Que devons-nous à la gauche ?
Chers Amis vaudois,
A l’heure de choisir l’orientation politique du futur Conseil d’Etat, il est bon de se pencher sur ce que nous devons à la gauche. Les camarades aiment dépenser l’argent des autres. Ce serait moindre mal s’ils en faisaient bon usage mais pour l’essentiel, il s’agit de s’assurer une clientèle d’assistés qui soutient volontiers la main qui la nourrit. Cette politique a un prix, une fiscalité élevée pour celles et ceux qui travaillent et financent les largesses incongrues de la gauche sans en profiter.
Au niveau de l’agriculture, la gauche mène depuis presque toujours une guerre sans merci contre les paysans accusés de polluer les sols, de maltraiter leur bétail et d’empoisonner la population avec des denrées bourrées de produits toxiques. A l’heure où la pénurie de blé menace, on mesure à quel point Socialistes et Verts ont perdu tout sens commun. S’ils avaient triomphé dans leur entreprise, nous en serions revenus à l’état de chasseurs-cueilleurs, courant la campagne à la recherche de baies et d’aurochs.
Pour ce qui est de la défense, le Groupe pour une Suisse sans Armée, porté par le Parti socialiste et les Verts, nous vaut de nous trouver aujourd’hui dans une situation particulièrement délicate alors que les événements en Ukraine nous montrent qu’une guerre conventionnelle en Europe reste possible. Nous avons trop écouté la gauche qui affirmait doctement le contraire. Et nous sommes démunis. Et notre sécurité n’est plus assurée.
Quelques mots au sujet de l’énergie. L’écologisme affirme que le renouvelable suffit à nos besoins. Le problème, c’est que le bon peuple n’en est pas convaincu. Il faut donc lui forcer la main à grands coups de taxes, d’interdictions ou d’obligations. Mais les faits sont têtus, même la Conseillère fédérale chargée de nous vendre le programme vert a des doutes. Elle mise sur les centrales à gaz pour assurer une transition sans pénurie entre le nucléaire et le courant vert. Mais voilà, nouvelle erreur, le gaz se fait rare donc cher. La ville d’Yverdon en fait l’expérience, l’exécutif de gauche ayant annoncé une hausse du prix du gaz de 45% dès le 1er mai 2022. Les privés, les entreprises apprécieront ces charges supplémentaires causées par un aveuglement dogmatique, imperméable à la réalité.
La liste des problèmes que nous devons à la gauche n’est de loin pas exhaustive, j’y reviendrai mais je vous engage d’ores et déjà à réfléchir si poursuivre sur la voie de l’erreur est réellement une bonne idée.
Yvan Perrin, 01.04.2022, également sur FB
L'alliance vaudoise vous offre une alternative, ne la manquez pas !
Que devons nous à la gauche ?
Des emmerdes et des dettes !!
La gauche est pour tout casser, pour reconstruire en mieux. C’est un programme débile, car ce qui est détruit, ils ne le reconstruiront pas, par exemple en Ukraine!
L’être humain est ainsi fait, il doit se brûler pour comprendre le DANGER !
Apparemment les citoyens vaudois n’ont pas encore été trop ”brûler” !!
Une augmentation de 45% sur les tarifs de gaz à Yverdon … c’est connu tout le monde est millionnaire à Yverdon !
Si les élus du PS, verts de gris et verts pastèques sont élus dans cette ville du Nord vaudois, il faudra vraiment se poser des questions sur la santé mentale de la population …
A force de trop tirer sur la corde, il va se rompre !
Trop taxer la petite frange de la population qui paie encore des impôts finira bien par en lasser la majorité !
Comme on dit, il faut que les ”quatre sous” descendent … et que les gens se réveillent enfin !
Dépenser les sous des autres ou qu’on ne possède pas relève tout simplement de l’escroquerie de la gôche !
Lausanne a quand même 4 milliards de dettes … le quart monde est bien encré à la muni !
https://www.24heures.ch/la-droite-echoue-a-faire-entendre-ses-craintes-sur-la-dette-908117807379