La sentence était très attendue. Ce 11 juin, le Tribunal fédéral annonce qu'il rejette l'état de nécessité climatique, invoqué par les activistes, condamnés en deuxième instance pour avoir occupé les locaux d'une banque lausannoise en 2018, en signe de protestation. L'incertitude liée à une dizaine de procès de ce type prend fin.
La sentence était très attendue. Ce 11 juin, le Tribunal fédéral annonce qu'il rejette l'état de nécessité climatique, invoqué par les activistes, condamnés en deuxième instance pour avoir occupé les locaux d'une banque lausannoise en 2018, en signe de protestation. L'incertitude liée à une dizaine de procès de ce type prend fin.
Cette annonce a l'effet d'une bombe pour les douze militants de la cause climatique, qui avaient occupé les locaux de Credit Suisse, pour y jouer une partie de tennis en novembre 2018, et qui avaient été acquittés en première instance (au Tribunal de police de l'arrondissement de Lausanne), puis condamnés en deuxième instance (au Tribunal cantonal vaudois): le Tribunal fédéral rejette leur recours contre le jugement du tribunal cantonal, estimant qu'ils n'ont pas agi en état de nécessité. C'était le point central de leur défense.
Extrait de: Source et auteur
Googlez, en images: algae bloom satellite.
Et googlez, en images: glaciation cycles. (tous les 100’000 ans)
Et googlez, en images: hydrate de méthane.
Quand tous les océans seront redevenus verts, alors notre planète bleu foncé redeviendra une planète verte clair, avant de redevenir une planète congelée blanche, lors de la prochaine glaciation.
Tout le CO2 de l’air aura alors émigré au fond des océans sous forme d’hydrate de méthane.
Les écolos diront, dans quelques milliers d’années: il faut vite réchauffer la planète, c’est urgent.
Les cycles thermiques existaient bien avant homo sapiens: il n’y est pour rien du tout.
Ce n’est pas une raison d’investir les locaux du Crédit Suisse pour aller faire une partie de tennis.
Je trouve cela tellement irrespectueux de s’introduire dans des locaux privés. Ils n’ont vraiment rien d’autre à faire ????.
Ils ne peuvent quand même pas faire tout ce qui leur plaît.
Les juges supranationaux vont mettre fin avec délectation aux élucubrations d’une justice suisse qui ose se singulariser hors des sentiers de la bien-pensance et du camp du bien. Non, mais.