L’émotion était grande lundi 28 décembre à Fontainebleau (Seine-et-Marne) après la profanation de 67 tombes dans le cimetière de la ville, la grande majorité recouvertes de croix gammées. Frédéric Valletoux, l’édile de la commune francilienne, a parlé « d’acte abject » et s’est dit « scandalisé », tandis que le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a fait part de son « écœurement » et d’une « ignominie ».
Une nouvelle fois l’abjection. Une nouvelle fois la dénoncer et la combattre. L’antisémitisme n’a sa place nulle part. Ne nous y habituons pas. Via @franceinfo 67 tombes profanées à Fontainebleau (77). https://t.co/5AvNqz6IFQ
— Audrey PULVAR (@AudreyPulvar) December 28, 2020
Mais comme l’ont rapporté de nombreux médias, dont Valeurs actuelles, les tombes profanées étaient chrétiennes. Pas vraiment ce qu’a lu, ou a voulu lire, l’adjointe à la maire de Paris, Audrey Pulvar. Sur les réseaux sociaux, elle a condamné un « antisémitisme qui n’a sa place nulle part ». « Ne nous y habituons pas », ajoute-elle-même.
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Heureusement qu’elle n’est plus journaliste!