Après avoir mis en lumière les conflits d’intérêts entre certaines ONG et des juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), l’ECLJ a poursuivi ce travail d’enquête auprès d’une autre institution internationale basée à Genève : le Conseil des droits de l’homme des Nations unies.
L’ECLJ est fier de publier aujourd’hui un nouveau rapport prouvant des atteintes à l’indépendance de nombreux experts de cette institution.
Dans son précédent rapport, l’ECLJ avait démontré l’existence de conflits d’intérêts touchant des juges de la CEDH. L’exactitude de ce premier rapport a depuis été reconnue par les ambassadeurs du Conseil de l’Europe[1]. Cette fois, l’ECLJ s’est attelé à étudier méticuleusement pendant plusieurs mois les déclarations publiques de financement des experts de l’ONU. Nous avons ensuite tenu à les interviewer pour avoir leur avis sur ces questions. L’ECLJ a pu réaliser plus de 25 entretiens avec ces experts des Procédures spéciales de l’ONU. Ce qui en ressort est édifiant.
La principale conclusion de ce rapport est que des fondations privées financent directement des experts de l’ONU pour que ceux-ci rédigent des rapports allant dans le sens voulu par ces fondations privées. Ces rapports sont ensuite promus comme des recommandations indépendantes émanant de l’ONU, et repris par des gouvernements et des juridictions internationales pour soutenir ou justifier leurs décisions. Ceci est en contraction flagrante avec le code de conduite des experts et les résolutions du Conseil des droits de l’homme. Les experts devraient être indépendants, non seulement vis-à-vis des États mais aussi vis-à-vis des fondations privées qui veulent aligner l’agenda des experts sur le leur.
Un exemple parmi d’autres tiré de notre rapport : Juan Méndez, Rapporteur spécial sur la torture entre 2010 et 2016 a été en même temps membre du conseil d’administration de l’Open Society Justice Initiative[2]. L’Open Society Foundations lui a fourni un financement sur deux ans de 200 000 USD pour financer son centre de recherche l’Anti-Torture Initiative qui l’assiste dans la rédaction de ses rapports[3]. En 2015, Monsieur Méndez a reçu 90 000 USD de la Fondation Ford, pour organiser une consultation d’experts sur le thème du genre et de la torture[4], puis pour engager un assistant de recherche en vue de la rédaction d’un rapport sur le genre et la torture et pour en faire la promotion[5]. Le rapport officiel de l’expert sur le genre et la torture fut publié par l’ONU le 5 janvier 2016 et promeut l’avortement dans les mêmes termes que les fondations qui l’ont financé[6]. À aucun moment le Rapporteur ne fait référence à la générosité de la Fondation Ford ou de l’Open Society Foundations.
On observe à nouveau que l’Open Society et ses fondations affiliées figurent parmi les plus généreux pourvoyeurs de fonds auprès des experts du Conseil des droits de l’homme, aux côtés de la Fondation Ford.
Il ressort également de notre enquête que la situation des experts varie grandement. Certains ne sont pas financés, d’autres résistent aux propositions ou démissionnent et sont donc très heureux que le travail d’enquête de l’ECLJ voit le jour. D’autres encore semblent accepter les financements privés sans réellement comprendre en quoi cela serait problématique et d’autres enfin acceptent avec plaisir les centaines de milliers de dollars pour promouvoir des causes qu’ils partagent avec les fondations, quand bien même ces combats idéologiques iraient au-delà de leur mandat.
Dans son rapport, l’ECLJ s’attache à expliquer les causes de cette faille dans la protection de l’indépendance des experts ; pourquoi des fondations privées investissent massivement dans les Procédures spéciales de l’ONU ; pourquoi ce sont bien souvent les mêmes qui agissent auprès de la CEDH et quelles solutions seraient envisageables pour éviter cette « capture » des experts onusiens.
L’ECLJ se réjouit que Valeurs Actuelles ait consacré cette semaine sa couverture et un dossier de 12 pages à cet important travail d’enquête. Les données et conclusions de ce rapport se fondent en effet sur les déclarations officielles disponibles librement sur le site internet du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, sur les sites internet des fondations finançant les experts et sur les affirmations directes de certains de ces experts des Procédures spéciales.
Avec ce deuxième grand rapport pour favoriser l’indépendance réelle des institutions internationales, nous vous encourageons à participer à notre engagement en lisant ce rapport et en le partageant le plus largement possible. |
Bah c’était juste les mêmes à financer le ptit malrasé de 39…
SOROS EST LE PARFAIT REPRESENTANT D’UN ETAT PROFOND MALFAITEUR ET MONDIALISTE !
Il a tripoté des fortunes colossales comme par hasard, à la fois liées aux profits nazis et bolchéviques. Un secte à lui seul, une sorte de doublure de Mitterrand lequel a été décoré de la Francisque par le Maréchal Pétain pour finir par s’allier avec des communistes avec son programme commun. Ou encore comme Chirac qui distribuait l’Humanité à l’Université pour finir par se faire passer pour gauliste et de droite. De Gaule ayant eu les mêmes zig-zag aussi avec les communistes ce qui démontrait ainsi leur importance à la fois financière et politique.
On le voit rien ne vaut d’avoir couru les extrêmes, pour finir par être élu grâce au ventre mou d’un centre virtuel. Et POUR SOROS, C’EST AUSSI LA RECETTE DE SA PRODIGIEUSE IMMUNITE CIVILE ET PENALE, tant il tient par la barbichette le monde des tricheurs fiscaux et autres crapules du bandistisme ordinaire. Et ce ne doit pas être Biden qui, comme Sénateur, a représenté durant 36 ans le Delaware, paradis fiscal au sein même des Etat-Unis qui pourrait être son ennemi.
Or on sait bien que les paradis fiscaux ont couvert les cachotteries financières des services de renseignement de nombreux pays. Donc les tuyaux Democrates rejoignent là ceux de la CIA du FBI et de tout ces paravents de l’État profond américain qui ont organisé la victoire du tricheur Biden, tout en arrêtant pas de déglinguer Donald Trump avec des accusations un peu trop nombreuses et fantaisistes.
Donc Soros&Cie a aussi les satellites militaires des Etats-Unis à sa disposition, qui lui permettent de spéculer sur les catastrophes plus ou moins naturelles et d’arroser tous azimuts. L’important n’étant pas de prendre parti en arrosant mais d’avoir suffisamment de liquidités pour arroser tout le monde et choisir celui qui en recevra le plus, histoire de durer à travers les changements politiques.
https://lesobservateurs.ch/2021/05/15/les-juges-soros-de-la-cedh-et-le-silence-gene-des-quotidiens-francais-de-gauche/
Jean-Francois Morf le 31 juillet 2021 à 12h49
Ce ne serait pas suffisant du fait des complicités des politiques , des milieux d’affaire dans tout les pays, la purge doit être mondial , faites le même jours a la même heure en tenant compte des fuseaux horaire, sans restrictions aucunes , quittes a faire le vide immédiatement.
Une seule méthode possible contre la famille Soros: faire comme avec la famille Ceausescu…
Et les journalistes faux culs pleuraient à chaude larmes.
Ce genre de manipulation mondiale doit être dénoncée au plus haut niveau.
Que notre gouvernement oblige les dirigeants à revoir leurs copies !
Nous en avons MARRE de toute cette corruption due à s0r0s !!
Au vu de cette corruption qui ne se cache même plus, une initiative exigeant un retrait de l’ONU (et de toutes les organisations qui lui sont liées) devrait être soumise au peuple Suisse dans les plus brefs délais.