L'agence européenne veut «initier un véritable changement générationnel». Elle «encourage vivement les femmes à postuler», afin de «renforcer la diversité de genre dans ses rangs».
Lors de la précédente campagne, seulement 16% de femmes s'étaient portées candidates. Mais la diversité devra aussi «peut-être» s'élargir aux handicaps physiques, explique David Parker, directeur de l'exploration humaine et robotique à l'ESA, dans un communiqué relayé par le Figaro Et d’ajouter : «Parallèlement au recrutement des astronautes, je lance le projet de faisabilité des parastronautes - une innovation pour laquelle l'heure est venue».
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Au vu des échecs successifs pour imposer l’idéologie, l’agence spatiale européenne doit se résoudre, comme l’on fait tous ses prédécesseuses, à opter pour le merveilleux système des quotas. C’est la seule solution qui a fait ses preuves et qui fonctionne. Marche boiteuse et forcée, mais ça marche !
”L’Agence spatiale européenne base son recrutement d’astronautes sur “la diversité de genre” et “peut-être” les personnes handicapées”
Il manque les asthmatiques, les allergies, les phobies (du vide) et les nains et les cul de jattes (poids moindre !)
On est en plein délire ! Ce n’est pas le Club Med … !
Ils sont de plus en plus givrés. Le monde occidental est fou, en pleine décadence.