Cenator: Alors que la RTS ne cesse de dénoncer la manque de liberté de la presse en Hongrie, voici une parfaite illustration de ce que signifie la liberté des médias dans la tête des journalistes audibles en Suisse romande.
S'interroger sur l'interdiction du terme islamo-gauchisme, c'est comme se demander comment interdire le réel, comment le remplacer par un réel acceptable pour les médias mainstream, un réel qui permette de maintenir l'hégémonie culturelle.
Vouloir interdire le terme islamo-gauchisme, c'est nier l'existence des phénomènes sociétaux les plus brûlants qui préoccupent tous ceux qui échappent au contrôle mental de la bienpensance, c'est se préoccuper du moyen de réduire au silence ceux qui débattent de ce phénomène, c'est délibérer sur la manière de nier l’existence de tous ceux qui ne sont pas sous la domination de la pensée unique.
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1er débat RTS (2:55)
En France, la notion d'"islamo-gauchisme" fait polémique dans le milieu universitaire
Alexandre Habay en direct de Paris avec Renaud Malik
Pourquoi ce terme revient si souvent dans le débat politique.
Comment est-ce qu’on peut expliquer cette volonté de la part d’une ministre ?
En effet, elle a soulevé des émotions dans les universités qui seraient le nouveau terrain de chasse des islamo-gauchistes.
Sur CNews, qui serait le Fox News français, elle a annoncé cette enquête. Le CRNS va mener une enquête sur ce qui relève de la recherche et ce qui relève du militantisme et d’opinions.
Renaud Malik : Comment réagissent les milieux concernés ?
Alexandre Habay : Le CRNS s’est fendu d’un communiqué acerbe dénonçant une pseudo-notion, à laisser aux animateurs de CNews, ou plus largement de l’extrême droite, qui l’a largement popularisée.
Avant Frédérique Vidal c’est Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’éducation, qui s’est alarmé des ravages de l’islamo-gauchisme à l’université.
RM : Ce terme nous renvoie à quoi ? Qui sont au fond les IG ?
AH : C’est un vaste débat. A la base, une supposée convergence entre l’extrême gauche et les milieux islamistes, qui remonterait aux années 70, dont Pierre-André Taguieff, le premier qui l’ait utilisé dans les années 2000.
Aujourd’hui, il sonne un peu comme un anathème, qui fait penser aux accusations de trotsko-fascisme, ou de judéo-bolchévisme d’un autre temps. Certains retournent le stigmate et se revendiquent islamo-gauchistes pour s’amuser et pour neutraliser son usage disqualifiant.
Renaud Malik : Il y a quand même des intellectuels qui disent que cela renvoie à une réalité ?
AH : Oui, et ce ne sont pas forcément des fous furieux ! Jacques Juillard, Gilles Kepel, Marcel Gauchet, Pascal Bruckner, ou encore Elisabeth Badinter utilisent ce terme, ils désignent ainsi les milieux progressistes, qui militent parfois aux côtés des mouvements qu’on peut qualifier d’islamistes. Les musulmans, remplaçant du coup le prolétariat de jadis dans une perspective révolutionnaire.
Alors, ils ont des combats en commun, pour la Palestine, contre l’impérialisme occidental, ou plus récemment, contre l’islamophobie. Et on arrive au cœur de ce qui fait tiquer en France, au gouvernement, parfois à droite, mais aussi à gauche, à savoir l’importation des USA des Critical Studies, des nouveaux champs de recherche sur le post-colonialisme, avec un intérêt toujours plus marqué pour la race.
Le spectre d’une diffusion de la cancel culture américaine plane sans doute et ça fait grincer des dents aux défenseurs de la tradition française qui se déclare universaliste.
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2e débat 21.02.2021
Faut-il interdire le terme d’islamo-gauchisme ?
L'islamo-gauchisme, fantasme ou réalité?
Débat entre Alexandre Habay, correspondant pour la RTS à Paris, Laure Lugon, journaliste au Temps et Philippe Bach, rédacteur en chef du Courrier.
Renaud Malik : Suite à la polémique déclenchée par Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, CNews a dit : Le gauchisme gangrène la société dans son ensemble et gangrène l’université, qui n’est pas imperméable, car elle fait partie de la société.
Renaud Malik : L'islamo-gauchisme, c'est cette prétendue complaisance d’une partie de la gauche à l’égard de l’islam radical. Pour la ministre, c’est pire qu’un problème, c’est une gangrène. Et elle veut enquêter dans le monde académique pour en mesurer l’ampleur. Stupeur, on l'imagine, dans le monde de la recherche, appel à la démission de la ministre Frédérique Vidal et le dossier est encore loin d’être refermé.
