Une jeune femme victime de harcèlement sexuel en pleine rue, à la sortie du métro Esquirol, vendredi 15 avril 2022, à Toulouse s’est défendue. Ce qui n’a pas plu à son agresseur.
C’était la veille du week-end de Pâques, vendredi 15 avril 2022, il était aux alentours de 20h30, et cette jeune femme de 20 ans venait de sortir du métro à la station Esquirol, lorsque son chemin a croisé celui d’un harceleur de rue.
Un homme de 34 ans, sans domicile fixe, pas insensible à son charme. Alors qu’elle était au téléphone, la jeune femme a vu s’approcher cet homme manifestement ivre. Il sollicitait une cigarette. Elle le repoussait tant bien que mal. Il la saisissait par le bras. La demoiselle se dégageait à nouveau.
(…) Mais ils étaient tellement explicites qu’au moment où il a tenté de poser ses mains sur la poitrine de sa victime, cette dernière a réagi avec fougue : un coup de genou dans les parties et un direct en pleine face.
Curieusement, le harceleur ne comprenait pas vraiment le message, puisqu’il saisissait la jeune femme à la gorge avant de lui porter à son tour un coup de poing en plein visage. L’intervention d’un tiers permettait de mettre fin au pugilat.
Merci à Adri
Extrait de: Source et auteur
Encore une impression de violence…
Attention, le chef de l’État est contre la légitime défense. La demoiselle aurait dû se laisser faire et le triste individu qui est intervenu pour la protéger sera châtié. Quant à l’agresseur, il obtiendra tout le soutien nécessaire pour oublier son sort peu enviable et pour qu’il puisse recommencer dans de bonnes conditions.