Dans une analyse, deux expertes en éducation révèlent la présence de racisme dans les manuels scolaires suisses.
Ce sont des expertes dans le domaine de l'antiracisme et de l'éducation : Rahel El-Maawi (43 ans, à droite) et Mandy Abou Shoak (31 ans).
Le racisme est une réalité dans les manuels scolaires suisses. C'est la conclusion d'une analyse publiée par le SonntagsBlick. Les spécialistes de la lutte contre le racisme et les expertes en éducation Rahel El-Maawi (43 ans) et Mandy Abou Shoak (31 ans) ont examiné neuf manuels d'allemand et d'histoire actuellement utilisés dans les écoles suisses alémaniques des classes de degrés moyen et supérieur. Parmi eux, "Welt der Wörter 1" ou "Durch Geschichte zur Gegenwart, Band 2".
Le résultat de leur enquête : C'est inquiétant, disent El-Maawi et Abou Shoak, "Nous n'avons pas trouvé un seul support d'enseignement ou d'apprentissage que nous pouvons recommander sans réserve".
Les livres sont écrits par des hommes
La grande majorité du contenu est écrite par des hommes. Les hommes sont également surreprésentés. Les femmes et surtout les personnes non blanches sont à peine représentées, tant comme auteurs que comme protagonistes avec leurs différentes réalités de la vie quotidienne.
[...]
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Note : Exactement comme en France depuis des décennies, les Suisses sont à présent jugés par des individus qui ne fustigent pas leur pays d'origine alors que ces derniers sont bien plus intolérants que le nôtre.
De quelles opportunités scolaires et professionnelles ces deux femmes auraient-elles pu bénéficier dans leurs pays d'origine? Avec quel niveau de vie?
C'est ce système que la gauche a su imposer à notre pays : la culpabilisation systématique alors que plus d’un tiers de la population suisse est issue de la migration. Quel pourcentage d'étrangers au Maghreb déjà ?
Expertes désignées par les médias exactement comme avec Trump.
Si vous enseignez l’histoire telle qu’elle s’est réellement passée (enseigner que les mahométans ont assassiné 669 millions de non-mahométans, et leur ont volé 55 pays autrefois multi-culturels), vous êtes racistes?
Si vous ne l’enseignez pas à l’école, vous encouragez les politiciens “bien pensants” idiots à prétendre que l’islam est une religion de paix et d’amour, a refuser les vrais réfugiés arméniens chrétiens, à leur préférer les faux réfugiés mahométans, à promouvoir l’islamisation de la Suisse de l’occident comme la “Suisse de l’orient” (le Liban) fut entièrement volée et ruinée par les mahométans!
2 inutiles auto-proclamées “expertes” actives sont en train de nous vendre leur sauce du “progressisme gauchiasse” et de générer des problèmes qui n’existaient pas avant.
En réalité, elles ne font que souffler le vent de l’accélération communautaire, voire de haine raciale.
Au lieu d’inclure, rassembler, d’intégrer, nos 2 inutiles actives ne font que de diviser, haïr, séparer… vieil adage du “Divide e impera” (diviser pour mieux règner).
Jusqu’à quand les moutons muets les laisseront aboyer encore ?
Moi je ne resterais pas dans un pays qui distribue des manuels scolaires racistes aux enfants !
A part critiquer notre système scolaire y a t`il quelque chose de bien chez nous ?
Mais moi je ne suis pas expert ,mais franchement votre critique est stupide ,blessante ,et infondée .
Votre attitude est désolante un point c`est tout .
Qui les a nommées “expertes” ?
Quelles sont leurs formations ? Des universitaires qui “savent” ?
Sont-elles payées par les contribuables ?
Des questions avec des réponses, s’il y en a, probablement bien nébuleuses…
Ces femellistes de la pire espèce oublient que dans nos pays développés, les femmes DOIVENT AUX HOMMES leur droit de vote et statut égalitaire. Si ça ne leur plaît pas, qu’elles retournent “expertiser” dans leurs pays d’origine!
Sombres bedoumes!
Et un interview de l’autre, datant d’il y a quelques années. C’est bourré de poncifs, gauchiasse à souhait:
https://comitedesjeunes.ch/2015/09/17/limportance-dun-sejour-a-letranger-dans-le-plan-detude/
On remarquera que pour les deux il n’y a aucun horizon professionnel au delà du fonctionnariat et de la subvention étatique.
Sur le site de la plus âgée (excusez-moi mais écrire son non est compliqué, je n’ai pas les codes :))
Traduction automatique:
Je travaille en freelance dans différents contextes pédagogiques et en tant que chargé de cours en socioculture dans diverses universités. J’accompagne et conseille les ONG, les universités et les entreprises dans le développement d’une culture organisationnelle axée sur la diversité et propose des formations anti-racisme. Je suis également co-chef de projet du projet éducatif INES «Culture scolaire post-migrant» et membre fondateur et coordinateur de Bla * Sh – Réseau des femmes noires et des personnes non binaires. Depuis de nombreuses années, j’accompagne de petites et grandes équipes ou groupes dans différents rôles pour faire face à de nouvelles problématiques et modérer les processus du groupe.
