Un professeur suédois plaide pour le sabotage des pipelines pour stopper le changement climatique (audio)
Il a écrit un livre intitulé «Comment faire exploser un pipeline» et loue la violence de Black Lives Matter
Un professeur suédois a récemment participé à un podcast du New Yorker avec David Remnick pour expliquer pourquoi il pense que les militants du climat doivent recourir au « sabotage » pour atteindre leurs objectifs.
"Je recommande que le mouvement se poursuive avec des actions de masse, la désobéissance civile, mais s'ouvre également à la destruction de biens", déclare Andreas Malm (photo), professeur d'écologie à l'Université de Lund, dans le podcast. Il continue à soutenir les grèves et les occupations, mais "si peu de choses ont changé, et tant d'investissements sont encore faits dans de nouveaux projets de combustibles fossiles".
"Je suis donc en faveur de la destruction des machines, des biens, mais sans nuire aux personnes", poursuit-il, "c'est là une distinction très importante, et je pense que la propriété peut être détruite de toutes sortes de manières ou peut être neutralisée de manière très douce, comme lorsque nous avons [dégonflé des 4x4 en 2007], ou d'une manière plus spectaculaire comme en faisant potentiellement sauter un pipeline en construction.
Malm, qui a écrit un livre intitulé "Comment faire exploser un pipeline", préconise ce qu'il appelle le "sabotage intelligent".
Il a donné l'exemple d'une entreprise française, Total, qui construit un « oléoduc chauffé » en Ouganda et en Tanzanie.
« Si les gens de la région attaquaient le matériel de construction, faisaient exploser le pipeline avant qu'il ne soit terminé, je serais tout à fait pour. Je ne vois pas en quoi ces dommages matériels pourraient être considérés comme moralement illégitimes », dit Malm.
Il ne répond pas quand Remnick lui demande s'il pense s'engager lui-même dans l'éco-terrorisme.
« Si je préparais quelque chose, je ne le dirais ni à vous ni à personne », dit-il. Mais il ajoute qu'il est "prêt" à s'engager dans des activités de sabotage planifiées.
Dans l'interview, on entend également Malm faire l'éloge d'autres personnes qui ont commis des sabotages, tandis qu’il critique les enlèvements de travailleurs du pétrole, par ce que l'intervieweur appelle des "activistes".
Les deux hommes ont discuté d'un exemple du début des années 2000 au Nigeria. Bien qu'ils ne précisent pas de quel incident il s'agit, un exemple de l'Irish Times en 2007 semble correspondre à ce qu'ils ont dit.
« Les enlèvements contre rançon sont fréquents dans le delta producteur de pétrole… [l'] incident porte à au moins cinq le nombre d'étrangers retenus en captivité par divers groupes armés », rapportait l' Irish Times en 2007. « La violence s'est intensifiée dans le delta du Niger appauvri, au début de l'année dernière, lorsque des rebelles armés exigeant le contrôle des revenus pétroliers et la fin de l'incurie des politiciens corrompus ont commencé à faire exploser des oléoducs et des champs pétrolifères. »
"Les dommages matériels sont techniquement réalisables", a déclaré Malm. Il a également fait l'éloge des pirates informatiques qui ont paralysé le Colonial Pipeline aux États-Unis.
"Je n'ai rien contre les tactiques employées par [les groupes climatiques non-violents]", dit Malm, qui voit au contraire un problème lorsque les gens refusent d'aller au-delà de la non-violence. Cet « engagement dogmatique » est « fautif » selon le professeur d'écologie.
"La plupart des mouvements sociaux qui ont combattu là où il ne semblait y avoir aucune chance … ont utilisé plusieurs tactiques différentes, allant de la destruction de biens à la confrontation avec la police", dit Malm.
Il ajoute que la destruction de biens par les manifestations de Black Lives Matter après la mort de George Floyd fait « partie intégrante » de leur mouvement.
Malm rejette également les inquiétudes selon lesquelles la violence de certaines manifestations de BLM aurait nui au mouvement.
Pour lui, la prise d'assaut d'un poste de police de Minneapolis "a été un catalyseur pour le mouvement".
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Cenator: Ci-dessus, l'exemple suédois montre où peut mener le genre de raisonnement que tient Extinction Rebellion.
Décidément, le délire néo-écologiste ne connaît pas de limites.
L’idéologie de l'urgence climatique se résume en un mouvement marxiste révolutionnaire mondial 2.0, qui cherche à piller et détruire en exclusivité l'Occident. Et cette fin justifie tous les moyens.
