Dans la perspective de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale qui aura lieu ce dimanche, la présidente Ursula von der Leyen a déclaré : «Nous devons continuer à parler du racisme. Et nous devons envoyer un message fort à toute l’Union: Il n’y a pas de place pour la discrimination en Europe, qu’elle soit fondée sur la race, l’origine ethnique ou la religion. La Journée internationale contre la discrimination raciale doit être l’occasion de réfléchir de manière critique à nos lacunes, mais aussi de nous concentrer sur notre attachement à la diversité et sur la contribution de personnes de tous horizons à notre vie quotidienne. Aujourd’hui plus que jamais, l’unité exige que nous rejetions le racisme et chérissions nos différences.»
La vice-présidente chargée des valeurs et de la transparence Věra Jourová a déclaré ce qui suit : «Nous devons parler du racisme. L’année dernière, nous avons présenté un plan d’action ambitieux pour lutter contre le racisme en Europe. Le sommet nous offre l’occasion de parler du racisme et de réfléchir à la manière d’inverser la tendance. Ce ne sera pas facile, mais c’est indispensable. Nous allons redoubler d’efforts en ce sens.» Helena Dalli, commissaire chargée de l’égalité, a quant à elle déclaré: «L’actualité nous rappelle constamment à quel point il est urgent de lutter contre la discrimination raciste et xénophobe en Europe. Le racisme structurel existe toujours. Nous devons commencer par nous-mêmes et apporter les changements nécessaires.»
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Et pour rire un peu, quelques mots d’esprit:
https://www.bvoltaire.fr/yseult-le-depart/
Ahhh! Enfin les CHRETIENS BLANCS vont pouvoir évoquer la discrimination et le racisme dont ils sont victimes par les égorgeurs musulmans!
de Gaulle (Charles)
La plus grande erreur qu’on puisse commettre dans la vie, c’est de penser que les autres -– amis ou ennemis -– puissent penser comme nous-mêmes.
Les socialistes sont d’éternels utopistes, des déphasés, des apatrides mentaux… Ils gaspillent toujours la plus grande partie des crédits. On ne les a jamais vu dépenser efficacement l’argent public…
Les Français sont trop portés à croire qu’ils peuvent dormir tranquille, qu’ils n’ont qu’à s’en remettre à d’autres du soin de défendre leur indépendance ! Il ne faut pas les encourager dans cette confiance naïve, qu’ils paient ensuite par des ruines et par des massacres ! Il faut les encourager à compter sur eux-mêmes !
Si une communauté n’est pas acceptée, c’est parce qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quant elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses moeurs. (Propos rapportés par Philippe De Gaulle dans “De Gaulle mon père”. Plon 2003, tome 1 page 433)
Général de Gaulle. (Cité par J.R. Tournoux, La tragédie du Général, Éditions Plon, 1967).
« Et puis, Delbecque, vous nous voyez mélangés avec des musulmans ? Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des Arabes ? »
Général de Gaulle. (Cité par Cyrus Sulzberger, Les derniers des géants, Éditions Albin Michel, 1972)
« Qu’est-ce que les Arabes ? Les Arabes sont un peuple qui, depuis les jours de Mahomet, n’a jamais réussi à constituer un État. Avez-vous vu une digue construite par les Arabes ? Nulle part. Cela n’existe pas. Les Arabes disent qu’ils ont inventé l’algèbre et construit d’énormes mosquées. Mais ce fut entièrement l’œuvre des esclaves chrétiens qu’ils avaient capturés… Ce ne furent pas les Arabes eux-mêmes… Ils ne peuvent rien faire seuls. »
Charles De Gaulle : Les gens de gauche ont rarement de grand projet. Ils font de la démagogie, et se servent des mouvements d’opinion.
La gauche tire le haut de la société vers le bas, par idéal d’égalitarisme. C’est comme ça que l’on a fini dans l’abîme en 1940…
Les socialistes sont d’éternels utopistes, des déphasés, des apatrides mentaux… Ils gaspillent toujours la plus grande partie des crédits. On ne les a jamais vus dépenser efficacement les crédits… Je n’aime pas les socialistes, car ils ne sont pas socialistes… Parce qu’ils sont incapables, Ils sont dangereux …
Mesdames, Zemmour risque de ne pas être tout à fait d’accord avec vous:
Éric Zemmour. (Le premier sexe)
En se féminisant, les hommes se stérilisent, ils s’interdisent toute audace, toute innovation, toute transgression. Ils se contentent de conserver. On explique en général la stagnation intellectuelle et économique de l’Europe par le vieillissement de sa population. Mais Cervantes écrivit Don Quichotte à soixante-quinze ans ; de Gaulle revint au pouvoir à soixante-huit, et le chancelier allemand Adenauer à plus de soixante-dix. On ne songe jamais – ou on n’ose jamais songer – à sa féminisation.
Éric Zemmour. (Le premier sexe)
C’est tout le paradoxe féminin. Les femmes conduisent quand la vitesse est limitée ; elles fument quand le tabac tue ; elles obtiennent la parité quand la politique ne sert plus à grand-chose ; elles votent à gauche quand la Révolution est finie ; elles deviennent un argument de marketing littéraire quand la littérature se meurt ; elles découvrent le football quand la magie de mon enfance est devenue un tiroir-caisse. Il y a une malédiction féminine qui est l’envers d’une bénédiction. Elles ne détruisent pas, elles protègent. Elles ne créent pas, elles entretiennent. Elles n’inventent pas, elles conservent. Elles ne forcent pas, elles préservent. Elles ne transgressent pas, elles civilisent. Elles ne règnent pas, elles régentent.
