Les lesbiennes snobent sur le plan sexuel les transgenres, elles n'en veulent pas.
2021.11.02 - hirado.hu
Transphobie: C'est la guerre entre les femmes transgenres et les lesbiennes
Une enquête auprès d’un groupe de lesbiennes a fait beaucoup de bruit car l’enquête a révélé que la majorité des lesbiennes font face à de graves accusations et menaces si elles refusent de coucher avec des transsexuels.
La BBC a produit un reportage renversant sur le phénomène, et une avocate a également relaté son expérience personnelle. La réponse des personnes transgenres n'a pas été en reste non plus, plusieurs milliers de transgenres les accusent de transphobie dans une lettre ouverte.
Une avocate lesbienne de 43 ans dit avoir vu de ses propres yeux comment des personnes identifiées comme étant des femmes transgenres harcèlent et contraignent les jeunes filles lesbiennes naïves et vulnérables, a rapporté le Daily Mail.
L'avocate, Lucy Masoud, qui était un pompier, a déclaré après que la BBC a révélé dans un rapport que les lesbiennes étaient accusées de transphobie et subissaient des menaces violentes lorsqu'elles avouaient qu'elles n'étaient pas attirées sexuellement par les femmes transgenres. Elle a rajouté qu'elle trouve vraiment sinistre et violent que si les lesbiennes refusaient de s'allonger avec des hommes biologiques, elles seront qualifiée de bornées ou de transphobes.
Comme l'a révélé une enquête menée par un groupe de campagne appelé Get the L Out, il n'est pas du tout rare qu'une lesbienne se retrouve dans cette situation. Plus de la moitié des quatre-vingts femmes interrogées par le groupe ont déclaré avoir été contraintes ou forcées d'accepter une femme transgenre comme partenaire sexuel. Au total, 66% ont déclaré se sentir intimidées ou menacées dans les groupes LGBTQ.
« Ce que je vois dans les clubs, c'est que les jeunes lesbiennes un peu naïves sont essentiellement obligées d'avoir des relations sexuelles avec des personnes qui se décrivent comme des femmes, mais évidemment elles ne le sont pas » , a expliqué Masoud au média en ligne nommé « Femail ».
Elle trouve scandaleux que lorsque les jeunes filles lesbiennes essaient de dire non, elles soient accusées d'être transphobes ou extrémistes.
Elles sont également interdites sur les sites de rencontre en raison de leurs opinions exclusives
L'avocate a confirmé les résultats de l'enquête avec des expériences personnelles.
« Nous rencontrons des personnes qui prétendent être des femmes transgenres, n'ayant subi aucune intervention chirurgicale, et qui n'ont même pas essayé de changer leur apparence. Elles affirment être transgenres, pas binaires ou genderfluid, et prétendent être lesbiennes. Elles peuvent s'identifier comme elles le souhaitent, pour autant que cela n'affecte pas ma vie.
La difficulté, cependant, survient lorsque ces personnes exigent ensuite que les lesbiennes les acceptent comme transsexuel et sortent avec elles. »
Elle expliqua : Poursuivant son expérience personnelle, Lucy Masoud a raconté avoir été bannie d'un site de rencontres appelé Hinge après avoir écrit qu'elle ne voulait rencontrer que des personnes « biologiquement des femmes ».
Elle a d'abord défini son profil comme «femme à la recherche d'une femme», mais a été confrontée au fait qu'à chaque troisième ou quatrième coup, c'était un transgenre. Elle a ensuite modifié son profil : "Tout ce que je demande, c'est que vous soyez précis, ne vous inquiétez pas que j'aime trop la série Love Island et soyez biologiquement une femme."
Peu de temps après avoir enregistré ses nouvelles préférences, elle a été définitivement bannie de l'application pour cause de transphobie. « Il était clair que plusieurs personnes se plaignaient de mon profil, disant que j'étais transphobe », a-t-elle souligné.
« À 16 ans, j'étais heureuse de déclarer que j'étais lesbienne, attirée par les personnes de même sexe et que je ne couchais qu'avec des femmes. Je ne peux pas faire ça maintenant parce que je suis immédiatement accusée d'être fanatique et transphobe, ce qui me semble fou. En tant que femme de 43 ans, je suis désormais moins en sécurité quand je dis que je suis attirée par le même sexe que lorsque j'avais 16 ans », a- t-elle avoué.
Menaces sévères, chantage émotionnel
À la suite d'une enquête menée par le groupe Get the L Out, la BBC s'est entretenue avec trois femmes lesbiennes en utilisant des pseudonymes. Les personnes interrogées ont déclaré avoir fait face à de graves menaces et à un chantage émotionnel après avoir déclaré qu'elles ne voulaient pas avoir de relations sexuelles avec des femmes transgenres.
