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Drogué et menaçant
Arrivés sur place, cinq policiers avaient essayé de calmer l'homme, drogué et dans un état second, avant que celui-ci s'en prenne à un des agents en lui courant après avec le couteau à la main. Puis il s'était dirigé et rapproché du caporal, aujourd'hui âgé de 52 ans, le menaçant avec le couteau. Le policier avait dégainé et tiré trois coups de feu, atteignant la victime à la cuisse et au thorax.
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Justice est faite.
Si un policier est armé c’est pour nous défendre et nous protéger et aussi pour se défendre contre un récalcitrant qui, au lieu d’obtempérer et de se soumettre à l’autorité, attaque un policier.
De même le policier noir américain pour lequel on fait tant de bruit n’est qu’un voyou drogué refusant d’obtempérer. Le policier a utilisé une technique d’immobilisation que ses supérieurs lui ont enseignée afin que le policier ne dégaine pas plus vite que ne le veut la gauche libérale américaine qui défend plus les malfaiteurs que les victimes. Ce policier a appliqué les normes que ses supérieurs lui imposent. Il ne doit pas être condamné. Punkt Schluss.
Personnellement je pense que pour soumettre un suspect qui n’obtempère pas aux ordres de la police, le policier doit dégainer son arme et l’utiliser pour l’immobiliser au mieux compte tenu de la situation. Je ne recommande pas que la police se comporte comme des aides soignants en hôpital psychiatrique ou utilises des mesures de désoxygénation.
Tiens, serions-nous tombés sur un juge qui appliquerait la Loi ? Le fait est notable et digne d’être relevé, il reste néanmoins exceptionnel. Prudence, prudence. Les mouvements citoyens vont s’organiser.
Un jeune congolais armé d’un couteau et drogué, c’est vrai que c’est courant de par chez nous. Le caporal aurait peut-être dû se mettre à genou ?