C'est sous les applaudissements et cris de joie du public que la banderole sur laquelle figurait le slogan «On squattera encore vos villas vides», sur la maison de Roland Leutard, a été décrochée dans la soirée du 11 février, comme en témoigne la vidéo du journaliste Hervé Grandchamp sur place.
A Toulouse, la police est rentrée dans la maison squattée, la banderole est tombée #squatteurspic.twitter.com/w9FhRN8oqu
— Hervé Grandchamp (@hervegg) February 11, 2021
La maison, qui était occupée jusque-là par des squatteurs, a été libérée par une vingtaine d'occupants dans l'après-midi, a rapporté La Dépêche du midi. La révélation de cette occupation dans la presse avait soulevé un vif émoi, suscitant la mobilisation de soutiens qui se sont rassemblés devant la bâtisse trois jours d'affilée depuis le 9 février.
«C'est la première journée [le 11 février] où on est restés toute la journée», a déclaré Luc, un des soutiens de Roland Leutard à RT France. Selon lui, le face à face avec les occupants de la maison a été marqué par des «tensions verbales», mais l'évacuation se serait déroulée sans violence.
A Toulouse, le squat est libéré, la police investit les lieux #squatteurspic.twitter.com/7jVKkuZYrL
— Hervé Grandchamp (@hervegg) February 11, 2021
La police était sur place pour reprendre possession des lieux dans la soirée, a confirmé à RT France Hervé Grandchamp. La fille du propriétaire est aussi venue sur place.
Le portail de la maison était toujours fermé avec un lourd cadenas et des draps avaient été déployés pour masquer la vue depuis l'extérieur après le départ des squatteurs, précise La Dépêche du midi. Des images montrant les occupants quitter les lieux sur les applaudissements des soutiens du propriétaire ont été diffusées plus tôt sur les réseaux sociaux.
Les squatteurs de la maison de #Roland viennent de quitter les lieux après négociations notamment avec jeunes du quartier info @100pour100radiopic.twitter.com/RG5KvK4dQa
— Brice Vidal (@BV_journaliste) February 11, 2021
Les squatteurs avaient profité des absences répétées du propriétaire, qui louait un appartement pour se rapprocher de sa femme placée en Ehpad, pour changer les serrures de la maison en septembre. Présents depuis plus de 48 heures à la découverte de leur occupation illégale, ils ne pouvaient plus être délogés par la police. Après une procédure en justice, ils ne pouvaient pas être expulsés avant la fin de la trêve hivernale, prolongée jusqu'en juin cette année pour cause de crise du Covid-19.
Le propriétaire avait notamment reçu le soutien du maire de la ville et de l'ancien rugbyman Grégory Lamboley, qui avait levé une cagnotte pour soutenir le propriétaire.
«Quand j'ai vu ça dans les faits divers, ça m'a révolté comme à chaque fois qu'il y a ce genre d'incidents ou d'incivilités [...] je ne comprends pas qu'on puisse laisser une personne comme ça en plein désarroi se faire squatter sa maison», avait-il déclaré à RT France.
Extrait de: Source et auteur
Est-ce que ce propriétaire retrouvera TOUTES ses affaires ?
Est-ce que les installations sont en ordre de fonctionner ?
Est-ce que les WC ne sont pas bouchées et ont bien été nettoyées ?
J’en doute fort !
Ces squatters se sont tout attribués, en volant par la force ce qui appartient à un retraité de 88 ans !!
https://www.7sur7.be/monde/prive-de-sa-maison-par-des-squatteurs-la-colere-de-roland-88-ans~a906610a/
Donc dorénavant il faut :
– Laisser de la lumière et enclencher la radio
– Prévenir les voisins pour qu’ils surveillent votre bien
– Fermer porte et fenêtres
– Installer et enclencher une alarme
– Avoir une défense juridique
– etc …
et un fusil de chasse avec du gros sel ou du riz !!
Et bien voilà une bonne nouvelle!
Le plus ahurissant est qu’une situation d’occupation sauvage d’un bien privé soit si facile.
Et le plus révoltant sont les droits dont disposent ces parasites de squatters.