Renaud Malik à Laure Lugon : ce n’est pas la première fois qu’on entend ce terme IG. Vous-même, vous l’avez utilisé dans un de vos articles concernant la division au sein de la gauche genevoise.
Je vous pose la question très directement : L’IG, ça existe vraiment ?
Laure Lugon : OUI, je crois que ça existe vraiment, c’est une réalité politique. La gauche a été traversée durant ces 20 dernières années par les... Disons la gauche radicale, surtout, les socialistes un peu moins chez nous, mais tout de même, on voit avec certains dossiers actuels, politique d’actualité.
Elle est divisée entre ceux qui sont les tenants d’une laïcité très forte, nommés par les autres les laïcards et par ceux qui préfèrent soutenir une forme, disons, euh, de nouveau prolétariat, si vous voulez, qui seraient les musulmans et donc, faisant partie des musulmans aussi d’un certain mouvement plus fondamentaliste.
Donc, oui, je crois que l’IG est une véritable réalité. Et qu’il y a un fort militantisme dans les structures universitaires notamment, comme sur d’autres dossiers par ailleurs, parce que les universités sont aussi les creusets des contestations sociales,... des éventuelles révolutions... et là, la gauche tient peut-être une autre nouvelle forme de, euh ...un dossier disons qui pourrait, disons qui l’intéresse et sur lequel elle se fonde.
à Philippe Bach: Pourtant on entend dire que parler d’IG, ce serait presque aussi absurde qu’à l’époque des années trente quand certains parlaient du complot judéo-maçonnique. On est dans le phantasme ou dans la réalité ?
Philippe Bach : Concept flou ou fourre-tout comme bobo. Ce n’est pas pour rien que la ministre avait été appelée par le chef CRNS, qui est chargé de l’enquête, a sévèrement remballé la ministre d’arrêter de braconner sur le terrain de l’extrême droite.
Le terme IG est sociologiquement un peu flou, fourre-tout, pas complètement faux, ça date de la révolution iranienne. Comment on se positionne par rapport à Khomeiny, au Forum Social Mondial, Est-ce qu’on s’ouvre à l’alter-mondialisme musulman, ou à la théologie de la libération ?
Islamo-gauchisme nous renvoie aux concepts assez dangereux comme judéo-bolchévisme, ou les communistes après-guerre utilisaient le terme hitléro-trotskysme, des concepts qui fleurent assez bon l’extrême-droite.
De voir la macronie triomphante s’engouffrer dans cette brèche, ça m’inquiète beaucoup, c’est dangereux et révèle un certain moment de panique.
Renaud Malik à Alexandre Habay: Est-ce que ce terme renvoie à une réalité ? Le CRNS a dit que le terme IG ne correspond à aucune réalité scientifique. C’est difficile à se faire une idée.
Alexandre Habay : 4 :16 C’est un débat qui aurait pu être intéressant, mais on mélange les notions. [...] Déjà enquêter sur le travail des universitaires est un problème en soi. Ce n’est pas au gouvernement de distribuer les bons et les mauvais points dans ce domaine.
C’est plus intéressant de parler d’autres phénomènes, des courants identitaires venant des universités américaines, donc « l’identity politics », comme la pensée décoloniale, l’indigénisme, le racialisme. Ces phénomènes qui arrivent en France et qui créent des tensions dans les universités. Alexandre Habay donne l’exemple du racisme: spectacles annulés pour dépression à la Sorbonne pour racisme, sujet PMA bloqué par l’extrême gauche, les sujets sur l’identité, les rapports aux minorités qui sont des nouveaux champs de recherches, parfois, c’est vrai très orientées, parfois, très militantes dans les universités. Ça vient des Etats-Unis. Ç'aurait été là le débat le plus intéressant. Du coup, le terme islamo-gauchiste est un peu fourre-tout, peut-être aussi un dérapage de Frédérique Vidal, mais aussi... une manière de parler à un certain électorat de l’aile Droite du gouvernement, Darmanin, ce sujet les intéresse.
Renaud Malik : Il y a peut-être une évolution, on peut dire une dérive au sein des universités ? Vous en parliez tout à l’heure Laure, Lugon. Commanditer une enquête, mesurer la réalité du phénomène, ce n’est pas peut-être complètement absurde.
Laure Lugon : Effectivement, pas forcément absurde, on peut le faire. Est-ce que cette enquête va réellement donner des résultats ? Laure Lugon trouve problématique que dans certaines facultés de sciences sociales , le militantisme et l’idéologie prennent le pas sur la recherche la plus neutre possible, sachant qu’on n’est jamais neutre et qu’on a toujours une orientation quelle qu’elle soit.
