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Un langage de politicien” –et pas d’un “politique” ! M. Christophe Blocher reprend des éléments de la propagande otanesque comme “euro compatible”, tout aussi dommageables que les sanctions, qu’à raison, son parti dénonce. Ce courageux politicien, immanquablement repoussé du conseil fédéral, après une première et unique législature, semble fort peu au fait de la situation en Russie même, et surtout dans le Donbass… depuis 2014, et à la veille des opérations actuelles ! Il doit songer que les Russes, ont la mémoire courte, égaré en cela par l’ingratitude de ses concitoyen. Il décore, en effet, son propos, fort sensé par ailleurs, des larmoyances crocodilesques des champions des “droits imprescriptibles” en vogue dans les milieux prétendument cultivés, des deux côtés de l’Atlantique.
M. Blocher jouerait-il de cynisme, sachant que l’écrasante majorité des citoyens voguent avec cœur et enthousiasme dans le sens du courant. Qu’il ne s’agit donc point de ruiner les espérances d’un parti qui aura longtemps encore les autres partis contre lui… pour “ne pas faire le jeu des extrêmes”, selon une formule touchante et pittoresque.
Or, les espérances placées, non sans un engagement et une volonté remarquables, dans les droits populaires, s’éliment au fil des scrutins, sur quasiment tous les sujets fondamentaux. L’inéluctable déclin de notre “démocratie directe” tient à deux raisons principales : l’ignorance et l’indifférence, progressant de manière exponentielle, en matière de culture et d’instruction civiques… à quoi s’ajoutent les conséquences inexorables du vieillissement de la population et de l’immigration-fleuve ou indiscriminée.
Dans les propos que le Blick a recueilli, M. Blocher avoue, en sourdine, que s’il ne “donne” pas “dans” la doxa ambiante, il n’a que ses propres publications où s’exprimer. Or, l’isolement, par ostracisme ou par “exlusive”, s’avère diablement efficace dans les démocraties de masse, lesquelles offrent des profils de moins en moins distincts. Car, ne nous y trompons pas, en raison de l’étroitesse de nos territoires et notre fédéralisme, c’est la qualité (ou son absence, en l’occurence) plus que le nombre qui caractérise de tels monstres étatiques et “sociétaux”.
“Je ne veux rien savoir de ce que je crains d’avoir à (re)connaître” s’y avère être l’unique recours pour sauvegarder la paix des moissons, pour autant qu’il y a du blé à récolter. Il peut être “maigre” comme il peut être “riche”, mais nul ne saurait s’en dispenser.
Dans ce contexte ou ce moment historique, les sacrifices élocutoires, les concessions idéologiques ne servent en rien les causes qu’ils sont censés porter. Au contraire, ils les plombent et les dénigrent.
Force est donc de constater que la droite de conviction, en Europe de l’Ouest, n’a plus d’autre effet qu’une parodie – encore qu’en paroles méthodiquement “déchantées”– exécutée par des “boomers” ; parodie guère plus conséquente que les promesses et les menaces ubuesques des “boomers” se flattant de représenter la gauche.
De cette droite, en effet, fort peu ont daigné voir, par exemple, qu’avec la tournée actuellement à l’arrêt du Corona Circus, le caractère “risible” du danger annoncé dissimulait, entre autre, la faillite de la «démocratie». Car tout bon démocrate, et libéral de surcroît, point difficile à convaincre d’avoir à abandonner la perspicacité: “ne veut rien savoir de ce qu’il craint d’avoir à (re)connaître”. Et ne parlons même pas du conflit en Ukraine, M. Blocher nous en dispense, bien malgré lui.
Enfin, vous serez quelques-uns à constater, qu’avec le resserrement de la Toile et le filtrage des réseaux sociaux, il est quasiment démontré, désormais, que tout ce qui s’y exprime ouvertement, ne peut-êre qu’anodin, sans portée véritable, du moins en matières d’éthique et de politique. Ceux-là, et ils sont nombreux qui crurent y découvrir la panacée contre la “pensée unique”, n’imaginaient guère qu’elle puisse être mise aussi simplement et prestement “à la casse”. De plus perspicaces n’ignoraient pas, cependant, qu’il existe un gouffre entre la réalité et les échanges virtuels et le réel ; un gouffre dans lequel ils sont promis à s’enfoncer désormais toujours plus avant.
Pour un temps encore, demeurent des alternatives, n’exigeant guère un niveau d’astuce hors du commun. Mais jusqu’à quand ? Sans même prendre en compte le fait que, ce qui ont la prévenance de se rabattre sur ces moyens, encourent déjà de fatals soupçons.
Ayant voyagé, des décennies durant, entre nuit et brouillard et “plages” ensoleillées –espaces de temps sans doute (dé)terminés,si nous n’y prenons gare– saurons-nous reconnaître, alors, le “Bout de la nuit ” ?.. sans espoir aucun de voir renaître le jour.
Merci Monsieur Blocher. Sans vous, nous serions sous un ciel bleu étoilé et nous compterions en euros. Nous n’aurions certes plus les moyens de passer à la caisse avec le milliard de cohésion, accepté avec condescendance. Par contre, nous aurions l’immense privilège de survivre, pauvres et apatrides comme les autres sous la férule d’une Union européenne sans but.