Cenator: L’ex-agent du KGB et transfuge Youri Bezmenov a expliqué que les services secrets soviétiques ont cherché à détruire l’Occident principalement à travers la démoralisation de la population et le travail d’influence auprès de la jeunesse par la mise en place des manifestations pacifistes pour le désarmement. La guerre froide est finie mais les destructeurs de notre civilisation, mus par la même idéologie sont toujours à l’œuvre.
L’éco-anxiété est créée par ceux qui cherchent la disparition des Blancs. Elle ne marche pas sur la diversité, ni sur les vieux. L’idéologie victorieuse n’accable en rien les conquérants: au contraire, les Blancs sont les seuls coupables de tous les maux et ils leur sont redevables.
L’éco-anxiété est utile seulement pour ceux qui cherchent la disparition de la civilisation des Blancs (un enfant, ça pollue), et elle leur sert d’outil pour détourner les regards des véritables problèmes qui sont amenés par le multiculturalisme.
L’éco-anxiété fait aussi marcher le business des milieux psy, un milieu fortement imbibé par l’idéologie dominante, une usine à gaz en constante croissance dans les villes de Gauche. Comme la vente de drogue, qui coule à flots dans ces villes: la Gauche crée des problèmes pour proposer ensuite ses remèdes, toujours aux frais de la collectivité.
L’éco-anxiété affecte majoritairement les femmes, qui sont dit-on plus émotives et donc plus manipulables.
L’éco-anxiété, c’est l’hystérie du XXIe siècle.
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Éco-anxiété : près d’un jeune Occidental sur deux serait touché…
Certes, l’époque est anxiogène ; mais, toutes choses bien pesées, guère plus que les précédentes. Ou, autrement, comment expliquer que nos ancêtres aient pu prendre femme pour fonder une famille, quelques années avant les guerres de 14-18 et 39-45, périodes qui ne s’annonçaient pas tout à fait riantes ? À croire que l’espoir faisait alors plus vivre que le désespoir.
Est-ce encore vrai, aujourd’hui ? On peut se poser la question à la lecture de l’étude publiée par la revue censée faire la pluie et le beau temps en matière de santé climatique, The Lancet Planetary Health, selon laquelle près d’un jeune sur deux souffrirait, aujourd’hui, « d’éco-anxiété ».
Bien sûr, les « jeunes » sondés sont issus du monde occidental ; ce qui peut expliquer que, sur un panel de 10.000 personnes, âgées de 16 à 25 ans, « 75 % des répondants puissent juger le futur “effrayant” ». On ajoutera encore que « 50 % des jeunes interrogés se sentent tristes, anxieux, en colère, démunis ou coupables face à la crise climatique ».
Et ce rapport de conclure : « Ces facteurs de stress psychologique menacent la santé et le bien-être et peuvent être considérés comme moralement préjudiciables et injustes. » Calimero n’aurait pas mieux dit.
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Et maintenant, la grande trouille climatique, encore plus volatile, mais autrement plus prégnante : « Les jeunes individualisent le problème climatique. Ils pensent que c’est de leur ressort. C’est notamment dû au récit autour de la crise climatique : ce serait une affaire de décisions personnelles », nous dit cette même étude.
D’où la naissance d’un héroïsme de substitution consistant à fermer le robinet pendant qu’on se brosse les dents, histoire de « sauver la planète », alors qu’avant, il suffisait seulement de lutter contre le gaspillage. Il est vrai que ces jeunes angoissés ont quelques raisons de l’être. Ne serait-ce que par le matraquage médiatique les enjoignant de faire perpétuelle repentance pour un « écocide » aux contours des plus flous. [...]
article complet: https://www.bvoltaire.fr/eco-anxiete-pres-dun-jeune-occidental-sur-deux-serait-touche/
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