« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » – F. Bacon

 

« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » - F. Bacon

Nous avons eu il y a peu les honneurs de la presse, notamment du SonntagsBlick et de 20Minutes qui ont tenu à faire savoir que notre collectif de défense des femmes serait pour l’essentiel constitué de sympathisantes d’extrême-droite. S'il est vrai que nos militantes ne sont pas de gauche, toutes ont accepté de se ranger derrière la bannière d'un collectif apartisan. Nous ne voyons pas systématiquement dans le migrant un enrichissement culturel ou une nouvelle approche de la vie en société que nous devrions accepter avec le sourire pour cause d’altérité.

 

Nos propos ne reposent pas sur un dogme idéologique, mais simplement sur ce que nous constatons dans notre quotidien, dans la rue. Ce constat est clair, nos harceleurs de rue sont majoritairement des allogènes. Évidemment, la réalité contrarie l’utopie socialiste qui veille à faire taire celles qui, comme les filles du collectif Némésis, identifient les causes du problème et y proposent des solutions. Les opposants à notre mouvement réclament un numéro vert où signaler les violences, ainsi que des centres d’accueil pour victimes, mesures qui peuvent effectivement atténuer les conséquences, cependant sans traiter une cause importante et trop souvent ignorée, la migration.

 

Bien que niant la surreprésentation étrangère au niveau des atteintes à la femme, la gauche réclame néanmoins des cours de conduite en société pour migrants fraîchement débarqués. C’est un aveu implicite : s’il faut éduquer les nouveaux venus, c’est bien que leur bagage ne correspond pas à ce qui prévaut en Suisse. Cela dit, comment croire que quelques heures de cours pourraient changer tout un héritage culturel ? Il n’y a guère qu’à gauche qu’on voit une utilité à ce genre de formation.

 

N'en déplaise aux plumitifs qui tiennent tant à discréditer notre action en la présentant comme le fait de militantes racistes, néofascistes ou néonazies, le Conseil fédéral fait le même constat que le collectif Némésis dans son rapport du 27 avril dernier, Harcèlement sexuel en Suisse : ampleur et évolution. On peut y lire ceci en page 9 au sujet des auteurs : « Plus de 95 % des personnes prévenues étaient des hommes. Le groupe d’âge des 18 à 39 ans en présentait la part la plus élevée et les personnes prévenues d’origine étrangère étaient surreprésentées par rapport à leur part dans la population. »

 

Les personnes prévenues d’origine étrangère étaient surreprésentées par rapport à leur part dans la population. Rien de plus, rien de moins que ce que nous dénonçons depuis longtemps déjà, rien de plus, rien de moins que ce pourquoi d’aucuns nous collent une étiquette raciste.

 

Les filles du collectif Néméis

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