Vaud: L’évacuation des zadistes sous les cris de « anti-anti-anti-capitalistes »

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Entre 150 et 400 policiers ont été mobilisés pour l’évacuation des zadistes du Mormont, ce cirque débile qui occupe nos médias depuis octobre 2020.

Une centaine de jeunes filles s’appelant « écoféministes » se sont mises en rang à torse nu, ou même totalement nues, mais masquées, devant le mur des journalistes présents. Ces images ont tourné sur les réseaux sociaux, ont fait l’image du jour dans les médias locaux. Nues comme des vers, elles se sont offertes en spectacle, ont détruit la barrière de protection autour de Holcim munies de pinces et d’une meuleuse, accompagnées de slogans :

libérer nos corps et la planète de l’emprise du patriarcat et du capitalisme bétonnisateur

Les journalistes qui faisaient leur beurre depuis cinq mois de cette occupation illégale ont enfin été récompensés de leur fidélité. Tout le monde a pu brouter des yeux ce spectacle de striptease porno-marxiste, comme jadis la double page des revues érotico-politiques, qui aidaient à vendre un contenu politique.

Ces spécieuses ridicules se déshumanisent en un objet de lubricité sans visage, en objets sexuels, alors que la vraie lutte féministe s’oppose à la  femme-objet.

Enfin, malgré elles, leur nudité sert à quelque chose. En effet, si la population peinait jusqu’alors à comprendre la logique foireuse des zadistes, cette fois-ci tout le monde a pu saisir leur seul argument valable.

Nous voilà désormais avisés, mais ne nous demandez pas de croire une seconde à la sincérité de l’engagement écologique des zadistes. Ces jeunes ont transformé les lieux en un cloaque de pollution, ont commis toutes sortes de déprédations, il y a eu cinq mois de vacarme pour le voisinage et de va-et-vient des voitures. Des pavés et des bouteilles vides ont même été placés sur les routes d’accès, contre les véhicules des forces de l’ordre, cela va coûter très cher pour tout remettre en ordre.

Ces enfants gâtés, comme des générations de post-68 en Occident, ont baigné dans le mépris de nos traditions, la haine du capitalisme et l’adulation des révolutions de gauche, et ils rêvaient de vivre de grands rôles historiques.

S’ajoutent à cela leur production hormonale due à l’âge dans un contexte communautaire, le fantasme du retour à la nature dans une ambiance d’entre-nous sectaire, l’exaltation transcendante de servir des idéaux purs et révolutionnaires, accompagnés d’entraînements à la lutte anticapitaliste (des cours y ont été dispensés durant cinq mois aux militants par des formateurs professionnels).

L’expérience de l’amour libre et fluide semble avoir beaucoup d’attrait pour ces militants. Ces jeunes aiment aussi revivre des rêves d’enfants, comme de construire des cabanes dans les arbres... ou vivre de poulets végans qui tombent tout cuits dans la bouche.

Les zadistes vaudois copient cette mode néo-hippy de l’étranger (en France, trois ZAD), tout comme ils copient la TOTALITÉ des modes woke qui balaient la belle jeunesse depuis l’avènement de l'air « Greta ».

La Suisse est à présent prise en otage par ces minorités, et comme nos politicards opportunistes essaient d’exploiter le phénomène en se montrant complaisants, nous ne sommes pas sortis de l’auberge.

Mercredi soir, au lendemain de l’évacuation du Mormont, une partie des zadistes s’en sont pris à la police de Lausanne, prétextant un jugement de la veille (voir l’article). Nous n’en sommes qu’au début, depuis que des Suisse romands ont fait allégeance à Greta, qui du haut de ses 17 ans a adressé un message à la Suisse, urbi et orbi, selon lequel les générations précédentes n’en auraient pas fait assez pour la planète, c’est pourquoi, nous devrions accepter que les jeunes qui l’ovationnaient adaptent l’action politique à l’urgence décrétée.

Cette génération, encore plus moutonnière que les précédentes, est menée comme des troupeaux téléguidés par les diverses idéologies « révolutionnaires » mondialisées. Il n’y a rien de nouveau dans leurs revendications anti-capitalistes, ce n’est que du mauvais réchauffé marxiste. Cette génération est l’instrument de forces également étrangères, qui cherchent à détruire notre civilisation et tout notre avenir.

