Surprise : des femmes transgenres mettent enceintes de vraies femmes dans une prison du New Jersey

post_thumb_default

Robert Spencer, 14.04.2022

Les femmes transgenres sont des femmes, nous dit-on, et si vous le niez, vous risquez d'être banni définitivement de Twitter, comme l'a été notre collaborateur Matt Margolis. Mais Twitter n'est pas le seul à appliquer cette nouvelle orthodoxie woke : l'Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) s'est récemment battue pour le droit de vingt-sept condamnés qui prétendent être des femmes à être logés dans une prison exclusivement féminine du New Jersey. Mercredi, cependant, coup dur pour le discours officiel: il a été annoncé que deux vraies femmes détenues dans la même prison étaient tombées enceintes, et qu'une ou deux des femmes trans étaient responsables.

Le quotidien britannique Daily Mail a rapporté mercredi que les deux détenues enceintes du centre correctionnel Edna Mahan de Clinton, dans le New Jersey, qui n'héberge que des femmes (plus de 800), outre les 27 hommes se faisant passer pour des femmes que l'ACLU a fait placer là, "ont eu des relations sexuelles avec des prisonniers transgenres". Il n'a pas été précisé si deux fausses femmes étaient impliquées, ou une seule. Le Mail note que "Edna Mahan, la seule prison pour femmes de l'État, n'exige pas des détenues transgenres qu'elles procèdent à une chirurgie de réassignation pour pouvoir être logées." Ben voyons.

Mais rassurez-vous: "Les responsables de la prison ont déclaré que dans les deux cas, les rapports sexuels étaient consensuels."

Ce bel exemple de la folie de notre époque dure depuis environ un an, depuis que l'ACLU et une femme trans ont intenté un procès, demandant que les prisonniers masculins qui se disent femmes soient logés dans la prison des femmes. L'État a rapidement capitulé. La femme trans qui a intenté le procès, Sonia Doe, a obtenu 125 000 dollars de dommages et intérêts et 45 000 dollars pour les frais d'avocat, et selon le Mail, "ne subira aucune sanction en rapport avec une agression survenue en prison en mai 2019." Sonia Doe a déclaré : "Lorsque j'ai été forcée de vivre dans des prisons pour hommes, j'étais terrifiée à l'idée de ne pas en sortir vivante. Ces souvenirs me hantent encore. Bien que je fasse encore des cauchemars de cette époque, c'est un soulagement de savoir qu'à la suite de mon expérience, le [département correctionnel du New Jersey] a adopté des changements de politique substantiels afin que personne ne soit soumis aux horreurs auxquelles j'ai survécu." Exact. A la place, les détenues seront soumis à d'autres horreurs.

Pourtant, même maintenant que les réalités inexorables de la biologie ont démontré la folie du dogme transgenre, l'ACLU n'est pas prête à céder, même d'un pouce. La directrice juridique de l'ACLU, Jeanne LoCicero, a déclaré que le fait de loger des hommes dans des prisons pour femmes était "conforme aux lois anti-discrimination strictes du New Jersey, qui empêchent la discrimination et le harcèlement sur la base de l'identité de genre".

Peut-être, mais "les lois anti-discrimination strictes du New Jersey" n'empêchent visiblement pas les grossesses sur la base de la réalité du genre. Et les grossesses ne sont pas le seul problème avec les lubies woke que l'ACLU impose à l'État du New Jersey (et au reste d'entre nous). Le syndicat des agents de détention d'Edna Mahan a déclaré : "Nous nous sommes opposés à ce changement de politique en pensant qu'il serait préjudiciable à la population générale des détenues logées à Edna Mahan et qu'il apporterait également un stress supplémentaire à nos agents de détention affectés à cette institution." Évidemment. Mais leur position n'était pas politiquement correcte, et a donc été ignorée.

Attendez, ce n'est pas tout. Selon le Daily Mail, "en 2021, deux prisonnières d'Edna Mahan ont intenté un procès pour demander l'annulation de la nouvelle politique d'identité sexuelle, après avoir été, selon elles, harcelées par des prisonnières transgenres." Les responsables de l'ACLU n'avaient apparemment pas imaginé que les "femmes" dont ils défendaient les "droits" se mettraient à harceler  de vraies femmes, ou alors ils ont chassé cette pensée comme dépassant les bornes de ce que les bons wokes sont autorisés à penser de nos jours.

Les plaignantes "avaient également relevé que les détenues transgenres avaient des relations sexuelles avec des détenues cisgenres." C'était l'année dernière. Depuis, rien n'a été fait. Maintenant, deux détenues sont enceintes. De combien d'autres affirmations de la réalité les responsables du New Jersey ont-ils besoin avant de reconnaître que les femmes transgenres sont des hommes et se comportent souvent comme tels, et n'ont donc pas leur place dans une prison pour femmes ? Dans un monde sain, les deux détenues enceintes du New Jersey seraient l'occasion d'un réexamen de l'ensemble du phénomène transgenre et d'une réaffirmation des réalités fondamentales. Mais ce n'est pas le monde dans lequel nous vivons.

Source: Trans Women Knock Up Real Women in NJ Prison - PJ Media

Traduction libre: Cenator

3 commentaires

  1. Posté par antoine le

    ”Mercredi, cependant, coup dur pour le discours officiel: il a été annoncé que deux vraies femmes détenues dans la même prison étaient tombées enceintes, et qu’une ou deux des femmes trans étaient responsables.”
    Qu’est-ce qu’on rigole !! Ha ha … !!
    C’est vraiment incroyable ce que la Nature peut faire !
    Toute les absurdités débitées par les experts ”woke” peuvent aller se faire voir ailleurs !

  2. Posté par bob le

    Que dire de la dépravation de tous ces gens dans la société…..vous allez payer ah ah ah
    le temp s’approche…..bon courage.

  3. Posté par Sergio le

    Chassez le naturel et…

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.