Il se trouve donc en France, 100 ans après la naissance du Parti communiste, encore des nostalgiques d’une doctrine, qui, partout où elle a exercé le pouvoir, s’est traduite de la même manière : dictature d’un parti unique sur l’ensemble de la société, syndicats aux ordres du pouvoir, pas de contre-pouvoir pour les travailleurs, persécution des opposants politiques, ruine de l’économie et extermination des petits entrepreneurs qui assurent le développement d’un pays.
Alors qu’on critique, à juste titre, les ravages commis par le nazisme, curieusement, les crimes communistes sont passés sous silence, et pourtant, selon Stéphane Courtois, auteur du “Livre noir du communisme”, ils ont occasionné 100 millions de morts en 70 ans !
Bernard Antony et l’Agrif, avec TV-Libertés, avaient publié un document exceptionnel de 1 h 40 minutes sur la réalité de cette histoire, cachée aux Français et à nombre de citoyens d’autres pays.
De même qu’on passera sous silence la réalité du pacte germano-soviétique, et des trahisons des communistes, sabotant les armes des soldats français, et les envoyant à la mort, en Indochine et en Algérie notamment.
Il est bon de rappeler ces faits quand on lit ce texte ahurissant, impulsé non pas par un autiste, mais par une authentique crapule stalinienne, le nommé Thomas Portes, président d’un obscur machin dont il doit être le seul adhérent, appelé “L’Observatoire national contre l’extrême droite”.
http://www.regards.fr/politique/article/tribune-il-faut-dissoudre-generation-identitaire
Une personne qui ne connaîtrait pas la France se dirait que dans ce pays, des bandes racistes multiplient les ratonnades contre les immigrés, les homosexuels, les femmes, les vieux, qu’ils font régner la terreur en France et que le sang coule abondamment dans nos rues.
Or, ce sont les islamistes et les envahisseurs, défendus, soutenus et encouragés à venir par Thomas Portes et ses complices, qui causent l’ensauvagement de notre pays.
La demande de Thomas Portes est d’autant plus incongrue que trois dirigeants de Génération Identitaire viennent d’être relaxés par le tribunal de Grenoble, en appel.
Ne craignant pas le ridicule, le nommé Portes, au lendemain de l’action du col de l’Échelle, réclamait ni plus ni moins déjà la dissolution de Génération Identitaire, qu’il avait comparée à des nazis, rien de moins, oubliant les connivences passées de son parti avec Adolf Hitler. Cela lui avait d’ailleurs valu un procès, qui est encore en cours.
Il s’est bien évidemment trouvé une vingtaine de militants de cette gauche dégénérée, qui tous avaient signé l’appel à manifester contre l’islamophobie impulsé par le CCIF, pour soutenir ce texte délirant et fascisant. Sans surprise, ces militants sont à la CGT, au PC, aux Insoumis et chez les Verts. Lisez bien les noms de ces grands nostalgiques des dictatures staliniennes, grands défenseurs des libertés… de ceux qui pensent comme eux.
Dans ce remarquable article, Paul Le Poulpe s’indignait de cette comparaison entre les Identitaires et les nazis, et expliquait pourquoi celui qui l’avait commise, Thomas Portes, était quadruplement un salaud.
Jeanne Bourdillon
Le stalinien Thomas Portes compare les Identitaires aux nazis et les migrants aux juifs
On se souvient qu’en avril dernier, au col de l’Échelle, Génération Identitaire avait monté une action, sans exercer par ailleurs la moindre violence, afin de dénoncer la frontière passoire avec l’Italie (c’était avant l’arrivée au pouvoir de Salvini). Ils avaient tout simplement bloqué le passage, obligeant les clandestins qui voulaient entrer en France en toute illégalité à rebrousser chemin.
Naturellement, gauche et extrême gauche avaient glapi, Mélenchon avait hurlé (se faisant magistralement ramasser par Collard), et chacun réclamait à Collomb qu’il envoie la troupe, rien de moins !
Dans le registre “Crapule”, un militant s’est particulièrement distingué, le nommé Thomas Portes, obscur syndicaliste CGT de la SNCF et par ailleurs militant PCF du Tarn-et-Garonne. Pourquoi est-ce que je me permets de le traiter de “salaud” ? Pour quatre raisons, suite à son tweet.
La première est qu’il se permet de comparer Génération Identitaire à des nazis, ce qui est certes classique à gauche pour discréditer un adversaire (Staline avait théorisé la stratégie), mais est particulièrement dégueulasse car, outre le fait que c’est bien sûr historiquement faux, cela revient à banaliser l’horreur de la propagande nazie et surtout de sa violence.
La deuxième est qu’il se permet à présent de comparer le sort des migrants, en France en 2018, avec celui des juifs en 1940. C’est, là encore, particulièrement dégueulasse, relativiste, et ne peut que faire le jeu de ceux qui veulent nier ou banaliser l’ampleur du génocide subi par les Juifs en 1940. C’est un parallèle classique de l’extrême gauche et de tous les prétendus anti-sionistes (comme le PCF), qui, véritables antisémites, comparent l’État hébreu aux nazis, et les Palestiniens aux Juifs.