Ces petits minous qui se nomment zadistes, sont nourris par le bio apporté par papa et maman, sont soignés, bichonnés sur place par des gauchistes aisés, qui revivent par procuration leur jeunesse révolutionnaire de soixante-huitards. Les Dubochet, Bourg, s'y ruent pour capter un peu de lumière sur eux, et par leur statut social ils valident l’action des activistes.

Tout ce beau monde est dirigé par des professionnels de l’extrême gauche, les entraîneurs de XR et autres spécialistes des luttes bolchéviques, qui les biberonnent en arrière-plan avec leur bouillie de « luttes contre les moyens de productions capitalistes », de « retour à la nature », de « décroissance », et de « local » – mais surtout pas du ciment local – tout en approuvant la perspective d’une Suisse à 10 millions d’habitants…

Dubochet et consorts savent pertinemment que la plus grande partie du béton – qui est ici le prétexte à la révolte des zadistes – est une matière indispensable pour la construction – et qu’il sert prioritairement à bâtir nos villes, où la bobocratie mène une politique de peuplement depuis des décennies aux dépens des autochtones.

La petite meute zadiste-Verte-féministe-ultragauche sait également que du point de vue du bilan carbone, avoir du ciment local est préférable au ciment importé.
Les arguments pullulent pour que l’agrandissement autorisé de la zone de cimenterie puisse enfin débuter, l’illégalité est à 100% du côté des post-pubères décervelés par l’idéologie.

Après cinq mois de vandalisme et de pollution de toute sorte, il a fallu 150 policiers (24heures du 31 mars parle de 400 policiers) pour les évacuer, et la facture sera de nouveau pour les contribuables !

Mais le plus grave dans tout cela, c’est que la gauche au pouvoir a fait croire que les actions illégales peuvent devenir légitimes si la cause est jugée noble par les contestataires.

Notre système judiciaire crétinisé par un enseignement marxisé a jugé que c’était un moyen acceptable pour faire plier le Crédit Suisse à leur plan carbone.

Suite à ce genre de nouvelles, bien des pékins se demandent si tout cela n’était qu’une mauvaise farce, puis réalisent avec résignation que c’est le monde qui les entoure qui est devenu totalement cinglé.

Ce « nouveau normal » fait de délires, impensable encore il y a quelques années, est imposé par les médias – le bon sens en recul se reflète par l’absence de vrais débats, l’atrophie du sens critique de la population et finalement les résultats des urnes.

Lors de l’évacuation de la ZAD, comme les petiots avaient construit des cabanes dans les arbres, une partie d’entre eux y ont grimpé pour qu’il soit plus difficile à la police de les déloger. Des véhicules à nacelle ont été nécessaires pour les cueillir avec délicatesse, puis ces révolutionnaires se sont laissé porter par les policiers, persuadés que si les policiers se cassent le dos pour eux, cela leur donnera l’image de vrais résistants.

Comme bien des générations depuis 1789, ces jeunes ont rêvé de devenir acteurs de l’Histoire, de mener une lutte qui bouleverse l’ordre établi, en s’engageant dans une révolution fantasmée, espérant élever leurs âmes en devenant les auteurs de  moments historiques.
Il y a eu la révolution de 1848, qui a fait rêver ceux de 1968, et maintenant les révolutions woke qui rêvent de bouleverser l’ordre établi pour faire table rase du passé.

Depuis deux cent ans, chaque génération en Occident croit qu’elle fera mieux que les précédentes et qu’elle va enfin réussir la grande révolution marxiste anticapitaliste, là où ses guides spirituels ont tous échoué.

Jusqu’à présent, la société suisse a pu résorber ces activistes. Les anciens militants de gauche, grâce à leurs prises du pouvoir dans les villes, ont tous pu occuper des postes confortables. La jeune femme qui avait grimpé sur le toit de la Cathédrale de Lausanne lors des manifestations de Lôzane bouge a reçu depuis lors un EMS à diriger..

Mais la génération Greta ne va pas simplement se ranger en échange d’avantages, elle veut du Black Lives Matter suisse, du Traoré suisse, ce qui signifie des destructions non négligeables de notre héritage.

