Thaïs d’Escufon séquestrée chez elle et agressée sexuellement par un homme se disant tunisien, elle a déposé plainte

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Son témoignage :

J’ai hésité, par pudeur, avant de savoir si je devais ou non vous raconter ce qu’il m’est arrivé hier matin.
J’ai finalement décidé de le faire, car j’ai la chance d’avoir des soutiens nombreux pour partager mon message et faire en sorte que mon expérience malheureuse soit utile, qu’elle puisse réveiller le maximum de monde sur ce qu’il se passe en France et en Europe.

Ce qu’il m’est arrivé, c’est ce pourquoi on m’a traitée de menteuse, de raciste, de fasciste sur le plateau d’Hanouna quand je l’ai dénoncé. C’est ce que des milliers de Françaises subissent tous les jours. Ce qu’il m’est arrivé, c’est ce que je dénonce et ce pourquoi on me censure.

Hier en rentrant de ma séance de sport, j’ai manqué vivre le pire. Tout est allé très vite.

J’ai été séquestrée une demie-heure par un migrant d’origine Tunisienne qui a cherché à me violer.
Il s’est introduit chez moi alors que j’avais mes écouteurs, je ne l’ai pas entendu arriver dans mon dos. Tout s’est passé si vite, il a fermé la porte et pris la clé que j’avais mise dans la serrure. Je me suis retrouvée seule avec cet homme, enfermée.

Qu’est ce que c’est long une demie heure avec un fou chez soi, dont vous ignorez tout. Peut-être était-il armé ? Camé ?

Je précise que ce migrant ne me connaissait pas et ne m’avait pas reconnue. Cela aurait pu vous arriver à vous aussi.

J’ai eu énormément de chance, j’ai réussi à m’en sortir indemne physiquement mais j’étais encore terrorisée par ce qu’il venait de se produire et je tremblais en pensant à ce qu’il aurait pu m’arriver.
Deux heures plus tard, je trouvais la force d’appeler la police et porter plainte contre x pour agression sexuelle.

Je ne souhaite pas me faire plaindre, d’autres ont eu moins de chance que moi. Mais simplement en profiter pour faire passer un message.

Nous avons raison et ce que j’ai vécu hier matin me l’a encore rappelé.

Nous ne faisons que décrire une réalité que nous VIVONS dans notre chair et que ceux qui nous traitent de racistes perchés sur leurs tours d’ivoire ne vivront jamais.

Ne les laissez jamais vous déstabiliser.

L’insécurité n’est pas qu’un sentiment, elle s’introduit jusque dans nos foyers. On ne peut plus fuir le réel, il est devant notre porte.


La plainte :

 

Extrait de: Source et auteur

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Un commentaire

  1. Posté par Sergio le

    La description correspond à la majorité des racailles qui infestent la région. Dans le cas improbable d’une arrestation, cette chance risque tout au plus de se faire psychiatriser. Quant à la victime, vu son passé extrêmement chargé, elle l’aura sans doute provoqué.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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