Allah à l'Université
Les citoyens naissent libres et égaux en droit. C’est la règle. Mais en pratique, on se rend compte qu’il y a certaines exceptions. C’est notamment le cas pour les étudiants musulmans suivant leur cursus au sein de l’Université de Genève. Ceux-ci prient cinq fois par jour dans une cage d’escalier faute de salle de prière, local qu’ils réclament depuis des années.
La situation s'est aggravée depuis quelques temps à mesure que les fidèles font l'objet de vexations diverses, genre caricatures de Charlie Hebdo placardées aux murs, tapis de prière dérobés, toutes épreuves dont l'Uni Genève ne semble pas se préoccuper. Peut-être ces actes sont-ils le fait d'autres étudiants fatigués de voir que certains s'exonèrent des règles communes.
La loi sur la laïcité de l’Etat est claire, qui précise que toute activité de culte est interdite dans l’espace public. Mais une loi ne saurait arrêter le Croyant, surtout si elle a été élaborée par des mécréants. Du coup, même si de telles prières sont interdites, les fidèles continuent à les pratiquer. Au mépris de la loi.
Toute tolérance devient avec le temps un droit acquis.
Yvan Perrin, 10.05.2022
https://www.fdesouche.com/2022/06/23/malesherbes-45-le-corps-dune-femme-etranglee-retrouve-son-employe-un-jeune-de-22-ans-connu-sous-plusieurs-identites-par-la-police-en-gav/
Merci de votre commentaire Monsieur Perrin. Le problème s’est certes aggravé au cours des années, mais il n’est pas principalement dû à des vexations comme la publication de caricatures de Mahomet. La cause principale de la situation actuelle est le nombre sans cesse croissant de musulmans dans notre pays. Cette augmentation est revendiquée par la gauche avec la complicité des médias, qui ont facilité l’entrée de ces chances, constamment offensées, sur le territoire helvétique, mais qui de surcroît sont allés les chercher par milliers.