Ndlr.La Suisse doit garder une stricte et totale neutralité malgré toutes les pressions internes et internationales, la plupart voulant tout simplement nous compromettre. Notre rôle reste toujours le même: servir de lieu neutre de négociations, et justement des plus délicates et difficiles. Cela ne signifie pas pour autant notre approbation de l’invasion de l’Ukraine par Poutine. On veut absolument nous culpabiliser et nous accuser de ne défendre que des intérêts économiques et financiers. Aucun argument aussi faux et hypocrite soit-il ne doit intimider et culpabiliser nos autorités. Une certaine ancienne conseillère fédérale socialiste qui a soutenu le criminel de guerre devenu Premier ministre du Kosovo, Hashim Thaçi, – sans doute est-ce cela “la neutralité dynamique”- devrait avoir honte encore aujourd’hui, se taire et laisser le gouvernement agir. Il va de soi que tout cela ne compte pas pour les médias qui ne cessent de l’inviter! Une nouvelle fois ils en disent long sur eux-mêmes.
La pression sur le gouvernement pour qu'il soutienne les sanctions occidentales contre la Russie s'accroît. Washington et Bruxelles souhaitent un changement de cap.
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La Suisse est neutre et son rôle en s’impliquant dans le conflit consiste donc à tout faire pour réunir les belligérants autour d’une table, en les respectant tous !
Etonnant quand même tous ces bien-pensants qui veulent se battre… enfin… c’est pas eux qui iraient au front mais les enfants des autres bien sûr !
Et je viens de lire que bloquer le swift bancaire des Russes est l’équivalent d’un recours à l’arme atomique…. les débiles qui avancent des imbécilités pareilles ne devront pas s’étonner si la Russie acculée balance ses bombes nucléaires sur les pays occidentaux !