Twitter a encore sévi : après la fermeture du compte personnel de Trump, c’est au tour de celui de Renaud Camus de faire les frais de la politique de purification du géant américain – pour avoir dit des Blancs, qui fuyaient les banlieues de l’immigration (à la grande indignation des bien-pensants) : « S… de Blancs, en plus ils ne se laissent même pas égorger sur place ! » Zou, ni une ni deux, son compte Twitter a été supprimé. D’un clic. La guillotine, c’était couic ; Twitter, c’est clic. Le résultat est le même, symboliquement parlant. Aujourd’hui, les Gafam vous coupent le sifflet comme par magie. Celui qui croyait pouvoir gazouiller librement est condamné au silence. « Il faut aujourd’hui de l’or, beaucoup d’or, pour jouir du droit de parler ; nous ne sommes pas assez riches. Silence au pauvre », lançait Lamennais en guise d’avertissement. Silence aux dissidents, silence aux véritaires, silence au grand écrivain !
(…) Eléments
Extrait de: Source et auteur
Personnellement, je vis très bien sans twitter. Il y a des alternatives qui méritent d’être soutenues.
C’est ce qui arrive quand on laisse la gauche acquérir trop de droits, elle mord la main qui l’a nourrie. Les musulmans font de même à la différence près que la main, ils la coupent.
Puisque les réseaux sociaux censurent à tours de bras, ignorons ces ”justiciers” du XXIème siècle !
Les informations importantes et essentielles vont toujours circuler …