Un jeune homme vient de rendre publiques les agressions sexuelles dont il dit avoir été la victime de la part d’un élu communiste de Paris et de son compagnon. Le PC a demandé à son élu de se retirer provisoirement. Une nouvelle affaire nauséabonde dans le camp de la gauche.
Evoquant le cas Christophe Girard, dans Présent de samedi, nous avions bien pris soin d’indiquer que la formule « Paris = Pédoland » n’était pas de nous, mais d’ultra-féministes. Ceci pour plusieurs raisons : la première, c’est que parler de « Pédoland » peut être compris comme une allusion « homophobe » et pas uniquement anti-pédophiles. L’homophobie est sanctionnée de trois ans de prison et de 45 000 euros d’amende, c’est l’argument donné par des témoins de comportements pédomanes pour ne pas mettre en cause leurs auteurs quand ces crimes étaient commis par des homos.
La seconde raison est que les affaires d’agressions sexuelles dans lesquelles sont impliqués des membres de la majorité municipale, à Paris, ne mettent pas en cause que des homosexuels. Ainsi quand Pierre Aidenbaum, ancien maire PS du 3e arrondissement un quart de siècle durant, est mis en examen (octobre 2020) pour « viol par personne ayant autorité et agressions sexuelles par personne ayant autorité », ce ne sont pas des hommes à qui il est soupçonné de s’en prendre, ni à des enfants, mais à des jeunes femmes (il a 78 ans, et on comprend bien que, pour ses conquêtes « sentimentales », il soit obligé d’être un peu… comment dire… directif). La présomption d’innocence existe, pour Aidenbaum comme pour les autres, mais a priori il n’était pas citoyen de la Pédolandie, puisqu’il s’intéressait (d’un peu trop près) aux dames plutôt qu’aux hommes ou aux enfants.
Toutefois une nouvelle affaire rouvre le débat sur des pratiques ignobles au sein de la gauche parisienne, parmi les élus homosexuels. Un jeune homme prénommé Guillaume a révélé jeudi 21 janvier qu’en 2018 il aurait été violé par un élu communiste parisien et son compagnon, les dénommés Maxime Cochard et Victor Laby. La victime avait tout juste 18 ans et était psychologiquement fragile : « Je considère qu’ils ont profité de ma jeunesse, de ma naïveté, du fait qu’en raison de problèmes familiaux, je n’avais pas vraiment d’endroit où dormir, de leurs responsabilités au sein du PCF pour avoir des relations sexuelles non consenties avec moi. » Maxime Cochard est un élu stalinien du XIVe arrondissement, membre de la coalition majoritaire du conseil municipal. Pour l’heure, indique le site de Valeurs actuelles, aucune plainte n’a été déposée contre lui. Mais Le Parisien, de son côté, croit savoir que plusieurs autres personnes ont révélé à leur tour des agressions sexuelles du même genre.
Le dénommé Guillaume explique qu’il parle maintenant car il constate que ses agresseurs prennent du poids au sein de la ville de Paris, comme au sein du PC. Le PC a demandé à Cochard de se mettre provisoirement en retrait du Conseil de Paris. Mais personne n’a oublié que dans l’affaire Christophe Girard, le groupe communiste, Ian Brossat en tête, avait soutenu l’ancien adjoint. Cochard annonce une plainte pour diffamation.
Quelques heures à peine avant que son nom soit cité dans cette actualité très malodorante, l’autre mis en cause, le dénommé Victor Laby venait de publier le tweet suivant : « En 2020, sur les 695 invités politiques de @CNEWS et de @SudRadio, plus de 41 % ont été des politiques d’extrême droite. » L’individu a désormais d’autres sujets d’inquiétude. •
Extrait de: Source et auteur
Il est quand même surprenant que le prénommé Guillaume (ayant récemment mis fin à ses jours) aie mit 2ans pour réaliser qu’il aurait été violé. Durant ses 2ans celui-ci possédait un compte twitter @PrunilleNSFW dédié à des photos de lui à caractère pornographiques. Visiblement le prétendu “viol” n’a pas perturbé son style de vie libidineux.
Combien la municipalité parisienne actuel a encore en sont seins de Pédo***, de Les**** Misandre et autres pervers de gauche ?
Il est temps que le gouvernement prenne les choses en main , destitue La maire actuel de sa charge et organise de véritables élection municipale digne de ce nom ou les parisiens et parisiennes éliront directement leur maire et non avec le système actuelle qui permet toutes les triches possibles.