Tout ce qui est doctrinaire dans les universités, spécifiquement chez les gens qui sont censés réfléchir et observer les phénomènes sociaux. S’il y a la doctrine et la doxa, ça donne forcément une forme d’atrophie de la pensée. Une forme de difficulté à exprimer un certain concept parce que tout à coup, ils ne sont plus audibles par une majorité. Et ça me paraît vraiment redoutable. Parce que l’esprit critique, c’est quand même ce qui devrait prévaloir dans nos universités, dans le monde politique en général, et dans la société tout entière. C’est cela qui fait la démocratie.
Renaud Malik à Philippe Bach: Un enquête pourrait permettre de couper court au fantasme? (C’est-à-dire que le fantasme "islamo-gauchisme" existe.)
Philippe Bach : On peut toujours rêver, cette enquête va accoucher de rien du tout. Le problème est qu’il y a certaines réalités sociales et que certains ne veulent pas en prendre compte. Est-ce qu’ils sont correctement traités par certains chercheurs (Philippe Bach parle de l’islamo-gauchisme) ?
La langue de bois, le jargon a toujours existé, les chercheurs utilisaient des concepts un peu abscons.
Une fois que tout cela sera cristallisé, que l’écume sera un peu tombée on y verra plus clair. Les gens qui critiquent le fait de parler de race ne veulent simplement pas admettre qu’il y a cette réalité sociale. Et ça leur pose problème. C’est la même chose avec le langage épicène. Il y a eu une mini-polémique autour des nouvelles directives épicènes de la RTS, mais c’est très bien. Toutes les évolutions ont parfois certains excès, après on rectifie.
Renaud Malik à Philippe Bach : Revenons au terme islamo-gauchiste qui a émergé vers les années 2000. La gauche est divisée sur la religion et l’islam en particulier depuis la révolution iranienne.
Philippe Bach : Foucault a été probablement un peu complaisant avec une réalité qu’il ne connaissait pas très bien. Ce n’est pas nouveau, comme avec la révolution des Khmers rouges ou la Révolution vietnamienne. L’oppressé d’hier se mue en oppresseur. Il y a toujours un moment de flottement.
Le nouveau est que le rapport de la gauche à la religion a évolué. Il y a une trentaine d’années, même au PS, c’était, disons, euh, même la gauche chrétienne était mal vue. La jeunesse chrétienne ouvrière était plutôt au POP. Aujourd’hui, nos sociétés se sont sécularisées, les choses évoluent.
Laure Lugon : Mais paradoxalement, cette même gauche brocardait les religions, et tentait d’abord de prôner l’égalité, 9:55 et ensuite de se débarrasser de la religion dans l’espace social. Aujourd’hui, cette même gauche, une certaine partie de la gauche reprend une nouvelle religion à son compte, disons pas si nouvelle, et défend certains éléments d’une autre religion et ça, pour cette gauche traditionnelle, c’est quand-même problématique. C’est comme un dévoiement de l’esprit de la base,... parce que voilà, la religion, c’est l’opium du peuple. Ce n’est quand-même pas quelqu’un d’extrême-droite qui l’a dit ?
Renaud Malik à Laure Lugon: Vous avez écrit que cette division entre la ligne dure face à la religion et ceux qui dénoncent l’islamophobie est particulièrement marquée à Genève ?
Laure Lugon : On se jette des anathèmes et c’est assez problématique car derrière des termes islamo-gauchisme ou islamophobe, il y a quelque chose de négatif là-derrière. On sent dans la gauche romande qu’il devient extrêmement compliqué, par exemple, l’initiative sur la burqa : les gens de Gauche, les politiciens de Gauche qui pourraient éventuellement être d’accord avec cette initiative, pour certains, ont beaucoup de difficulté à le dire parce que, précisément, dès qu’on dit quelque chose dans un certain sens, qui veut, qui pourrait être un critique, euh, d’un islam, euh, on est traité d’islamophobe. Et ça, c’est vraiment, vraiment problématique. Parce qu’il y a, il y a cette espèce de, de, de dictature de la bienpensance. Donc il vaut mieux ne pas aborder les sujets. Euh, les passer plutôt sous silence plutôt que d’être taxé d’islamophobe. Or, il y a quand même des sujets qui doivent être portés dans le champ public, parce que ça intéresse la société dans son ensemble.