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Lien vers la vidéo: https://www.20min.ch/fr/story/quatre-militants-echappent-encore-a-la-police-582722785236

vidéo: https://www.20min.ch/fr/video/evacuation-de-la-zad-du-mormont-recit-de-la-journee-en-video-886396971657

Résumé: Un jeune homme en tenue hobo de circonstance lance en criant face aux caméras des journalistes et devant une rangée de policiers:

"Il faut abattre nos frontières, les barrières raciales, pour en finir avec la virilité, la haine et l'intolérance."

Suit l'interview d'une petite bécassine, se disant féministe, zadiste, gréviste de climat, XR, etc., et qui explique que le fait que des militantes soient dénudées va ralentir l'évacuation, car il faut des femmes policières pour pouvoir toucher le corps d'une femme nue, et comme elles sont moins nombreuses pour les porter, cela va ralentir le processus. 

Ce qui n'est rien d'autre que l'exploitation odieuse des règlements servant à protéger les femmes. Ces lois ont été mises en place pour satisfaire les revendications féministes et pour éviter des accusations de harcèlement sexuel.

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Forum, 30.03.2021-Martin Peikert, porte-parole des zadistes

Une journaliste est en direct de la ZAD du Mormont en cours d’évacuation.

Esther Coquoz présente aux auditeurs Martin Peikert, le contact zadiste avec la police, désigné pour « maintenir le dialogue ».    

Martin Peikert corrige : il n’est pas le seul représentant, ou plutôt porte-parole des zadistes, ils sont au nombre de 3 ! 

Martin Peikert parle comme un manuel de petit révolutionnaire sur pattes.
Nerfs fragiles s'abstenir!

Coquoz à Martin Peikert : Comment s’est déroulée cette évacuation ?
Est-ce que vous diriez que les choses se sont déroulées dans le calme ?

Martin Peikert se plaint : C’était dans le calme, car nous avons pu dialoguer avec les forces de l’ordre. Par contre, il y a eu du cafouillage du côté de la police au niveau de la communication et nous avons constaté qu’à un moment on n’arrivait pas à passer le cordon de police (sic).
« Parfois on nous insultait, parfois on nous poussait ». 

Coquoz sur un ton agressif : "On", c’est qui ?

Martin Peikert : Les forces de l’ordre ! Clairement ! Parfois ils ont été agressifs à notre égard. Alors que pour nous le but était qu’il n’y ait aucun blessé ni d’un côté ni de l’autre !

En réalité des pierres, œufs, fruits et légumes ont été jetés par les zadistes contre les gendarmes, ainsi que des engins pyrotechniques. Le résultat de l'évacuation: un gendarme avait été légèrement blessé; et zéro zadiste.

Que la population soit rassurée ! Martin Peikert dit que ce n’est qu’un début, les zadistes et les Grévistes du climat, les écoféministes  vont continuer le combat avec les outils institutionnels. Les grèves, et actions se poursuivront.

Nous apprenons que des tronçonneuses et machines de chantier, ainsi qu’un équipement antiémeute, ont été nécessaires pour évacuer les militants marxistes.

Pour une Xe fois, la RTS relaie le raisonnement des zadistes : l’action, bien qu’elle soit illégale, n’est nullement illégitime.

Nous apprenons aussi que les militants du Zad ont été gonflés à bloc par Dubochet.
La journaliste sur place rapporte en en direct l’arrivée de Dubochet sur le site, escorté par la police cantonale. 


Au TJ du 19h30, nous entendons Dubochet déclamer :

Je suis révolutionnaire!
Il faut arrêter ce CO2!
Ces bagnoles!
Vite, vite, vite !

sources: https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/la-zad-de-la-colline-du-mormont-a-ete-evacuee-ce-mardi?id=12067216

https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/les-militants-de-la-zad-declepens-vd-ont-ete-deloges-par-la-police-apres-une-journee-de-lutte-?urn=urn:rts:video:12088547

20min.ch: Au lendemain de l’évacuation du camp proclimat, les travaux de remise en état du site battent leur plein, tandis que des activistes demeurent en détention.

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Maître David Raedler, député écologiste vaudois et avocat des zadistes:
Les Zadistes sont les altermondialistes dans leur continuité

Forum, 31.01.2021 résumé du débat –
Olivier Meuwly, historien et membre du PLR,
David Raedler, député écologiste vaudois et avocat des zadistes,
Julie Rausis, journaliste à la rubrique vaudoise de la RTS
qui  a couvert les évènements à la ZAD depuis 5,5 mois.

