Toute initiative militante issue du mouvement national est systématiquement attaquée à la fois par l’extrême gauche sur le plan physique, et par le pouvoir sur le plan pénal et répressif. On l’a vu encore à l’égard de Génération identitaire, dont la dissolution a été annoncée plus d’une fois par les ministres de l’Intérieur successifs.
Or la cour d’appel de Grenoble vient de prononcer une relaxe des responsables de cette organisation, poursuivis sous l’invraisemblable accusation qu’ils auraient pu être confondus avec des douaniers ou des gendarmes quand ils ont déployé une banderole contre l’immigration sauvage, dans les Alpes. « Victoire du droit sur une décision purement politique », a noté leur avocat.
Une pétition a néanmoins réclamé la dissolution du mouvement. Et pourquoi pas, tant qu’on y est, l’incarcération des militants ? Mais, lancée à l’initiative du PC, et avec des soutiens extrêmement limités, elle a fait chou blanc.
Cette relaxe intervient après celle, en juin, qui a disculpé les cinq jeunes militants identitaires qui avaient organisé le déploiement d’une banderole contre l’islamisme sur le chantier en construction d’une mosquée géante, à Poitiers (quel symbole !). Le pouvoir finira bien par se lasser de ces atteintes à la liberté d’expression, qui finissent systématiquement par un non-lieu. •
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”Le pouvoir finira bien par se lasser de ces atteintes à la liberté d’expression, qui finissent systématiquement par un non-lieu..”
… et condamnera les plaignants qui ont poursuivi sous l’invraisemblable accusation Génération Identitaire !
Il faudrait arrêter de déposer plainte pour n’importe quel motif irrecevable …