Le maire de Poissy, Karl Olive, a fait part de sa “frustration et [sa] colère” face à ces évènements sur RMC.
Interrogé par Apolline de Malherbe, l’élu confie ne pas être étonné par ces évènements: “En apprenant ce qu’il s’est passé samedi, on n’est pas tombé à la renverse. Ce qui s’est passé samedi depuis 6 mois c’est ce qu’il se passe dans une majorité de quartiers en France” a-t-il dénoncé
Selon le maire, cette vidéo a été diffusée pour une raison particulière: les syndicats de police ont exprimé samedi leur vive opposition à la proposition de la Défenseure des droits Claire Hédon d’expérimenter des “zones sans contrôle d’identité” dont le caractère discriminatoire a été documenté dans plusieurs enquêtes.
“C’est le concours Lépine de l’inutilité” dénonce-t-il. “On marche sur la tête: au moment où, avec les policiers, les préfets, les associations, nous sommes en train de reconquérir certaines zones, cette personne propose cela. Ce n’est pas possible. Je ne sais pas ce qui est passé par la tête de la Défenseure des droits. Je vais demander au gouvernement de mettre en place un “Défenseur des devoirs”. Et je suis très sérieux” a ironisé Karl Olive.
Avant d’expliquer sur ces quartiers sensibles vont “nous péter à la gueule” si rien ne change:
“Nos forces de police doivent être sur le terrain et pas (…) à faire des tâches administratives. On connait ces jeunes, on sait ce qu’on doit faire. Mais je le redis: il faut absolument enclencher une vitesse supérieure. Aujourd’hui, dans les quartiers prioritaires, ça nous pète à la gueule, et ça va nous péter à la gueule parce qu’on regarde, on voit ce qu’il se passe, mais on regarde ailleurs. On a besoin d’un soutien effectif de l’Etat bien plus accru que ce qu’il est en ce moment” a-t-il conclu.
Les policiers appelés au 17 pour dissoudre un attroupement rue de Villiers, sont alors pris à partie par une trentaine de jeunes quand ils arrivent sur les lieux. Ils sont accueillis par des projectiles, des insultes et les fonctionnaires sont alors visés par des projectiles.
Des policiers ont été pris à partie samedi 13 février, à Poissy (Yvelines). La scène s’est déroulée aux alentours de 17h50, rue de Villiers, dans le quartier Beauregard.
«Nos collègues ont été appelés car il y avait un attroupement de jeunes sur la voie publique», indique une source policière au Figaro. Une fois sur place, l’équipage de police a été attaqué et a essuyé des tirs de mortiers de la part d’une trentaine d’individus, nous précise-t-on.
Sur une vidéo mise en ligne par le syndicat indépendant des commissaires de police (SICP), on voit plusieurs individus s’en prendre aux policiers avec des mortiers. Ces mêmes individus hurlent à plusieurs reprises : «Tuez-les ! Tuez-les !» avant de s’enfuir en courant.
"Tuez-les, Tuez-les!"
Un guet-apens tendu à des #policiers.
Comme solution, la @Defenseurdroits promeut la création de zones sans contrôles d'identité, c'est à dire de "non droit".
Mme @clairehedon, ces habitants ne sont pas des sous-citoyens.
Ils ont le droit à la sécurité! pic.twitter.com/4H22LVYjIB— Commissaires de Police SICP (@SICPCommissaire) February 13, 2021
Les policiers ont fait usage de grenades lacrymogènes et un tir de LBD a également été effectué. Des renforts de police ont été appelés mais les assaillants avaient disparu à leur arrivée. Il n’y a eu ni blessé ni interpellation.
Via Fdesouche
Dans son livre “Guerre civile raciale”, feu Guillaume Faye ne s’est jusqu’ici pas trompé. On y arrive peu à peu. On nous impose de force des racailles afro-maghrébines depuis des décennies, et voilà le résultat logique.
” …dans les quartiers prioritaires, ça nous pète à la gueule, et ça va nous péter à la gueule parce qu’on regarde, on voit ce qu’il se passe, mais on regarde ailleurs.”
Depuis 30-40 ans les ghettos se sont formés, l’intégration est un ECHEC ! Récemment cela a pris une autre dimension avec la racaille violente qui caillasse les pompiers, les ambulanciers et les policiers.
En Corse, à ma connaissance, les pompiers se sont fait caillassés qu’une seule et unique fois. La racaille a été avertie et mise au pas; il n’y aura PAS de 2ème fois !
”On a besoin d’un soutien effectif de l’État bien plus accru que ce qu’il est en ce moment.”
M. Micron ne va surtout pas lever le petit doigt pour calmer les banlieues et les quartiers sensibles. Il tempère, prononce de belles paroles qui resteront lettre mort jusqu’après sa réélection en 2022 !!