Renaud Malik à Philippe Bach : La gauche est divisée, c’est une réalité ? Il y a des socialistes, comme par exemple Pierre-Yves Maillard, qui a montré de la sympathie pour l’initiative sans aller jusqu’à dire qu’il allait voter Oui. L’autre partie de la gauche votera Non en dénonçant justement un texte, l’islamophobie... Toujours la même ligne de fracture ?
Philippe Bach: Oui et non. Les socialistes comme Pierre-Yves Maillard ou Géraldine Savary, qui n’étaient pas opposés à l’initiative, n’ont pas été traînés dans la boue, ils n’ont pas été traités d’islamophobes. C’était admis qu’on pouvait être contre.
Renaud Malik à Alexandre Habay: La gauche française est divisée depuis des décennies sur la question de l’islam mais depuis 2015, cela est devenu un sujet littéralement explosif ?
Alexandre Habay : Oui, c’est vrai. Il y a un changement de logiciel dans une partie de la gauche. Dans une partie de la gauche très visible, pas seulement avec Tarik Ramadan, qui évolue dans les sphères intellectuelles et qui est invité sur les réseaux sociaux. On a vu la manif contre l’islamophobie avec la lutte ouvrière qui criaient Allah akbar dans les rues. Cela aurait été impensable il y a quelques années. L’évolution de Mélenchon est aussi très parlante : avant, un Républicain très raide sur ces questions, qui traite maintenant Charlie Hebdo de torchon d’extrême-droite. Une partie de la gauche radicale, comme les macronistes, cherchent à capter un électorat, c’est quelque chose dans l’air du temps.
Renaud Malik : Chez nous le débat est plus apaisé qu’en France, malgré les mêmes lignes de fracture. Pourquoi ? Parce qu’il y a eu l’expérience des attentats en 2015 ? Ou parce que c’est que le débat politique est plus explosif en France ?
Alexandre Habay : Les attentats de Charlie Hebdo ont créé une déchirure. Manuel Valls a parlé d’une gauche irréconciliable après ces attentats. Sur le voile on a ce débat éternel. Car la France, c’est aussi l’universalisme, le féminisme universaliste et féminisme intersectionnel ça crée des tensions.
Je crois qu’on mélange un peu en France les histoires de terrorisme et de ce qu’on appelle le séparatisme islamiste. Je ne sais pas jusqu’à quel point on peut séparer les deux choses. On a vu avec l’assassinat de Samuel Paty qu’il y avait tout un écosystème islamiste, où des gens pas forcément liés aux activités terroristes pouvaient créer une atmosphère qui faisait en sorte que ce genre d’acte pouvait plus facilement être commis. Donc, effectivement, la France est un peu traumatisée sur ces questions et a tendance peut-être un peu à mélanger les phénomènes.
Renaud Malik à Laure Lugon : Pour apaiser un petit peu le débat, est-ce qu’il ne faudrait pas bannir l’utilisation, le terme un peu réducteur et un peu insultant aussi, comme l’islamo-gauchisme, justement ?
Laure Lugon : Certainement pas. Je m’oppose à toute forme de censure. On doit pouvoir parler, débattre et rire de tout.
Il faut qu’on arrête d’interdire, de légiférer le vocabulaire parce que c’est légiférer la pensée.
Au contraire, il faut aborder ces sujets de fond.
En Suisse on le fait dans un climat beaucoup plus apaisé qu’en France.
Il faut pouvoir parler et je pense que même si certains mots peuvent paraître dénigrants ou insultants, il faut arrêter de faire de la correction politique à longueur de journée.
Renaud Malik à Philippe Bach : Vous seriez pour bannir ce terme d’islamo-gauchisme à jamais dans le débat politique ?
Philippe Bach : Je pense qu’il déshonore surtout ceux qui l’emploient. Moi, quand on me traite d'islamo-gauchiste, ou de...
Intervention pressée de Laure Lugon : « Comme islamophobie, par ailleurs »
Philippe Bach continue : ... ou de bienpensant, ça me fait plutôt rire. Je pense que c’est creux, ça ne reflète rien. Donc, il ne faut pas bannir les termes, il faut oser le débat.
Mais le mot islamophobie, pour moi, il y a quand même la haine du musulman, notamment en France, qui manifeste... ça recoupe une réalité sociologique, alors que l’islamo-gauchisme, c’est un peu du vent.
