Après un quadragénaire algérien, c’est un trentenaire érythréen qui s’est masturbé dans un train sous les yeux d’une femme.
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Sous l’emprise de l’alcool, cet homme a importuné au hasard trois jeunes femmes, deux adolescentes et un garçon de 11 ans, entre 2019 et 2020. Selon «ArcInfo», les victimes ne se connaissaient pas. Leur agresseur écope de douze mois de prison ferme.
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«Quand le prévenu boit de l’alcool, il ne se maîtrise pas, il se désinhibe complètement», a plaidé son avocat. Ses différentes victimes ont subi ses insultes et ses gestes déplacés dans le train, dans la rue et dans des centres commerciaux.
La liste des infractions est longue: voie de fait, injure, menace, contrainte, désagrément causé par la confrontation à un acte d’ordre sexuel… Comme il a déjà effectué 335 jours de détention préventive, il sera libéré prochainement, mais le prévenu a reçu l’interdiction d’approcher à moins de 50 mètres le garçon de 11 ans et les adolescentes importunés.
Le tribunal n’a pas ordonné son renvoi du territoire helvétique. L’Érythréen fait déjà l’objet d’une mesure d’expulsion prise par le Secrétariat d’État aux migrations, mais comme aucune convention ne lie la Suisse et l’Érythrée, il ne sera pas renvoyé à sa sortie de prison. Pour éviter une récidive, le prévenu devra se soumettre à un traitement ambulatoire au Centre neuchâtelois d’alcoologie.
Extrait de: Source et auteur
En Suisse les Érythréens sont particulièrement cajolés par la SOMMARUGA. On se demande bien pourquoi ? Pour en faire des jardiniers qui chassent les limaces de son jardin, aux tarifs esclavagistes ? Parce que DANS SON JARDIN ELLE EST RACISTES ANTI-LIMACES comme le prouvaient d’anciennes photos. Elle reproche aux pays de l’Est libérés de l’ex-Urss, de dresser des murs de la honte pour se protéger des invasions barbaresques, mais POURQUOI PAS DE CRITIQUE DE LA MURAILLE DE CHINE ? N’a-t-elle pas un peu d’empathie pour ces Érythréens qui ont connaissance de telles odieuses pratiques dans son jardin, qui nous rappellent non seulement leurs aventures aux frontières mais aussi les heures les plus sombre de notre histoire.
Remarquez que ces sauvages, dont on nous vante en permanence les vertus d’intégration, comme celui cité ci-dessous, nous semblent pour notre sécurité mieux à leur place dans les bateaux qui coulent et en train de s’écorcher vifs en voulant forcer les barrages de barbelés. Ils font pourtant tous très pauvres, avec leurs téléphones portables, leurs cartes de crédit distribuées par l’ONU-HCR avec autour de 490.- € mensuels et malgré des soins gratuits, le logis et la nourriture payée et des subventions pour fabriquer des descendances à la croissance exponenetielles de futurs colonisateurs trancheurs de gorges à nos frais. Et comme à 90% ils restent sans bosser même après 10 ans de vacances gratuites, on peut s’interroger si les coups de pieds au cul au frontières ne seraient pas plus efficace que tous ces cadeaux extrait des poches sur le dos de nos plus ou moins pauvres.
tps://is.gd/oRRz7B https://is.gd/MggRzz https://is.gd/1luIBZ
Aucune convention entre la Suisse et l’Érythrée? Rien n’empêche de le parachuter quand même!
Mais sa reviendrai un peu cher… Un coup de pied au cul assez puissant devrait suffire!
Aucune convention de renvoi avec ce pays…Voilà encore une équipe qui a trouvé la combine pour se débarasser de ses délinquants, de ses cinglés, etc…
Loin de notre pays ,c`est une honte et un scandale de garder cette personne chez nous ,mais que se passe t`il en Suisse ? Les sans papiers à Genève bénéficie des allocations de rentrée ,et ce n`est pas une plaisanterie ,personnellement c`est de foutage de gueule ,et nous les pauvres cons de Suisse nous devrions payer et encore payer pour toutes ces personnes ,non pas d`accord ,maintenant il faut faire de l`ordre avant que le peuple se réveille et se révolte .
Et la convention avec son pays rien à battre ce malade doit rentrer chez lui ,pas à nous de payer pour ces gens ,si nous avions de vrais frontières ,nous aurions pas des malades comme lui.A bon entendeur salut.
Il fallait refouler cet animal à la frontière.
Nous ne payons pas des impôts pour entretenir et rééduquer de tels vicieux profiteur.