Nous apprenons que le Syndic PLR de la Sarraz, Daniel Develey  est revenu sur ses déclarations : il pense maintenant que les zadistes luttent pour une juste cause, alors qu’il y a quelques mois, il avait affirmé que ces militants ne représentaient pas les préoccupations des citoyens de la Sarraz.

Maître David Raedler: seule l’UDC Vaud, qui veut en faire sa soupe, ose dire que l’action est illégale, et reproche qu’on ait laissé la situation s’enliser. Ces actions sont démocratique et illicites. Il a toujours existé d’autres formes d’actions que les actions licites, et ce n’est pas antidémocratique pour autant, puisque l’action déclenche une réponse démocratique.

Puis l’avocat explique que ce genre d’actions est freiné par la lenteur de notre système démocratique. Un coup de boutoir est nécessaire pour permettre des réussites immédiates. La justice vaudoise et genevoise a acquitté les grévistes du climat en invoquant l’état de nécessité pour le climat.

Les jugements vaudois et genevois ne sont de loin pas isolés, et ça c’est très important. Les lois, les règles juridiques sont interprétables et doivent être interprétées et elles évoluent dans le temps. La justice doit tenir compte de l’urgence climatique, qui justifie les actions et les moyens dans la proportionnalité. Les militants servent des intérêts universels.

Nous apprenons que la population des zadistes du Mormont était composée essentiellement de Suisses, mais aussi d’Allemands, Français, Espagnols, des habitués venant d’autres ZAD européennes. Il y avait aussi des militants qui vivent en rupture avec le système, et une frange de casseurs, les plus durs. Soyons rassurés, juste une dizaine, pas plus.

Le zadisme en Suisse n’en est qu’à ses débuts.
D’ailleurs, Le Courrier du 31 mars 2021 confirme clairement cela.
Nous devons nous accommoder de cette nouvelle forme de contestation sociale anticapitaliste féministe, car toutes les revendications ont leur place dans le débat publique.

La ZAD, explique David Raedler, c’est un laboratoire d’idées. Ce sont les idées altermondialistes dans leur continuité.

C’est une procédure où on court-circuite la démocratie pour une urgence déclarée par une minorité.
Les zadistes nous ont donné un bon coup de pied dans les fesses, nous ont fait voir l’urgence climatique, voir que notre mode de vie doit changer et que nous devrions remplacer le béton.

Olivier Meuwly rappelle que la lenteur des démarches en démocratie semi-directe, cela a du bon, car les décisions sont prises dans la sérénité. Ainsi, nous avons pu inscrire la protection de Lavaux  sans passer par la case ZAD.

De nouveau nous entendons que l’évacuation s’est passée dans le calme, alors que nous apprenons (dans 24 heures) que des bombes incendiaires (!) faites de cire et de purin (bio oblige) ont été longuement fabriquées par les zadistes pour « accueillir » la police, mais qu’au dernier moment, elles n’ont pas pris feu : la méthode n’est pas encore tout à fait au point.

La partialité inacceptable des reportages de Julie Rausis, journaliste à la rubrique vaudoise de la RTS présente à la ZAD, se résume en une phrase, lorsqu’elle se plaint que le dispositif de la police était intimidant, avec des véhicules d’intervention très importants, et qu’elle n’a jamais vu cela en Suisse romande. C’est l’argument prêt-à-porter des militants de la gauche extrême : l’usage de moyens disproportionnés par les forces de l’ordre.

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-grand-debat---la-zad-du-mormont-et-maintenant-?id=12069866

Résumés et commentaires : Albert Coroz

9 commentaires

  1. Posté par Baechler le

    Un article généreux et patriotique, accompagné de commentaires – qui prouvent qu’une infime minorité de personnes permet de nous rassurer comme rarement – à savoir, que l’exception confirmera toujours la règle, à savoir que tout va bien, et qu’il convient de demeurer confiant en nous-mêmes et quant à l’avenir harmonieux de notre patrie, ainsi que de sa prospérité.

  2. Posté par Bonardo le

    Messieurs juste pour information ce que vous faites est totalement illégal !