Mon travail se caractérise par une pensée socialement critique. Les principaux enjeux sont l’égalité des chances et la participation pour tous, ainsi que la création d’une société écologiquement et socialement durable. Une perspective intersectionnelle est très importante pour moi.
Depuis plusieurs années, je travaille avec le corps dans l’espace et dans le temps et je recherche les moyens par lesquels le mouvement et la danse peuvent élargir mon travail socioculturel. De plus, j’ai suivi une formation en «éducation artistique expressive» à l’Institut Tamalpa.
Je m’implique dans des contextes féministes et antiracistes. Mon expérience est complétée par une large implication dans le travail politique et dans les associations. J’ai notamment siégé au conseil d’administration de la Girls ‘House de Zurich pendant dix ans, dont huit en tant que présidente. Aujourd’hui, je suis membre du conseil d’administration de la coopérative de construction résidentielle Kalkbreite ainsi que du Shedhalle Zurich et actif chez Bla * Sh.
Sensibilité à la diversité et traitement anti-discrimination dans l’éducation, la culture, les affaires sociales et le public
Formation anti-racisme
Conseils sur les questions de genre, queer et féministes
Animation socio-culturelle, développement urbain, construction communautaire
Participation, participation, autonomisation
Travail culturel
Improvisation de danse et recherche sur le mouvement.
Bref, du vent, le pack progressiste antiraciste gauchiasse de base, communautariste teinté d’écologie et de féminisme, haine du mâle Blanc uniquement, exigeance de gamelles basées sur la couleur uniquement.
Bref, une créature totalement inutile et néfaste pour notre communauté.
Elles peuvent retourner dans leur(s) pays, celui de leurs patronymes qui n’ont rien de Suisse, rien d’Occidental, qui n’ont rien de notre civilisation. Civilisation qui a tout construit ici. Ainsi elles ne subiront pas le racisme de nous autres, sales blanchouilles. Nous n’avons pas besoins d’être “déconstruits”, d’être “éduqués” par ces “”expertes”” en chialerie communautaire. Par contre dans leur biotope originel il y a beaucoup de travail à réaliser.
On va se retrouver avec la recette du couscous au lieu de la fondue, des chameaux dans les pâturages pour faire plus “divers”, Einstein avec des rastas et le drapeau Suisse aux couleurs arc-en-ciel. Le tout écrit par un végan transgenre non binaire LGBTQR+/4 sous extasy.
Si accessoirement le but était d’apprendre la grammaire allemande ou le vocabulaire, il faudra repasser.
Que ces musulmanes rentrent chez elles, elles auront la joie de porter un foulard qui montre à tous leur statut de personnes inférieures.
Rahel El-Maawi (43 ans) et Mandy Abou Shoak (31 ans), architectes de la déconstruction. Des noms bien de chez nous, cré nom bleu !
Pourquoi des fonctionnaires suisses ont-ils accueilli ces femmes en Suisse? Leur objectif est de s’ingérer chez nous pour détruire entièrement l’identité culturelle de notre nation. Ce sabotage culturel national est moralement répréhensible; la transformation forcée de la composition ethnique et raciale d’une population est un agissement qui correspond à la définition du génocide, un très grave crime non seulement sur le plan moral mais également sur le plan juridique. C’est pourquoi, aucun projet visant à remplacer une population par une autre, de remplacer notre culture et notre histoire par d’autres ne peut bénéficier du soutien de la population remplacée, quoiqu’en racontent ces expertes
Qu’elles retournent dans leur pays d’origine lutter contre la corruption systémique, les abus de pouvoir et les horribles différences entres les classes sociales qui y règnent.
”Ce sont des expertes dans le domaine de l’antiracisme et de l’éducation : Rahel El-Maawi (43 ans, à droite) et Mandy Abou Shoak (31 ans)”
Ils les ont sorti de quel chapeau ces ”expertes” ?”Note : Exactement comme en France depuis des décennies, les Suisses sont à présent jugés par des individus qui ne fustigent pas leur pays d’origine alors que ces derniers sont bien plus intolérants que le nôtre.”
Que chacune déblaie devant sa porte et cela ira tout de suite beaucoup mieux !
Et elles sont payées sur quel budget ? L’éducation … ?
De toute façon, avec l’immigration massive que connaît la Suisse et son corollaire le communautarisme qui s’y installe inexorablement, dans quelques années, chaque communauté aura ses propres écoles avec ses manuels racisés, et donc ces deux dames foutront la paix à ceux qui les ont gentiment accueillies et qu’elles se paient le luxe de faire passer pour des salauds de racistes.
Et toujours la même question, pourquoi s’incrustent-elles parmi ces horribles suprémacistes blancs, fachos, nazis, et surtout j’imagine islamophobes ?
En passant…. le côté très marrant de la chose….. elles critiquent les manuels que les bobos bien-pensants mondialistes immigrationnistes de gauche utilisent ! Ces dames mordent la main qui les nourrit !
Il est essentiel de se rendre compte d’où vient la critique pour lui accorder l’importance qu’elle mérite.