Depuis quelques jours, les réseaux sociaux bruissent de ce mystérieux nom aux consonances anglophones: «McKinsey». Alors que la présidentielle approche à grands pas, l'affaire pourrait éclabousser le président sortant. Résumé en 5 points.
La collaboration entre le président français et une société américaine pourrait coûter cher au président sortant. Image: EPA AFP POOL
Depuis quelques jours, les réseaux sociaux bruissent de ce mystérieux nom aux consonances anglophones: «McKinsey». Alors que la présidentielle approche à grands pas, l'affaire pourrait éclabousser le président sortant. Résumé en 5 points.
Un nom qui fleure bon le scandale: «McKinsey Gate». Encore inconnu du grand public il y a quelques mois, il s’est imposé dans le débat politique. Cette semaine, on l'a vu surgir sans arrêt sur les réseaux sociaux. D'aucuns spéculent déjà que cette ébauche de scandale pourrait fragiliser Emmanuel Macron, à deux semaines du premier tour de la présidentielle. Voire, même, impacter sur le résultat de l'élection.
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Le recours au consulting a pour but premier de mettre à l’abri de toute critique le vrai responsable d’un échec. Le deuxième avantage est de masquer ses propres insuffisances et de s’attribuer un hypothétique succès. La sottise principale est de dévoiler à un tiers des secrets qui seront ensuite exploités et revendus par les consultants. Le recours à de telles méthodes relève de la haute trahison lorsqu’il s’agit d’un État. Ce qui va comme un gant au Président Playmobile de la République française.