Le non au train de mesures en faveur des médias prouve que les électrices et les électeurs de notre pays ne veulent pas de contenus moralisateurs et non-critiques de la part des médias de gauche. L’UDC regrette en revanche le non à l’abolition du droit de timbre ; ce dernier affaiblit la place économique Suisse et tout particulièrement les PME. L’UDC va redoubler d’efforts pour soulager les entreprises par d’autres biais.
L’UDC est réjouie par le rejet du « train de mesures en faveur des médias » par le peuple. Ce dernier a mis un coup de frein à la cupidité des éditeurs et empêché, de fait, une dépendance accrue des médias de l’Etat. Cette votation témoigne une fois de plus du bon flair des citoyennes et des citoyens, qui savent déceler les projets dictés par les intérêts personnels des projets d’intérêt commun. Le résultat est clair : le Souverain veut un paysage médiatique diversifié et non pas un ensemble uniforme de gauche et pro-gouvernement. La décision du peuple est un vote clair en faveur d’un esprit et d’un discours critiques face à l’Etat et sa politique. En outre, les Suissesses et les Suisses rejettent une mise sous perfusion des médias par l’Etat qui faussent les règles du marché.
Alléger les charges sur les entreprises, préserver les emplois
L’UDC regrette le refus du peuple d’abolir le droit de timbre. C’est une occasion manquée d’abolir ce reliquat qui affaiblit le capital propre, entrave l’innovation et met des bâtons dans les roues de la place économique et tout particulièrement des PME.
L’UDC va redoubler d’efforts pour soulager les entreprises par d’autres biais ; cela s’avère d’autant plus nécessaire en raison de la perte de la Suisse d’un important avantage concurrentiel en raison de l’introduction du taux d’imposition minimum par l’OCDE. Nous devons améliorer les conditions-cadres en faveur des entreprises et réduire la charge fiscale qui pèse sur ces dernières. En ce sens, l’UDC demande notamment un abaissement des taxes sur les carburants et soutient la réforme de l’impôt anticipé qui sera débattue cet automne. Le but est le rapatriement en Suisse des affaires, emplois et recettes fiscales des entreprises actives à l’étranger.
L’UDC est la seule force fiable qui s’oppose systématiquement à la politique anti-économique de la gauche rose-verte, cette politique qui détruit la place industrielle suisse et avec elle nos emplois et notre prospérité. L’UDC s’engagera de toutes ses forces, y compris lors de la prochaine année électorale, pour mettre un terme aux agissements destructeurs de la politique de redistribution conduite par la gauche rose-verte.
La Suisse des interdits est en marche
Le oui à l’interdiction de la publicité des produits du tabac signe un peu plus l’arrêt de mort du libéralisme suisse qui fut pourtant un grand contributeur du succès de notre pays. Aux yeux de l’UDC, l’interdiction de la publicité des produits du tabac est une intolérable atteinte à la liberté économique qui de plus n’atteint pas son objectif de protection de la jeunesse. L’UDC s’engagera de toutes ses forces, y compris lors de la prochaine année électorale, pour mettre un terme aux agissements destructeurs de la politique de mise sous tutelle conduite par la gauche rose-verte.
Le non à l’interdiction de l’expérimentation animale est toutefois un signal positif pour l’UDC, puisqu’il renforce la recherche et le progrès médical en Suisse. Nous en profiterons tous.
Les médias menteurs par omission sont étonnés de constater qu’ils sont détestés et qu’on ne les croit plus.
Les romands pour un cadeau à plus riches qu’eux, formidable ! Et tout cela pour lire les mêmes salades que l’on prenne une édition ou une autre avec les mêmes fautes d’orthographe et de grammaire. UN GRAND MERCI aux Suisses allemands.
Alléluia, STOP la propagande des socialos (politiquement corrects) des verts pastèques pro UE pro migrants antidémocratiques antipatriotismes traîtres (mangé du pain suisse mais défendu les U E) subventionnés par les poches des contribuables.
TRÈS BIEN… Bravo les Suisses Allemands et heureusement qu’ils sont majoritaires … Dans ce cas-là.
Encore une fois, la Suisse doit son salut aux Suisses allemands, qu’ils soient remerciés. Sans eux, aujourd’hui, nous compterions en euros.