Éric Zemmour. (Le premier sexe)
Privé de ses propres mots, l’homme (mâle) a été peu à peu privé d’une pensée propre. La machine est rodée. Implacable. D’abord, on ne lui parle que de grands principes, d’universel, d’humanité : il n’y a plus d’hommes, il n’y a plus de femmes, rien que des êtres humains égaux, forcément égaux, mieux qu’égaux, identiques, indifférenciés, interchangeables. Le discours qui confond ses propres valeurs avec celles de l’humanité est celui de toutes les puissances dominantes, de l’Empire romain jusqu’à la grande nation, du bon temps des colonies jusqu’à l’american way of life. Des hommes avec ou sans majuscule au temps d’une société patriarcale. Et puis, dans un second temps, on suggère la supériorité évidente des « valeurs » féminines, la douceur sur la force, le dialogue sur l’autorité, la paix sur la guerre, l’écoute sur l’ordre, la tolérance sur la violence, la précaution sur le risque. Et tous, hommes et femmes, surtout les hommes, de communier dans cette nouvelle quête du Graal. La société unanime somme les hommes de révéler la « féminité » qui est en eux. Avec une bonne volonté confondante, suspecte, malsaine, les hommes font tout ce qu’ils peuvent pour réaliser ce programme ambitieux : devenir une femme comme les autres. Pour surmonter enfin leurs archaïques instincts. La femme n’est plus un sexe, mais un idéal.
Éric Zemmour. (Mélancolie française)
Sur les ruines de l’assimilation, le culte du métissage fut édifié comme le miroir inversé de la race pure. Le métissage nous apporterait la réconciliation universelle. Outre que ce discours est historiquement faux – le métissage entre conquistadores et Indiens n’ayant nullement empêché massacres et pillages – il est erroné intellectuellement. Ainsi comme le note pertinemment Pierre-André Taguieff, le métissage obligatoire est souvent associé à l’exaltation de la diversité, deux notions antagonistes. Le mot race est devenu dans notre société le tabou suprême, comme le sexe au XIX° siècle. Celui-ci est refoulé parce qu’on aimerait tant qu’il n’existe pas ; mais il nous obsède. Le puritain voyait le sexe partout ; l’anti-raciste moderne voit des racistes partout.
« Nous devons nous concentrer sur notre attachement à la diversité »
CES DEUX DAMES VEULENT NOUS DIRE CE QUE NOUS DEVONS AIMER, MAIS DE QUEL DROIT ?
Nous sommes très nombreux à aimer la civilisation judéo-gréco-romano-chrétienne, phare de l’humanité à tout jamais, et à ne surtout pas vouloir en changer.
L’islam est la principale « diversité » qui, peu à peu, s’installe en Europe occidentale. L’exemple du Liban nous a amplement montré que cette « diversité » n’engendre que des malheurs, des destructions et finalement des guerres. En effet, l’islam est incompatible avec quelque « diversité » que ce soit.
Comme nous l’ont fait remarquer plusieurs lecteurs, il évoque également, dans « Mémoires d’espoir », paru en 1970, à propos de l’Europe :
« …Pour moi j’ai, de tous temps, mais aujourd’hui plus que jamais, ressenti ce qu’ont en commun les nations qui la peuplent. Toutes étant de même race blanche, de même origine chrétienne, de même manière de vivre, liées entre elles depuis toujours par d’innombrables relations de pensée, d’art, de science, de politique, de commerce, il est conforme à leur nature qu’elles en viennent à former un tout, ayant au milieu du monde son caractère et son organisation … »
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/10/01/les-races-morano-et-de-gaulle-pour-clore-la-polemique_4780347_4355770.html
C’est révélateur et cela ne s’invente pas. Au sein de l’UE, nous avons (sans rire) une “vice-présidente chargée des valeurs et de la transparence”. Sûrement une conséquence malencontreuse de la rencontre entre l’application des quotas et du déversement des trop-pleins des universités dédiés aux sciences sociales et humaines. Que faire de ces gens ? Quel employeur pourrait les engager ? L’ONU, une ONG ? Pour une infime minorité de nantis qui auront les relations en haut à gauche, oui. Mais pour la foule ? Ce seront les partis politiques et les plateaux télé pour les chanceux, l’application du marxisme pour les autres.
“C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français !
Charles de Gaulle
C’était De Gaulle, Alain Peyrefitte
« Freude herrscht ! » Bonne journée pour nous tous : Le Conseil fédéral semble abandonner – enfin – ce malheureux accord-cadre avec l’UE :
https://www.blick.ch/schweiz/rahmenabkommen-mit-der-eu-der-bundesrat-gibt-auf-id16412318.html
Peut-être que les deux dames de la photo devront encore échanger quelques bonnes idées maintenant… ?
Qu’elles aillent vivre quelques années en Afrique au moyen-orient , elles verrons ce qu’est vraiment le racisme et en subiront les effets ; elles changeront vite d’avis.
Quand les anti-racistes sont des RACISTES !
https://lesobservateurs.ch/2021/03/19/a-columbia-des-celebrations-de-remise-de-diplome-separees-selon-lorigine-ethnique-ou-autre-des-etudiants/
Avec l’alcoolique on avait une l’appât du gain. Avec ces bourgeoises aveugles, c’est bien plus grave docteur !