20minutes.ch: La réputation à jamais ternie du «maire de l’Amérique»
[...] l’avocat personnel de Donald Trump a brandi la thèse selon laquelle Joe Biden serait à l’origine d’un «plan centralisé» de fraude électorale massive, qui lui aurait permis de s’arroger des votes destinés à Donald Trump. Suant à grosses gouttes, au point de laisser voir la teinture de ses cheveux couler le long de ses tempes, il n’a pas apporté de preuve tangible pour soutenir ses accusations. [...]
article complet: https://www.20min.ch/fr/story/la-reputation-a-jamais-ternie-du-maire-de-lamerique-405121392816
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Cenator: Cet article pseudo-journalistique est parfaitement représentatif des nouvelles qui font le tour des médias en Suisse romande. L'"information" est accompagnée d'un photo-montage: la teinture des cheveux de Rudy Giulinani coule sur sa joue.
Le débat Mike Pence - Kamala Harris? La mouche sur les cheveux de Pence est exploitée à fond pour le ridiculiser. La nouvelle éclipse le débat, la populace a besoin du cirque, elle en a eu pour ses frais.
Surtout ne pas entrer dans le fond du débat, ni exposer des arguments de la fraude électorale, surtout ne pas créer des conditions qui permettent une réflexion individuelle. Le niveau de réflexion ne doit jamais dépasser celui des vidéos Tik Tok des pré-ados de 11 ans ni refléter plus de nuance qu'une école coranique.
Autre exemple, ce reportage de la RTS, où la belle et jeune candidate socialiste Rebecca Ruiz est présentée d’une manière très avantageuse, en parallèle avec son concurrent Pascal Dessauges, le candidat UDC, maladroit et pas franchement «canon». La manipulation marche à fond, Rebecca Ruiz sera largement élue, avec ou sans coup de pouce du logiciel Scytl.
Voilà à quoi en est le journalisme en Suisse romande.
Ces piètres journalistes lâches, ignares, copieurs-colleurs, sans éthique professionnelle, sans conscience sont des « prostituées intellectuelles » comme les appelait le 25 septembre 1880 John Swinton alors chef du New York Times, avant que ce journal soit devenu d’extrême gauche, manipule et désinforme ses lecteurs et soit copié quotidiennement pas les journaux européens. Le terme énemédia s’applique à de tels journaux; énemédia est le terme désobligeant (contractant media et enema ou lavement) pour désigner ces principaux médias soit main stream media ou MSM dont la propagande politique partiale de gauche est voilée, amalgame, obscurcit et s’oppose à toute position politique centriste ou conservatrice et diabolise ad hitlerum les élus de droite. Pour le malheur de la Suisse et de notre démocratie, les journalistes avec conscience et intelligence, comme Roger Köppel de la Weltwoche sont devenus exception.
En revanche, ces malhonnêtes ne se sont pas gênés pour prétendre que Trump s’est tendu célèbre grâce à son émission (The Apprentice) soi-disant de vulgaire “téléréalité”, alors qu’il s’agissait en réalité d’une émission mettant en compétition des projets de création d’entreprise, sous la supervision et le regard expert de l’entrepreneur devenu multimilliardaire.
Nos malhonnêtes journalopes de service devraient lire “Après Trump ?”, de Guy Millière.