Le Prince Harry va contrôler les contenus en ligne et réprimer les opinions non conventionnelles

Le prince Harry s’est couronné le « woke king » de la censure des médias indépendants, en acceptant un emploi de vérificateur de faits.

Le nouveau rôle d’Harry en tant que membre de la Commission sur le désordre de l’information, créée par un groupe de réflexion américain, le verra se battre en première ligne pour « combattre les fausses nouvelles ».

Le duc de Sussex a annoncé cette semaine qu’il allait se charger de lutter contre « l’avalanche de fausses informations » en ligne, qui, selon lui, est devenue un « problème humanitaire ».

Harry a déclaré dans un communiqué rapporté par The Guardian mercredi : « L’expérience du monde numérique d’aujourd’hui nous a inondés d’une avalanche de fausses informations, affectant notre capacité, en tant qu’individus comme en tant que sociétés, à penser clairement et à comprendre réellement le monde dans lequel nous vivons. »

« Je suis convaincu qu’il s’agit d’une question humanitaire et qu’en tant que telle, elle exige une réponse multipartite de la part des groupes de défense,  des médias, des chercheurs universitaires, des gouvernants et des leaders la société civile », a ajouté le mari de Meghan.

C’est le deuxième rôle que le prince, ancien membre actif de la famille royale britannique, a confirmé avoir pris ces derniers jours.

En début de semaine, il a été révélé que Harry avait pris le rôle de « responsable de l’impact » dans une startup de San Francisco qui vend des services de coaching aux employés des entreprises. Le directeur général de BetterUp, Alexi Robichaux, a nié que son entreprise ait engagé le prince pour se faire de la publicité.

Alors qu’il s’attaque aux « fake news » dans les médias dans son dernier rôle, Harry et son épouse Meghan ont récemment été contraints de corriger une fausse nouvelle qu’ils avaient lancée eux-mêmes.

Lors de leur interview fleuve avec Oprah Winfrey au début du mois, Harry et Meghan avaient affirmé avoir été mariés en secret par l’archevêque de Canterbury, Justin Welby, dans leur jardin, trois jours avant leur mariage royal public, qui a coûté plusieurs millions de livres.

Meghan avait déclaré à l’animatrice du talk-show : « Vous savez, trois jours avant notre mariage, nous nous sommes mariés. »

« Donc, si on veut, les vœux que nous avons encadrés dans notre chambre sont juste nous deux dans notre jardin avec l’archevêque de Canterbury », a affirmé l’ancienne actrice de télévision.

Le prince Harry avait confirmé les dires de sa femme, affirmant qu’il n’y avait « que nous trois ».

Des personnalités du clergé ont mis en doute ces propos, étant donné que, selon le droit séculier anglais et celui de l’Église d’Angleterre, un mariage doit être célébré dans un lieu officiellement reconnu et en présence de deux autres personnes, et qu’un couple déjà marié ne peut pas se remarier.

Un porte-parole du couple a été contraint de confirmer cette semaine aux médias que Meghan et Harry avaient « échangé des vœux personnels en privé quelques jours avant leur mariage officiel/légal du 19 mai », et qu’ils ne s’étaient pas mariés avant leur mariage public comme ils l’avaient prétendu.

Lire aussi : Le prince Harry appelle à plus de censure des médias sociaux

Source : Breitbart

Version française : Anguille sous Roche et Albert Coroz

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Les 8 mensonges de Harry et Meghan lors de l'interview avec Oprah

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Parodie de l'interview de MEGHAN MARKLE  avec  OPRAH WINFREY

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Oprah Winfrey et d'autres "blackwashings"

Oprah Winfrey interviewe Jayson Blair sur sa démission du New York Times

En 2003, le New York Times a rendu compte de l'un des plus grands scandales de l'année – et tout s'était déroulés dans sa propre rédaction. Jayson Blair, un jeune reporter prometteur, a plagié et menti dans des dizaines d'articles qu'il avait écrits pour le prestigieux journal.

Il a écrit sur des endroits qu'il n'avait jamais visités, a cité des conversations qui n'avaient jamais eu lieu et a fabriqué des événements.

Les actes de Jayson ont été révélés au grand jour après qu'une journaliste du San Antonio Express-News ait découvert qu'il avait plagié un de ses articles.

«Quand on m'a appelé la première fois, ma première réaction a été d'essayer de me défendre.

Mais en même temps, j'avais envie de ce sentiment de soulagement, j'avais envie que ce soit fini», dit Jayson.