La troisième est que le camarade Thomas Portes a quelques oublis historiques. Il semble avoir oublié qu’en 1940, Staline (dont il est le descendant) et Hitler avaient conclu un Pacte, que Staline livrait des ennemis du nazisme à Hitler, et que ce n’est qu’en 1941 que le PCF entra dans la Résistance. Donc en 1940, quand il renvoyait dos à dos, au nom de l’anti-impérialisme, la France et la Grande-Bretagne, et l’Allemagne, le PCF se faisait le complice de la chasse aux Juifs.
La quatrième est que, se croyant sans doute encore en régime stalinien, le camarade Vincent Portes demande rien de moins que la dissolution de Génération Identitaire, tout simplement parce qu’il ne partage pas le combat de ses adversaires politiques. Cela s’appelle une pratique totalitaire et nous confirme que ce jeune garçon aurait fait merveille dans les dictatures staliniennes, leurs goulags, leurs camps de rééducation, leur parti unique, leur syndicat unique et tout ce qui faisait le charme du communisme.
Mais au fait, c’est qui, ce personnage ? Il est fils de cheminot, est âgé de 33 ans, et milite à la CGT et au PCF. Cela en fait-il un travailleur ? Selon la doctrine de la gauche, au PCF et chez Mélenchon, certainement. En fait, c’est un bureaucrate syndical, un permanent, qui ne bossera jamais de sa vie et qui sera payé par l’État pour faire de l’agitation politique et foutre le bordel, au nom de ses fantasmes pseudo-révolutionnaires, à la SNCF. Quelques chiffres pour préciser le propos, donnés ce jour sur Boulevard Voltaire par Marie Delarue.
Oui, mais voilà, dans les grandes entreprises type SNCF, ces comités sont de véritables fromages syndicaux, bien gros et bien gras, et « y toucher revient non seulement à mettre en cause des “avantages acquis”, mais également la sacro-sainte histoire syndicale des “luttes sociales” ». Ainsi, écrit Nouailhac, « à force de grèves, de conflits et de négociations multiples, un système opaque de chevauchements, quand ce n’est pas de poupées russes emboîtées les unes dans les autres », on en est arrivé à ce que « la SNCF compte aujourd’hui 9.500 élus dans les trois différentes instances, 6.770 élus titulaires et 2.700 suppléants, soit 1 élu pour 15 salariés » !
Chiffres donnés fièrement par les syndicats eux-mêmes, « la SNCF abriterait ainsi 262 délégations du personnel avec 2.992 élus, 31 comités d’entreprise employant 337 élus titulaires et 604 CHSCT différents avec 3.513 élus… ce qui représenterait, au total, chaque année, 1,5 million d’heures consacrées au « dialogue social », avec plus de 2.000 équivalents temps plein ». Pas besoin d’avoir fait HEC pour comprendre qu’ils n’accepteront jamais de renoncer à cette manne.
Bien évidemment, pour l’intelligentsia de gauche, deux choses sont insupportables. D’abord que Génération Identitaire existe et ose déposer plainte, n’acceptant pas d’être comparée à des nazis. Et surtout, d’autre part, que la plainte soit instruite et qu’il se trouve des juges pour ne pas la jeter au panier. Belle image de l’indépendance de la Justice.
Alors, ils sortent l’artillerie lourde, le coup du comité de soutien, de l’attaque contre les travailleurs (ces immigrationnistes osent se réclamer d’un monde du travail qu’ils trahissent au quotidien) et le retour aux heures les plus sombres de l’Histoire. Objectif : intimider les juges et les faire passer pour des fascistes s’ils condamnent le vaillant camarade Portes.
https://www.comitesoutienthomasportes.com/
Même si je comprends l’exaspération des dirigeants de Génération Identitaire devant les saloperies dont ils sont victimes, je n’aurais pas, personnellement, déposé plainte. S’il fallait qu’à chaque fois qu’on nous compare à l’extrême droite, donc aux nazis, on se retrouve devant les tribunaux, on n’arrêterait pas. Par contre, je revendique le droit de qualifier tous les nostalgiques de l’URSS, comme ce Thomas Portes, de “crapules staliniennes”.
Comme cette mouvance paraît aimer déposer plainte contre nous (l’islamo-fellateur parisien Ian Brossat, le maire “anti-sioniste” pro-palestinien de Limay Éric Roulot et le fossile gardois Bernard Deschamps), nous précisons que le terme “crapule stalinienne” a été immortalisé par Cohn-Bendit en 1968.
Il faut par ailleurs lire l’ensemble des noms des signataires pour découvrir que toutes les mouvances collabos de l’invasion migratoire et de l’islamisation du pays ont répondu présent.
Sauf que les camarades, n’ayant sans doute pas peur du ridicule, ont accepté la signature de Gérard Filoche, exclu du PS suite à un tweet antisémite.
Vouloir comparer un Identitaire aux nazis et accepter la signature de Filoche, qui relaie la vision du monde de Soral sur le complot juif, cela fait désordre, camarades !
Paul Le Poulpe
Comme il faut toujours tout préciser, je précise donc que je n’ai, mais alors, strictement rien de communiste.
Donc, sur le communisme en France, rappelons ceci…
https://www.youtube.com/watch?v=nsCaoc-FuiA
Il faut toujours être très attentif quand à “l’opposition contrôlée”, celle qui dit tout, presque tout juste, mais qui “oublie” le plus important.