Forum des médias - L'"islamo-gauchisme", fantasme ou réalité? - Radio - Play RTS
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La preuve scientifique en laboratoire médiatique que cette chaîne est composée non de journalistes mais de petits voyous islamo-gauchistes
(G-W Goldnadel)
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La stratégie islamo-gauchiste et les liens de la Gauche occidentale avec les Frères musulmans, les organisations terroristes, le Qatar et l’islam radical
https://www.youtube.com/watch?v=S76lkwrTcAQ £
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Mosquée financée par la mairie de Strasbourg : "une traduction de l'islamo-gauchisme" (vidéo 1:39)
Europe 1
Le financement de la mosquée de Strasbourg par la mairie écologiste de la ville dénoncé par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, a été également pointé du doigt par David Lisnard, le maire de Cannes, mercredi matin dans la matinale d'Europe 1. Il s'agit "manifestement là d'une traduction de l'islamo-gauchisme", a-t-il indiqué au micro de Sonia Mabrouk.
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16 oct. 2017 (5:11)
Cérémonie de pose de la première pierre de la grande mosquée Eyyûb Sultan de Strasbourg
qui sera la plus grande de France et l'une des plus grandes d'Europe occidentale.
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Interdire le terme d’islamo-gauchiste… : mais où va-t’on ? Qu’est-ce que c’est que ces crypto-fascistes orwelliens ?
L’époque sous l’emprise woke dans laquelle nous venons d’entrer est de plus en plus inquiétante et les ahuris totalitaires et malveillants sortent du bois comme s’il en pleuvait.
Il est plus que temps que les tenants de la raison et de la droiture sortent de leur mutisme et dénoncent ces ennemis de la liberté, de la démocratie, et du bien commun.
Apparemment cela n’éveille aucune alarme en Occident !
« pénétrez profondément dans le territoire ennemi, aussi loin que vous pouvez aller ! »« pénétrez profondément dans le territoire ennemi, aussi loin que vous pouvez aller ! »
Bizarre quand même cette accointance islamo-gôchiste !
Après le rapprochement entre le grand mufti musulman et le national-socialiste (de gôche) de M. Hitler, il est étonnant de constater que la gôche actuel agit de même !
https://www.lhistoire.fr/livres/lislam-et-le-iiie-reich
La mosquée de Strasbourg et l’université de Strasbourg sont les exemples mêmes de l’islamo gauchisme, car l’université élève des islamistes.
La ministre Frédérique Vidal “fait le job” ! (….) Beaucoup d’universitaires ont été très choqué, l’autre matin, en entendant sur France Info, le théologien et prêtre Michel Deneken, Président de l’Université de Strasbourg, attaquer la ministre Frédérique Vidal, alors que le même président de l’Unistra Deneken n’a pas réussi, malgré mes nombreux signalements, à mettre fin aux usurpations de fonctions d’un frère musulman salafiste, Omar El Katab Erkat, et a laissé ce dernier représenter l’université de Strasbourg à des rencontres internationales, alors que ce prédicateur musulman n’a jamais été enseignant, ni même étudiant, à l’université de Strasbourg, et que le dénommé Erkat n’a aucun diplôme universitaire.
Pour mémoire, j’ai alerté plusieurs fois Monsieur Deneken, qui n’a pas réagi, en ces termes : “Au niveau de l’université de Strasbourg, que Mme Nathalie Gettliffe prétend représenter aux conférences RENACLES du 24 novembre 2016, je suis extrêmement surpris que votre collaboratrice ait inscrite le salafiste Omar Erkat parmi les intervenants, au nom de l’université de Strasbourg, le 24 novembre à 15 h 30, sous le libellé, “Comprendre l’impact d’un dispositif d’enseignement sur l’engagement des étudiants dans leurs apprentissages en centre de langue”, alors que le dénommé Omar Erkat parle à peine et comprend à peine le Français, et alors que le même Omar Erkat n’est pas enseignant à l’Unistra, ni dans aucune autre université !”.
Et on pourrait multiplier les exemples de dysfonctionnements d’infiltrations islamistes couverts par Michel Deneken à l’université de Strasbourg. Et je pense très sincèrement que c’est Monsieur Deneken “qui est très fatigué”.
Il faudrait surtout remplacer le terme islamo-gauchiste par islamo-collabo, beaucoup plus parlant et collant plus à la réalité y compris historique…..
“l’islamo-gauchisme” par idéologie croisé anti-nationale, anti-occidentale est une réalité, cependant, la gauche n’est pas la seule à faire du copinage abjecte avec les islamistes, il existe aussi un a fort “islamo-clientélisme” chez la droite, on pourrait même dire tout aussi présent que chez les gauchistes, ici surtout par intérêt financiers. Peu importe la raison, en fin de compte il y à une immonde trahison.
Il faudrait trouver un autre terme.