L'une d'entre elles, Jennine, qui n'est attirée que par les femmes biologiques, a déclaré qu'elle a été traitée de transphobe, fétichiste des organes génitaux, perverse et « terf » (excluant la féministe radicale).
Elle a déclaré à la BBC que quand elle a refusé une intimité avec un transsexuel, on lui a dit que s'ils étaient dans la même pièce qu’Hitler, il choisirait d'étrangler la lesbienne qui se refuserait aux avance d'un trans que d’étrangler Hitler.????
« C'était une déclaration violente tellement bizarre qu'elle a été abasourdie. Juste parce que je ne suis pas attirée par les femmes transgenres », a-t-elle déclaré.
Une autre femme, qui a utilisé le pseudonyme de Chloé, a déclaré avoir ressenti une telle pression externe à l'université qu'elle a finalement couché avec une femme transgenre, même si elle a essayé à plusieurs reprises d'expliquer qu'elle n'était pas attirée par elle. Elle a ajouté que les femmes transgenres imaginaient que les lesbiennes n'étaient pas attirées par le genre biologique, mais par le genre annoncé, et qu'elles étaient incapable de voir une différence, alors qu'elles détestaient chaque minute passée ensemble.
La BBC aussi accusée de transphobie
Il y a eu une réaction inattendue de la société LGBTQ au rapport d'enquête de la BBC. Une lettre ouverte avec plusieurs milliers de signatures transgenres a été envoyée à la rédaction, condamnant à la fois l'auteur de l'article et le comité de rédaction pour ce qu'ils pensaient être une tentative délibérée de condamner l'existence même de leur groupe.
« Les conclusions de l'article suggèrent que les femmes transgenres présenteraient un risque suffisamment élevé pour les cyber-lesbiennes que le public devrait voir cela comme un phénomène général plutôt que comme une expérience incroyablement rare et isolée », a déclaré la lettre ouverte.
Il a été écrit que l'article posait cette question comme étant un problème dangereux et répandu, tout en reconnaissant qu'il n'y avait aucune preuve solide que ce n'était pas des allégations isolées.
I’m supporting women who are #CisWithTheT today.
And I’m very proud to put my name to an open letter to the BBC regarding an article published on 26th October by Catherine Lowbridge - @TransActivismUKhttps://t.co/lX0IWYANbk… pic.twitter.com/oJgsqOLk5L
— Jimmy (he/him) 🏴🇪🇺🏳️🌈🏳️⚧️🇵🇸 (@JimJamGin) October 27, 2021
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I’m supporting women who are #CisWithTheT today.
And I’m very proud to put my name to an open letter to the BBC regarding an article published on 26th October by Catherine Lowbridge - @TransActivismUKhttps://t.co/lX0IWYANbk… pic.twitter.com/oJgsqOLk5L
— Jimmy (he/him) 🏴🇪🇺🏳️🌈🏳️⚧️🇵🇸 (@JimJamGin) October 27, 2021
source: https://hirado.hu/cikk/2021/10/27/kitort-a-haboru-a-leszbikusok-es-a-transznemuek-kozott
Traduction: Cenator
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Ainsi, dans la mouvance LGBTcul, les rapports sexuels contraints sont cautionnés, et si la personne refuse, elle est condamnée par le groupe auquel appartient le refusé ? A la trappe, le consentement!
Les problèmes de ces minorités je n’en ai RAF. Moi je suis un mâle attiré par les femmes, les vraies, pas les mâles se prenant pour des femmes. Je suis transphobe? La belle affaire!
C’est super ce qui se passe et c’est une bonne nouvelle que ces gens qui nous méprise s’entre déchirent c’est ces salopards qui nous calomnies l’oppresseur et oui bande bâtards vous qui faisez les inquisiteurs en hurlant au patriarcat en nous culpabilisant et en nous disant que nous sommes des privilégiés voilà que soupe à la merde progressistes se retourne contre vous…
N’oublions que les Lgbt comme les féministes sont responsables de tous cette déchéance.
Je ne suis pas attiree ni pour les ynes ni pour les autres, mais je pense que toutes les personnes ont le droit de choisir leur partenaires sans etre condamnee pour son choix!
C’est un sujet réservé exclusivement aux journalistes. Seuls les spécialistes non genrés.ées ont accès à la discussion. Il est de la plus haute importance de les laisser entre eux.elles.
En tout cas, ce que l’on peut constater, c’est que nos élites mondialistes connaissent à la perfection l’art de la division. Les multiples communautés qu’ils ont encouragées, commencent à se dédaigner et à s’affronter de diverses manières.
Que sera le monde de demain dans lequel devront évoluer les enfants. Les repères seront tellement bouleversés qu’on peut se demander comment ils s’y adapteront.
Nos élites mondialistes ont aussi le goût “immense” de défier l’ordre naturel. La loi boomerang le fera peut-être revenir au pas ou au galop. Car l’humain y est par nature, très attaché et n’a pas le goût de la déstabilisation permanente.