Gates of Vienna a déjà parlé des agissements désagréables des demandeurs d'asile aux Pays-Bas dans les bus et les trains.

Ces «jeunes» ont tendance à devenir violents lorsqu'on leur demande leur titre de transport, aussi le gouvernement a-t-il cru trouver la solution miracle en mettant en place un service de bus gratuit spécial réservé exclusivement aux enrichisseurs culturels. 

Mais comme le rapporte l'article ci-dessous, les jeunes ont dédaigné ce cadeau et la nouvelle ligne a été fermée.
Les problèmes ont donc recommencé et les agences de transport exigent l'intervention du gouvernement.

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Les transports publics tirent le frein d'urgence au sujet des demandeurs d'asile

Les sociétés de transport Arriva et Chemins de fer néerlandais pressent le gouvernement d'agir. Selon elles, les résidents des centres d'asile causent des troubles et mettent en danger la sécurité de leurs employés.

Cela a surtout été un problème ces derniers mois dans et autour de la gare de Zwolle. Les transporteurs craignent que le problème ne devienne de plus en plus important si les autorités ne font rien.

Les ennuis dus aux demandeurs d'asile venus des pays dits «sûrs» sont depuis assez longtemps un problème principalement concentré sur la ligne de chemin de fer Emmen-Zwolle. Pour remédier aux nuisances dans les trains, une ligne de bus a finalement été ouverte spécialement pour les réfugiés des «pays sûrs» pour leur permettre de regagner le centre pour requérants de Ter Apel. Il n'est pas nécessaire d'acheter un billet sur cette ligne.

Ligne de bus spéciale annulée

Mais cette ligne spéciale n'était guère utilisée, rapporte Arriva : « Le bus circulait trois fois par jour de Zwolle à Ter Apel. Une moyenne de 5 à 7 passagers par jour ont utilisé ce bus, répartis sur les trois courses. Certains jours, il n'y avait même aucun passager. Face à ce peu d'utilité, et en concertation avec le ministère de la Justice et de la Sécurité, la commune d'Emmen et Arriva ont décidé de supprimer la ligne. »

Pas de ticket

Une décision logique en soi, estime Arriva. Mais les deux sociétés de transport reprochent au gouvernement de ne pas avoir pris préalablement de nouvelles mesures. Maintenant, les requérants doivent à nouveau prendre le train et donc être en possession d'un billet.

«Ce que nous constatons, c'est que souvent les personnes du centre d'asile n'ont pas de ticket et se retrouvent bloquées à la gare de Zwolle. Si nous abordons ces personnes, des situations peuvent survenir qui peuvent mal tourner», explique Leonie Bosselaar, porte-parole des Chemins de fer néerlandais.

Cela se traduit souvent par des crachats et des insultes, mais cela peut aussi devenir plus incontrôlable. Selon les Chemins de fer néerlandais et Arriva, le principal problème est qu'ils n'ont pas de billet ou n'ont pas l'argent pour l'acheter. "En tant que transporteurs, nous devons y faire face, et nous en appelons au gouvernement pour qu'il intervienne."

Le gouvernement doit fournir une solution rapidement

Les transporteurs veulent que le gouvernement fournisse une solution "en amont". Bosselaar : "Ainsi, nous pourrons éviter de gêner les autres usagers dans le train et à la gare."

Selon la porte-parole Bosselaar, il s'agit d'un problème de société, dans lequel non seulement les transporteurs, mais aussi la police, par exemple, doivent s'impliquer.

Arriva rapporte : « Insultes, intimidations, crachats : notre personnel y est régulièrement exposé. Il faut faire quelque chose à ce sujet. C'est un problème de société qui, selon nous, doit être résolu par le gouvernement.

*Merci à Gary Fouse pour la traduction (anglaise) de cet article de RTV Oost :

Source: https://gatesofvienna.net/2022/02/cultural-enrichment-on-public-transportation-in-the-netherlands/

Traduction Cenator