début de l’offensive russe le 24 février, selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). L’organisation fait aussi état de 6,3 millions de déplacés internes, ainsi que de 3,6 millions de retours dans le pays en guerre.
ats/ol
20.07.2022
Mais cette brave dame à raison ,d`abord elle montre l`exemple je pense que Madame pourrait en prendre chez elle ,puis on expulse le peuple Suisse ,et on pourrait en prendre 300.000 voir 500.000 personnes ,mais une simple question : qui va payer ?Madame va payer avec ces bonnes idées ! Le mieux dans un premier temps est respecter le votre du peuple Suisse contre les criminels étrangers ,expulser les illégaux ,les déboutés les profiteurs et après on discute .
Pauvre dame déclarer de telles bêtises juste pour exister je trouve très triste.
A INFO. Plutôt “un bon bilan CO2”. Rien à voir avec le cobalt (Co), et il n’existe pas de molécule de Co2.
Que ces gauchistes arrêtent enfin leurs délires. On n’en peut plus de tous ces immigrés. Et le réchauffement climatique dont ils parlent tout le temps. Construire, construire, construire et des immeubles de plus en plus rapprochés et la verdure elle est où pour protéger de la chaleur.
J’adore le commentaire d’Antoine. Ce dernier voit bien clair. Merci à lui
Si la migration finance nos retraites, qui financera la retraite des migrants? Encore plus de migrants?
« en prônant de ne pas faire d’enfants pou avoir un bon bilan Co2 »
« pour »
Je remonte à mon adolescence: Il m’était alors incompréhensible pourquoi on ne distribuerait pas librement de l’argent aux pauvres – c’était tellement évident qu’on pouvait éliminer ainsi la pauvreté ! Tellement simple et logique…
La réalité apprise plus tard était bien différente,..
C’est pourquoi je suis maintenant totalement opposé à abaisser l’age donnant accès au droit de vote – qui donnerait ainsi le pouvoir à la naïveté sociale d’une certaine jeunesse. Et profiterait ainsi à l’attractivité d’une certaine “gauche”. Ainsi qu’à ouvrir la voie à des immigrants qui sont parfois à la recherche d’avantages existentiels et qui n’ont pas l’intention d’apporter quelque chose en contrepartie à la société dans laquelle ils vivront.
”La Suisse devrait tout faire pour empêcher le désastre majeur qui se prépare; une invasion migratoire couplée à une crise de l’énergie.”
Elle ”oublie” que la construction génère énormément de CO2 (béton armé de fer, transport des matériaux, etc …)
Elle ”oublie” qu’elle lutte contre le CO2, mais que depuis la semaine passée, les énergies nucléaires et gaz sont devenues ”VERTES” !
Le Parlement européen en a ainsi décidé !
https://www.rts.ch/info/monde/13224996-le-parlement-europeen-valide-le-label-vert-pour-le-gaz-et-le-nucleaire.html
Elle ”oublie” qu’elle lutte pour la biodiversité; les immeubles pour 200’00 nouveaux migrants occupent des prés et des champs.
Elle ”oublie” qu’il faut nourrir toute la population
Elle ”oublie” l’énergie qu’il faut pour chauffer et transporter ces nouveaux arrivants !
Elle ”oublie’ …. à peu près tout, à part :
“pourvu que je plaise à la doxa dominante pour que je sois réélu, même si la Suisse en crève”.
Le regroupement familial des envahisseurs mahométans est une idiotie: nous ne leur devons rien.