Après cela, les journalistes avaient parlé d’incident, mais Emmanuel Macron avait qualifié le projet des deux femmes d’«attaque terroriste islamiste».
Sa déclaration avait reçu des réactions négatives de la part des musulmans, beaucoup affirmant que le terrorisme n’a pas de religion. En 2020, après la décapitation de Samuel Paty, Macron a parlé de l’islam comme d’une «religion en crise». Suite à ces paroles, la communauté musulmane à travers le monde est encore plus remontée contre Macron.
Pour le pouvoir politico-médiatique, la seule réponse possible face au djihad multiface qui s’installe en Europe, c’est le renforcement de la censure, de la politique d’apaisement, c’est inviter la population à être moins «raciste», céder de plus en plus notre héritage en échange d’une paix provisoire ou à la suite d’une promesse électorale. Les autorités continuent leurs gesticulations, surnommées «vivre-ensemble», «dialogue», «tolérance»… Elles se contentent de solutions à la petite semaine face aux ennemis de notre liberté, elles adoptent une politique du déni pour éviter de voir la guerre en face, pendant que des méga-mosquées se construisent et que des églises tombent en ruine, se vident ou se transforment en centres culturels.
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À l’instigation du Parquet national antiterroriste, les policiers sont intervenus dans le quartier de la Devèze dans la nuit de samedi à dimanche.
[...] Aucune des cinq femmes placées en garde à vue n'est connue des services de police. Néanmoins, une source locale indique qu'elles étaient connues pour être radicalisées et, concernant certaines d'entre elles, pour avoir visionné des vidéos de Daech. Aucune arme n'a été saisie. L'enquête du Parquet national antiterroriste est ouverte pour « association de malfaiteurs terroriste ». Ce n'est pas la première fois que des femmes radicalisées font l'objet de l'attention des services de renseignements. Les espions du contre-terrorisme ont noté ces dernières années une montée en puissance de ces jeunes parmi ceux susceptibles de passer à l'acte. [...]
article complet: https://www.lepoint.fr/justice/info-le-point-operation-de-la-dgsi-a-beziers-5-femmes-interpellees-04-04-2021-2420650_2386.php
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Béziers : arrestation d’une jeune femme soupçonnée d’un projet d’attentat contre une église
Une jeune femme de 18 ans aurait projeté une action violente visant une église de Montpellier.
Elle a été arrêtée avec quatre autres femmes dans la nuit de samedi à dimanche et une enquête préliminaire a été ouverte pour « association de malfaiteurs terroriste ».
Cinq femmes, dont l’une soupçonnée de vouloir commettre un attentat, ont été interpellées à Béziers, a-t-on appris de sources proche de l’enquête et judiciaire, confirmant une information du Point.
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Une seule des interpellées était soupçonnée de vouloir commettre une action violente. Selon nos informations, cette jeune femme, âgée de 18 ans, aurait eu pour projet une action violente visant les fidèles d’une église de Montpellier (Hérault), avec un passage à l’acte imminent. Du matériel pouvant servir à fabriquer de l’explosif a été retrouvé sur place.
Inconnues des services de renseignement
Les quatre autres femmes interpellées, la mère et trois sœurs de la personne initialement visée par l’opération, l’ont été parce qu’elles étaient présentes au domicile. Elles étaient toutes inconnues des services de renseignement.
Même si les actions terroristes d’inspiration djihadiste sont très majoritairement perpétrées par des hommes, des femmes ont déjà été condamnées en France pour de tels actes.
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Et vous, qu'en pensez vous ?