Rachele Borghi, « maîtr.e » de conférences en Géographie de l’Anus (je caricature à peine : dans ses travaux, elle voue un culte à l’anus, qu’elle qualifie de « laboratoire des pratiques démocratiques ») est un des fleurons de l’université Paris-IV Sorbonne.
MERCI A VOUS . Bonne crise de fou rire….. en lisant : “elle voue un culte à l’anus”, qu’elle qualifie de « laboratoire des pratiques démocratiques”. Ces personnes font vivre à l’université une transformation inouïe que ma génération n’aurait pas pu imaginer.
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Bon, maintenant , ce n’est pas par hasard que le choix de cette “enseignante” ait été voulu. L’université amorce une décadence qui est très bien orchestrée. Ca sent l’effondrement proche.
Est-ce que des psychanalystes “encore sains ” pourraient se pencher sur son cas?
Mais vous avez déjà évoqué une des raisons de ces comportements étranges : “Le néoféminisme pourrait n’être dans le fond que l’exacerbation et la projection dans l’espace public de la profonde névrose de désespérées définitivement incapables d’assumer leur incarnation.”
Par contre on s’aperçoit que notre époque produit ce type de désespérée et qu’il est en nette augmentation par les temps qui courent, du moins parmi les “intellectuelles”..
Elle ne dit pas s’il faut , lui aussi, l’exposer au soleil… Comme je l’ai dit sur le billet concernant les “partie génitales exposées au soleil.. un monde complètement débile… J’ai lu quelque part que le QI des occidentaux baisse depuis le début des années 2000… le réchauffement climatique peut-être .. qui fait fondre les neurones ?