  3. Posté par antoine le

    Les zadistes ne sont pas à une contradiction près :
    – Ils prônent la décroissance mais approuvent l’immigration illégale et une Suisse a 10millions d’habitants.
    – Ils luttent contre le capitalisme mais ils en bénéficient par le mode de vie
    – Protection de la nature, alors qu’ils brûlent des déchets de bois imprégnés ou peints (cela est interdit depuis de dizaines d’années sur les chantiers)
    – M. le prix Nobel de chimie est sur place (comme par hasard il cherchait des champignons …) et profite des médias subventionnés (RTSocialiste) pour diffuser des slogans hostiles aux automobilistes …
    Lorsqu’on est intelligent, on devrait avoir la modestie de reconnaître que l’on ne sait RIEN !
    Du jour au lendemain on ne s’improvise pas spécialiste de l’écologie ou climatologue, même s’il s’est renseigné … tout cela n’est que politique politicarde !

  4. Posté par Pépé Le Moko le

    Oui la suisse est bétonnée a une vitesse folle et c’est une catastrophe a tous points de vue.
    Nous recevons grace a l’ immigration clandestine ou autorisé des dizaines de milliers de personnes par an qu’il faut bien loger ! Toute la gauche et meme la droite y trouve intéret alors qu’ils la ferment !

  5. Posté par gambetta le

    Des questions demeurent après cette hargneuse – à juste titre – prise de position que je partage pleinement. Pourquoi seulement maintenant des médias tels que vous semblent se reveiller ?
    Pourquoi les habitants du pied de la colline ont du vivre dans la crainte et le dêsodre social pendant 6 mois avant que cette spendide mais néanmointe coûteuse évacuation ait-elle eu lieu ?
    Qui protège, conseille, finance, ces zadistes?
    Qui va payer tout ca ?

    Je pense que chacun devrait se poser ces questions.

  6. Posté par Pierre-Alain Tissot le

    Il n’en reste pas moins qu’il faut sauvegarder ce qui reste du Mormont et l’occupation zadiste a eu le mérite de faire connaître cette cause à tous.
    Cela fait des décennies que le Mormont est mangé de plus en plus rapidement par l’industrie du bétonnage à outrance. Sa destruction se poursuivra-t-elle jusqu’au cimetière et au château de La Sarraz ?
    Qu’on fait les partis politiques, dont les conservateurs : rien, sinon modifier lois et règlements en faveur du cimentier !
    Et c’est malheureux qu’il faille compter sur ces jeunes militants de gauche pour que le monde politique bouge enfin, tous partis confondus !
    Signé : un conservateur.

  7. Posté par Reymond Fabienne le

    Enfin un article réaliste qui n’est pas écrit par des journalistes avec des œillères. Félicitations. Il e faudrait plus comme vous

  8. Posté par Lucide le

    En effet, que de paradoxes :
    Se mettre nues pour lutter contre le machisme…
    Vouloir supprimer la production de béton local….
    Bien sûr tous pour l’immigration massive, source de bétonnage et de pollution supplémentaires…..
    En plus le visage recouvert…. en fait voilé, autre signe d’oppression de la femme…
    On vit une époque tellement pleines de paradoxes que ça vire à la bêtise, et j’en ajoute quelques-uns :
    Les racisés qui organisent des réunions interdites aux blancs…
    Les noirs et autres minorités américains tellement désavantagés même ayant eu un président noir limite musulman….
    Les verts allemands qui suppriment le nucléaire et l’Allemagne rouvre ses mines de charbon..
    Les médias en énorme majorité de gauche alors qu’ils sont possédés par des milliardaires…
    Enfin, ce que j’ai envie de dire aux zadistes qui semblent être contre les puissants, les lois profitent aux faibles, les riches ayant les moyens de se défendre tout seul, donc enfreindre les lois, c’est fragiliser les faibles et les pauvres….. mais les zadistes vivent-ils à proximité des pauvres et des migrants ?

  9. Posté par CiGîtLaSuisse le

    Dans les déchetteries communales, à côté des containers pour le verre, le papier, le PET, les incinérables, etc., il devrait y avoir un container pour ces déchets humains, ces ratés branleurs et cradingues à postures de pastèques, ces étrons de l’humanité.

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