C'est un véritable fléau que le Parlement suisse soit "verdi" par des spécimens semblables et hélas, le Centre, les jadis de la Droite sont sans foi ni loi, ils ratissent pour des raisons électorales là où ça paye.
Augmentation de l'essence, 1,3 milliards sans condition à l'UE, les taxes à gogo, les trahisons quotidiennes de ces partis envers le peuple suisse rythment note vie.
A présent, nos Khmers Verts, via leurs avocats bénévoles/subventionnés, veulent obtenir le droit de continuer à prendre la population en otage.
Bien entendu, s’il était permis de désorganiser la vie en société dès qu'un de ses aspects ne convient pas à une minorité, n'importe quelle idée à la mode pourrait être imposée à la majorité, et ce serait la porte ouverte à l'anarchie – ce qui est au fond le but fantasmé de ces "rebelles". Ces illuminés veulent nous faire croire que, si la démocratie cédait la place au chaos, ils auraient, eux, la capacité de bâtir un monde plus juste et plus durable, où ils auraient bien entendu une place de leaders...
Extinction-Rebellion Lausanne
[...] le Ministère public ayant requis 130 jours-amende de 30 francs et 1200 francs d'amende.
L'homme comparaissait pour plusieurs actions, dont le blocage du pont Bessières, du rond-point de la Maladière et d’autres carrefours au centre-ville de Lausanne. Sa participation au blocage d'une succursale d'UBS, elle, sera jugée ultérieurement.
>> Lire à ce sujet: Premier procès d'une longue série pour les activistes d'Extinction Rebellion
Recours annoncé
[...]
Les activistes pro-climat ont préalablement affirmé à plusieurs reprises que les condamnés feront systématiquement recours et poursuivront leur action, si besoin, jusqu'à la Cour européenne des droits de l'Homme.
"Pas des entraves, mais des actes citoyens"
Élément nouveau, les militants d'Extinction Rebellion ne plaident plus l'état de nécessité face à l'urgence climatique, un argumentaire notamment utilisé par les activistes du climat qui, en 2018, avaient improvisé une partie de tennis dans une succursale du Crédit Suisse. En juin dernier, le Tribunal fédéral avait statué qu'il n'était pas possible, dans ce cadre, d'invoquer l'état de nécessité.
>> Plus de détails dans notre article: Partie de tennis au Crédit Suisse: les activistes désavoués au Tribunal fédéral
Ils plaident désormais la liberté d’expression et la liberté de réunion. Ces manifestations font partie des droits fondamentaux qui fondent la démocratie et contribuent, selon la défense, au débat d'intérêt général, en cherchant à attirer l'attention du public sur l'importance des questions climatiques. Ces actions ne sont pas des entraves, résument les activistes, mais des actes citoyens de lanceurs d'alerte.
Bien que relevant la "sincérité, la franchise et la cohérence du combat assumé" du jeune homme, le juge Pierre Bruttin a estimé que "le droit de manifester n'avait pas été respecté", insistant plusieurs fois sur le respect de l'autorisation de pouvoir manifester.
Rendre visible la cause écologiste
[...]
article complet: https://www.rts.ch/info/suisse/12530220-un-premier-militant-dextinction-rebellion-condamne-par-la-justice-lausannoise.html
L’imbécile heureux, et comment vont ”ils” arrêter les volcans?
”Je suis donc en faveur de la destruction des machines, des biens, mais sans nuire aux personnes” déclare Andreas Malm.
– A-t-il mis en miettes son smart-phone dernier cris ?
– A-t-il brûlé ses Nike ?
– A-t-il détruit ses bordereaux d’impôts ?
etc …
Il est en train de scier la branche sur laquelle il est assis mais il va le découvrir bientôt lorsque tous les biens de consommation courants vont manquer … !!
Le réveil va être très dur pour ce genre d’individu.
”Un professeur suédois plaide pour le sabotage des pipelines”
Faire exploser un pipeline commence par se procurer des explosifs ou ne méthode pour les fabriques …
En cas d’explosion, le pétrole va souiller le sol et surtout en cas d’incendie, le dégagement de CO2 sera extrêmement grand !
En conclusion : pour soi-disant stopper les émissions de CO2, il faut polluer les sol avec du pétrole et émettre du CO2 !
Exactement le contraire des ONG écologistes …
Comprenne qui pourra !!